Vous rêvez de partir ailleurs ? En ville, à la campagne, en bord de mer, à la montagne, peu importe. Pour réussir votre installation, ne laissez rien au hasard. Pour préparer au mieux votre projet d’installation dans une nouvelle région, quelques conseils clés.
Pour la majorité des Français, le bonheur est dans le pré. Des tas d’études l’affirment. Le logement de nos rêves ? Au choix, une maison à la campagne, un chalet ou un corps de ferme. Côté destination, beaucoup souhaitent vivre à l’ouest ou dans le sud et d’autres le long du littoral français. Nombre d’entre eux se déclarent prêts à déménager ! Leurs attentes : une meilleure qualité de vie, de l’espace, du silence, de la quiétude et le besoin de se sentir en sécurité.
Ne pas vous planter
En ces temps de crise, réduire nos dépenses devient une priorité, notamment en matière d’immobilier. Chaque année, beaucoup changent de région dans cette optique. Si vous aussi fantasmez à l’idée de quitter l’agitation urbaine ou un lieu de vie que vous n’aimez plus, sachez qu’il existe des solutions pour transformer ce rêve en réalité. Cependant, que vous soyez seul ou en famille, vous allez devoir vérifier que ce choix vous convient avant d’opérer un tel virage. Tout d’abord, assurez-vous que vous ne cherchez pas à fuir une situation ou un problème non résolu : un changement de région ne règlerait rien. D’autre part, prendre comme seul critère le degré d’ensoleillement risque de vous mener à l’échec…
Quelques règles pour réussir votre installation
Appréhendez la question de manière triangulaire en prenant soin d’associer vos proches : le territoire que vous souhaitez cibler, votre projet de vie et vos perspectives professionnelles. Faites donc le point sur les motivations d’une telle décision et anticipez les commodités et services dont vous aurez besoin : trouver les solutions scolaires ou universitaires pour vos enfants, par exemple. En outre, la question de l’emploi se révèle cruciale. Sachez que rien de ce que vous réaliserez dans le nouvel environnement ne s’improvise.
Des opportunités à saisir
De nombreuses régions ouvrent grand leurs portes et faciliteront votre installation. Certaines contrées peu urbanisées offrent des opportunités professionnelles grâce aux entreprises qui peinent à recruter. Elles peuvent même faciliter votre mobilité grâce à une aide au déménagement. Hormis le salariat, il existe d’autres pistes à explorer, parfois soutenues par les collectivités locales. Quoi qu’il en soit, préparer au mieux votre départ au bord de la grande bleue, en altitude, au vert, sous le soleil, ou les quatre à la fois, sera la meilleure garantie pour réussir votre implantation.
Pour en savoir plus sur toutpourchanger.com
– Test : Êtes-vous plutôt Paris ou Province ?
– S’installer en Provence
– Eliane veut changer de région
– S’installer au Moyen-Orient
– Tout savoir pour changer de ville ou de région !
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– Changer de vie en Auvergne
– Accepter ou refuser de suivre son conjoint dans une nouvelle région
Pour en savoir plus ailleurs
Village magazine
Réseau Accueil des villes françaises
Régions Job
Bonjour,
Je suis dans une situation très compliqué. Je vie une relation compliqué avec un homme depuis 8 ans, dont lui même sa situation est compliqué car il a déjà sa famille. Mais se que nous vivons depuis 8 ans et très intense, le problème c’est qu’on vit a plus de 200Km l’un de l’autre et on s’est dit que sa ne sera jamais possible. Mais je descend ou lui remonte pour qu’on se voit quand il y a possibilité se qui se limite a 1 fois par an, 1 week-end et les au revoir fut extrêmement douloureux, même si je sais que du soir même nous serons en communications. Mais ces instants ensemble sont tellement intense et fort que cela fut très douloureux au moment de partir on pleur comme des bébés.
Alors j’envisage de descendre dans sa région, afin d’essayer, de tenter et surtout pour plus me dire que je suis a plus de 200Km de lui, et peut être avoir la possibilité de le voir plus en étant plus prêt et peut être une futur relation bien concrète.
Alors avant de juger, les choses se font comme sa et on a jamais prévus d’en arriver la au niveau de notre relation mais le temps et des évènements ont fait que nous somme très complices, très attachés d’où l’intensité entre nous. Alors pourquoi lui, ne déclenche rien de son côté ? Tout simplement il a un enfant où c’est tout pour lui, que je peux comprendre, comme tous parents j’imagine, très fusionnel avec son enfant qui est incroyable aussi. Mais je me dis que le fait que je me rapproche, cela pourrais peut être débloquer la situation ou créer un déclic chez lui. Et pour ma part j’en ai terriblement besoin de me rapprocher pour me dire je suis proche de lui.
J’ai envie de tenter d’essayer car je n’ai pas envie plus tard de regretter de ne pas avoir essayer.
Si sa marche tant mieux, mais si sa marche pas on moins j’aurais essayer certes seras douloureux si sa ne marche pas mais je pense que je verrai les choses différemment dans le sens où je me dirais que on moins j’ai essayer.
Alors pour ma part sa reviendrais a lâcher ma vie actuelle. Donc mon boulot, ma région, quelques amis et ma famille mais je me dis que je part à l’étranger non plus je part à 2-3h. C’est de tout plaquer pour allez dans une région où j’ai aucune certitude du futur, aucune assurance que sa marcheras. Mais j’ai besoin, je le sens au fond de moi que si je le fais pas je vais regretter plus tard.
On ne veux pas se lâcher, c’est impossible c’est tellement intense, on est tellement attaché et tous se que vous voulez, j’ai vu notre relation avancé, c’est un truc de fou !! On ne sait pas passer une journée sans se parler sauf quand pas le choix mais sa reste très rare…
Donc la seule solution que je vois pour l’instant.. c’est que moi je descende de son côté pour voir comment se déroule la suite des choses. Car ces aurevoirs, que sa soit pour moi et pour lui, on les vit comme une rupture… pour sa part il s’en remet d’une certaine manière plus facilement que moi dans le sens où il n’a pas trop le choix et du a son caractère qui est un peu plus fort que moi. Mais pour moi qui est une personne de base très sensible, et angoisser dans ces moments là c’est une horreur, des angoisses en continue et je peux mettre 2 à 3 semaines pour bien me remettre et repartir dans ma vie quotidienne et encore…
Plus on avance dans les années, dans notre relations, plus on se voit et plus c’est de plus en plus fort, plus intense et plus dure les au revoir.
Donc j’ai qu’une envie c’est de partir pour me rapprocher de lui pour ne pas regretter et en espérant que cela me soulageras également le fais que je sois plus proche.
Mais je sais pas par où commencer… Dois-je en parler ? et a qui ? sachant que l’idée est folle en sois car pas d’assurance que sa marche … faut que je fasse une rupture de contrat aussi de mon CDI, et je n’ai pas une grosse fortune… donc sa m’inquiète de tous changer, après la région concernée, du travail je peux trouver, je pense pas que sa sera le problème… Mais je ne sais pas par ou commencer et de quel manière surtout…
J’en avais besoin d’en parler sa commence a faire lourd… et dure a vivre… surtout que au fond de moi je dois le faire….
Merci Bonne soirée à vous.
Bonjour
Je déterre ce vieux topic, car il est intéressant.
Laurent, 37 ans. Vis à Toulouse que je considère aujourd’hui comme la pire des villes ou je suis passé.
Me dira-t-on pourquoi tu ne te casse pas ailleurs? Faut qu’on me donne les moyens!
J’ai tendance à dire tout le temps « nous ne somme pas au États-Unis, du boulot t’en trouve partout et les logements à loué, ils sont moins con qu’en France… Éh oui là bas d’après les retours de collègue ou connaissance qui ont vécu là bas, tout est incroyablement facile… Louer un logement? Oui à condition que vous ayez les moyens de payer! C’est tout.
En France à cause de la trève hivernal (merci l’Abbé Pierre et l’assistanat), les propriétaires sont extrêmement réchigant pour vous louer un appartement de merde si vous ne présentez pas de dossier « béton » (3 bulletin salaire, CDI temps plein, garant, caution, attestation employeur etc…).
Au États-Unis vous avez du fric, ils ne regarde pas ce que vous faite et où vous pondez ce fric… C’est pour ça que les dealers qui vendent leurs merdes blanches peuvent louer n’importe quoi pour servir de planque… Mais en revanche si vous rater de payer le loyé, que sa soit hiver, été, automne, il peut faire -40 dehors, vous êtes mère célibataire avec enfant en bas âge, ils vous mettent dehors manu militari.
C’est l’inconvéniant des États-Unis mais moi sa me va… Il y a tellement des abus en France par rapport à la trève hivernal que sa porte préjudice au travailleur précaire comme moi qui sont obligé de vivre chez ces parents tant que je ne décroche pas de CDI temps plein. Actuellement je suis à mi-temps… Malgré les fortes négociations avec mon enteprise pour avoir au moins un salaire à quatre chiffres, c’est des « ouais tu comprend Laurent, j’ai pas assez de trésorerie pour t’embaucher plus »…
En parallèle je cherche un autre boulot, mais pas évident d’en trouver un autre.
Au États-Unis c’est plus facile trouver un boulot, car ils ne mettent pas la charrue avant les boeufs, pas comme en France ou on doit être surdiplômé, tel année d’expérience, ultra compétent, en gros ultra exigent pour avoir un salaire de misère de 1340€! Et tout ça, à cause du CDI ultra protecteur.
Au États-Unis parole d’un pote qui était parti de rien, il était BUCHERON en HÉLICOPTÈRE! Il pilotait des MD 520 pour élaguer les grands sapin!
Au États-Unis ils cherchent à voir ce que t’es capable! Ils s’en foutent des compétences.
Si on fait l’affaire, on nous garde, si on ne fait pas l’affaire, on nous jette!
Il y aurait pas de contrat, signature et patati et patata. D’après ce pote devenu pilote hélicoptère, tout ce fait ORALEMENT!
Tandis que nous en France… Montagne de papier à ne plus en finir!!!
L’inconvénient avec ce systême, il y a pas la SÉCURITÉ DE L’EMPLOI.
On peut nous dégager à n’importe quel moment même après 20 ans de boîte.
Pareil sa ne me gêne pas si c’est pour assainir la masse de chômeur qu’on a dans notre pays!
Au moins la reprise activité est plus facile étant donné que les postes ne sont pas à vie.
C’est pour ça que je dis plus haut, Toulouse est la pire ville de France… Ne vous y installez pas, ou vous allez le regretter…
Car sans parler de boulot qu’on y reviendra plus bas, la mentalité Sud-Ouest est vraiment fondé sur l’hypocrisie, je vais cité une ville, désolé ce n’est rien contre vous, mais les PARISIENS et les NORDISTES qui s’installe à Toulouse, beaucoup d’entre vous prennent la même mentalité pourri de cette ville! Vous devenez encore plus exécrable que le toulousain de souche et c’en est un qui le dit et le reconnait, car je suis né à Toulouse.
En 2005 quand je me suis installé pour le boulot, j’ai quitté ma petite campagne Albi pour ça, j’ai vite déchanté quand j’ai commencer à découvrir la mentalité de Toulouse que ce soit au boulot, entre voisin, en ville etc… Et là je la subis encore.
Par exemple j’appartiens de par ma plus grande passion celle de la MOTO, au monde de la moto.
Le mois d’Août 2022, j’ai eu une panne à la con qui était tombé sur une Yamaha R1 2008. Il s’avère qu’elle était grave car je risquais de casser le moteur si je continue à rouler avec, c’était un vilebrequin.
C’est une maladie sur ces bécanes… À la suite de plusieurs intervention, il y a eu plein de particule qui est tombé dans le bac à huile au fond du moteur.
En demandant plus de puissance à la moto, les particules ce sont accumulé depuis des années dans la crépine grâce à un tamis.
La crépine à son rôle de protecteur du haut moteur pour empêcher les particules d’aller s’installer dans les soupapes et les pistons, au risque de détruire complètement le moteur.
C’est aussi une bécane que j’ai fait un rotor à 45 000 km (également sa maladie)… Donc les particules d’aimant sont venu ce rajouté dans le bac à huile.
Tout ça au moment que je demande plus de vitesse à la poignée des gaz, le haut moteur demandais donc plus de graissage… Normal. Sauf que la crépine s’est bouché depuis des années et sa a agit comme un cancer… Par manque d’huile, la lubrification ne ce fait pas et hop j’ai explosé un vilo.
Tout ça il fallait le savoir… Au final j’en avait eu pour une grosse facture.
Donc comme la panne venait de s’installer après une pointe de vitesse, je suis allé au CIRCUIT MOTO qu’on l’appel « Circuit de Candie » qui ce situe sur la commune de Portet-sur-Garonne pour chercher des infos sur les réparations et si possible de trouver un réparateur.
Normal… Je vais dans ma communauté de motard pour trouver quelque chose! Ce qui est logique! Ce qui n’est pas logique, ce sont les réactions rencontré.
Alors entre les « oui je vais t’ouvrir ton moteur » ou les « ouais je connais ta panne, c’est juste à cause de ton carburant » ou tout autre truc élucubrant que j’ai entendu… J’ai finalement pris un truc dans la gueule quelque chose de plus sympathique ou un c****d qui me parlera comme une merde en me disant ceci « ouais t’as trois bécanes, y’en a juste une qui ne marche pas et tu vas te plaindre (oui parce que j’étais excédé avec les promesses à deux balles de pseudo réparateur ou pseudo connaisseur en mécanique) alors qu’il y en a qui n’ont rien! (Bien sur, je me saigne pour acheter mes motos, ce fils de p***e crois que chez moi l’argent tombe du ciel) Si tu veux parler de tes problèmes, j’en connais des gens qui t’écouteront, je peux t’amener voir des prisonniers à qui parler » (c’est un maton de métier, bien sur en allant voir des prisonniers, ma R1 va mieux fonctionner! Mdr! Lol). Déjà il me parle comme une merde et un mois plus tard il s’achète une R1 2005 pour m’achever. Quel sale gros fils de p***e… Et pour couronner le tout, les potes que je me suis fait qui sont des PARISIENS et c’est pour ça que je m’en prends à vous les parisiens, ils prennent tous parti de ce c*****ds, l’air de dire que je me plaint trop ou me faire passer pour un con.
Quelque un sorte encore du lot et reconnait que ce mec à une réaction d’abruti face à quelqu’un qui était en détresse.
Voilà comment est grosso modo la mentalité toulousaine… Sympa?
Si j’en racontais d’autre anecdocte, ce sera un roman sans fin!
Au final… C’est pas ma bande de pote qui sauveront mon R1 que j’allais mettre à la casse malgré que je l’ai payé 6800€, c’est un parfait inconnu qui s’est présenté au circuit de Candie, me voyant m’amusé à pompé avec les fourches de ma Kawasaki ER-6N, il viendra me dire les défauts qu’elle possède… Elle fait trop pompe à vélo.
Je lui ai dit que cette bécane n’avait pas d’importance à réparer, mais plutôt ma R1… C’est là qu’il me présentera un mécano vers Montauban (qu’il a tenu parole) qui avait bossé pour un des meilleurs mécano du réseau Yamaha du Sud-Ouest.
Boulot c’est pas mieux, pendant la pandémie du covid-19, j’étais embaucher chez le serrurier le plus connu de Toulouse.
Par souci de confidentialité, je ne dirais pas le nom de la boîte, mais tout ce que je peux dire, ce sont là aussi des ENC***ÉS.
Ils reflètent exactement l’images hypocrite des toulousains.
J’étais embauché chez eux, j’étais considéré comme un de leur meilleurs élément puisque la serrurerie en particulier les CADENAS, sa toujours été ma passion, ma 1er passion avant celle de la moto.
Pendant la pandémie, on ce retrouvait sans intervention… Car avant covid, j’avais surnommé cette serrurerie, la PIZZERIASERRURERIE tellement j’enchaînais en intervention entre les remplacements de serrure après vol de clé, ouverture porte claqué ou suite à perte de clé, panne de serrure, pose de serrure trois points, montage de barillet sur organigramme lorsque j’étais en atelier et fabrication de série de clé.
Une fois 100 clés à gorge à copier pour le client ORANGE… Demandez donc à un serrurier ce que c’est une clé à gorge… Vous allez comprendre le travail et surtout les heures que j’ai fourni pour faire 100 clés dans des ÉBAUCHES EN ACIER.
Quand la pandémie s’est installé, plus rien! Plus de boulot! La boîte a été obligé de fermé pendant le confinement.
Tout les salariés étaient en chômage partiel… Mais lorsque les choses ont repris après la « libération », ce n’étais pas le travail comme avant à tel point qu’on été obligé de me mettre régulièrement en chômage partielle… Moi et pas les autres salariés. Pourquoi moi et que moi?
Je ne l’ai compris qu’après qu’on m’ai licencier pour faute lourde (accusation de vol).
En effet, lorsqu’il y a eu le confinement… Macron à dit « pas de licenciement pendant la crise sanitaire ».
Mon patron n’avait pas de choix de me garder… Mais il savait qu’il ne pouvait pas me payer, il me mettais tout le temps au chômage partiel jusqu’à que Macron enlève ce dispositif. C’est là qu’il a décidé de « m’inventer » une faute professionnel en m’accusant de vol qu’il a monté de toute pièce et il s’est servit de mon compte eBay contre moi, car en effet je vendais des serrures et cadenas à des collectionneurs comme moi… Mais des cadenas d’OCCASION! Genre un vieux cadenas City, Vachette, Dény qui traînais dans ma collection que j’avais en double.
Et comme ma collection était immense, car j’avais de tout, je vends tout naturellement de tout sur eBay déjà pour arrondir mes fins de mois.
Ma boîte de serrurerie ou je bossais ont fait les ENC***É en me traînant dans la boue à m’accusé de vol qu’ils n’obtiendront jamais cette qualification pour justifier mon licenciement puisqu’ils n’ont jamais porté plainte (pas de preuve évidente), ils m’accusent de vol de serrure auprès d’un de leur client important que je remet en vente sur eBay etc…
Ils ont plutôt trouvé une possibilité de me licencier, c’est celle de VIOLATION DE LA CLAUSE DE CONFIDENTIALITÉ en m’accusant que je me suis mis en CONCURRENCE CONTRE MA PROPRE BOÎTE (bien sur… Avec des serrures d’occasion alors que eux ils vendent du neuf, je n’ai même pas de siret en plus…).
J’ai compris cette machination après que j’avais observé tout les licenciements avant moi, les INTÉRIMAIRES et les CDD.
Moi comme j’étais en CDI, il était plus difficile de m’attaquer… Et ils ont trouvé une pseudo-faille, en utilisant mon compte eBay contre moi… N’est ce pas machiavélique?
Je pense que j’ai du rendre jaloux mon ancien patron avec un crochetage (lockpicking) d’un cadenas réputé extrêmement dur à crocheter, un cadenas de HAUTE SÉCURITÉ, FICHET 484 et j’en avais crocheté CINQ!
Lui il me l’avait avoué lors d’un entretiens qu’il n’a jamais réussi à crocheter un cylindre classique à plus de QUATRE GOUPILLES. Es ce un aveux de jalousie qui à motivé mon licenciement à cause d’une peur irrationnel du « je veux être Khalif à la place du Khalif »?
Il a même monté à l’aide de son subalterne qu’il a nommé chef d’équipe la tête contre moi d’un autre collègue super gentil et très proche puisque on est tout les deux MOTARD tout ça pour une histoire de différence culinaire par rapport à des NEMS que je lui ai dit lors d’une pause déjeuné à ce collègue que les NEMS ne sont pas CHINOIS mais VIETNAMIEN.
On s’embrouillera puisqu’il m’assimilera au chinois alors que je suis vietnamien d’origine, chose que je ne supporte pas.
C’est comme dire au français vous êtes des BOSCH.
Le chef d’équipe avait utilisé cette brouille pour nous monter les uns contre les autres en me disant lors de l’entretien au licenciement assisté avec un représentant de justice en me disant (là aussi par souci de confidentialité je ne dirais pas le nom de l’ex-collègue) « Untel t’as vu mettre des clés que t’as volé dans tes poches! Alors crache le morceau au lieu de mentir! ».
Sauf ce qu’il ne savait pas, c’est que tôt ou tard ce collègue et moi qui appartenont à la même communauté des motards, on ce retrouvera au CIRCUIT DE CANDIE pour s’expliquer!
Conclusion… Après de bon et loyaux service pour cette serrurerie, il ma jeté comme une merde de paquet de clop vide en me traînant vraiment dans la boue.
La serrurerie sa m’a dégoûté à vie… Mon patron aurait pu me faire une rupture conventionnel, je pouvais le comprendre qu’il ne pouvait plus me payer correctement et que l’entreprise est en difficulté à cause de la crise sanitaire, mais il m’a détruit une seconde fois ma passion pour les serrures (détruite la première fois il y a quelque année pour un autre problème).
J’ai fortement suspecté ma boîte de RACISME par rapport à la communauté asiatique à cause du covid-19 comme une envie vengeresse de mon patron contre son salarié d’origine asiatique à cause du covid sois-disant provoqué par les chinois (parole de cette enc***é de Trump).
Mais je n’ai pas assez de preuve d’accusation pourquoi un tel acharnement sur moi… Car je l’ai vécu dans la rue des « oh c’est à cause des chinetoc comme toi qu’on a le covid? ».
J’ai plus envie d’exercé ce métier de merde tellement les serruriers sont des filous et des bandits… D’ailleurs vous consommateur, vous le voyez quand vous appelez le serrurier.
Aujourd’hui, j’en reste passionné mais uniquement pour les CADENAS. Car ce sont mes jouets d’enfant comme la moto.
Les verrous, très peu concervé et les barillets de porte, je les ai banni de ma vie.
Avec tout ce que j’ai traversé et que je traverse encore dans cette ville pourri, j’aimerais tellement en partir!
Prendre mes trois motos et le peu d’affaire qui me reste, partir d’ici! De cette ville que j’ai rebaptisé « ENC****É CITY, car j’en ai plein le cul!
Je vis avec des cons autours de moi, je vis le même calvaire que la personne qui relate son histoire en Vendée, je me suis fait très peu d’ami tellement les esprits sont TORDU comme mon patron de serrurerie.
Je fais un travail qui ne me plait pas car je suis revenu dans la SERRURERIE À MI-TEMPS que j’ai demandé la SÉDENTARISATION et non plus me déplacé, car plein le cul de la circulation toulousaine horrible! Je galère même pour me déplacer ne moto!
Mon rêve c’est faire de la MÉCANIQUE MOTO, mais à 37 ans avec très peu de base, ça va être compliqué de ce reconvertir…
Je sens le BURN-OUT depuis des années accablé par ces toulousains pervers!
J’aimerais grave partir au fin fond des Pyrénées comme mon département de coeur comme l’ARIÈGE (09) ou les HAUTE-PYRÉNÉES (65), ou carrément CHANGER DE RÉGION! Pas de pays! Je ne vais pas faire comme mon c*****d de frangin antimotard qui s’est exhilé au VIETNAM depuis TROIS ANS après un divorce difficile!
Non changer de région comme rejoindre la région LYONNAISE ou j’ai acheté la bécane de mes rêves, ma fameuse Yamaha R1 à Lyon.
C’est une région de montagne qui me fascine puisque nous motard ont aime les routes de montagne.
J’ai beaucoup de retour positif des habitants en périphérie de Lyon comme la commune de BOURGOIN-JALLIEU, que je considère la ville de naissance de ma R1.
J’aimerais tellement partir loin de cette mentalité pourri de Toulouse malgré que je suis célibataire et sans enfant.
Car j’arrive au bout de mes limites.
Chaque jours je rentre énervé… Je m’énerve même contre mes psychologues, j’ai envie de casser du matériel comme la vaisselle, la télévision! Je m’accorde des séances de crochetage de serrure ou roulage moto pour me calmer, mais rien n’y fait… Toujours cette difficile colère à contenir en moi.
Il m’arrive que quand je prends la moto, que sa soit ma ZX-10R, ma R1 ou ma ER-6N et que je roule en campagne, mon niveau de colère baisse radicalement mais à condition d’avoir fait au moins minimum 100 bornes!
Un allez-retour vers l’Andorre ou l’Espagne suffit amplement… Mais dès que je reviens à Toulouse, mon esprits de revenchard contre Toulouse revient perpétuellement me pourrir la vie.
En gros… JE DÉTESTE MA VILLE NATALE ET J’AIMERAIS FRANCHEMENT PARTIR.
Bonjour a tous, je travaillais à Ablis en ile de france, apres un petage de plomb jai demissionné et suis actuellement hebergé chez un ami pres d’evreux. Nouveau boulot, ça ne se passe pas bien…. je suis épuisé. A la fin de mon cdd je compte partir seul en normandie a proximité de la plage. Tout quitter, trouver un petit logement, envisager l’intérim pour ensuite percer dans un travail adequate avec mes compétences. On verra bien si j’y arrive, je reviendrai vers vous pour vous raconter mon histoire. Bien à vous.
Bonjour,
Dans un mois je quitte le Sud de la France pour la Seine Maritime. Un grand changement mais mûrement réfléchi. J’ai déjà trouvé un travail. Je serais hébergée le temps de trouver un logement.
Il faut parfois savoir tout lâcher pour se lancer.
Bon courage à tous ceux qui font ce choix.
Bonjour à tous je réside dans la belle ville de Dinan pas loin de la mer en bretagne cotes d’armor et pour cause retraite je vend mon commercepresse francaise des jeux papeterie cadeaux cet c’est un très belle endroit un décor magnifique les locations ou achat immobilier très raisonnable alors si vous voulez retrouver une vie cool c’est le moment vous pouvez me joindre ici et serais très heureuse de communiquer avec vous pour plus de renseignent la bretagne est très belle et les gens sympathiques je n’y partirais pas pour rien au monde et attention il fait beau cet été la ville a vu des touristes en masse troisième endroit le plus visité cette année d,après les infos la vie est belle bon courage à tous et pressée de vous lire
Bonjour,je vous rejoins totalement, pouvez-vous me joindre
Bonjour je suis intéressé par votre annonce pourriez vous me contacter. Merci
Merci pour ces conseils. En fait, pour réussir l’installation dans une nouvelle région, il est idéal de faire appel à un déménageur, un transporteur. Sinon, pour trouver un transporteur pouvant transporter les objets, on peut chercher en tenant compte du bouche à oreille.
Bonjour
Mon mari étant en dépression suite à une prise de poste de chef de service…nous avons pris la décision de partir avant septembre 2020 en Ille-et-Vilaine et Vilaine autour de saint malo si possible (région que nous connaissons bien)
Nous sommes actuellement en région parisienne dans un logement de fonction ,mon mari est plombier chauffagiste, je suis auxiliaire de puériculture en crèche
Nous avons 3 enfants âgés de 11 ans pour les jumeaux qui sont en 6ème et 1 grande fille de 15 ans qui est en seconde générale
Nous avons tous très peur de se départ et ne savons pas comment si prendre quand ou quoi commencer
Ma fille stress beaucoup et ne veut pas trop en entendre parler
Je suis a mon tour très angoissée et ne sais pas quoi faire
Merci de votre aide
Sandy
moi je cherche a quitter la région centre pour m’installer a paris,mais comment faire? faut t’il que je prenne contact avec une assistante sociale a paris ou ici pour leurs dire ?
Bonjour Sev,
Je cherche également à quitter la région Centre, mais pour m’installer du coté de Dax, Bayonne…
Pourquoi voulez-vous prendre contacte avec une assistante social? Peut-être que cela pourrait m,aider aussi?
J’espère que votre projet pourra aboutir sincèrement.
Cordialement
Bonjour,
Je souhaite quitter la Région Parisienne pour m’installer dans les Landes.
Je recherche du travail en tant que Gestionnaire de Paie.
Avez-vous réussi à concrétiser votre projet ?
Merci de votre retour.
Bonjour,
j’habite dans les Vosges et depuis longtemps je souhaite partir m’installer en Loire-Atlantique ou en Vendée. Je suis allée dans les deux départements et je m’y suis sentie très bien à chaque fois. je suis assistante commerciale dans le secteur de l’industrie et la Loire – Atlantique regorge d’entreprises dans ce secteur ce qui me conforte dans mon idée de partir de là où je suis actuellement. je souhaite surtout correspondre avec des personnes de ces deux régions afin d’avoir des informations sur le niveau de vie (logement surtout… mais aussi sur les moyens de transports (bus, train…) le trafic…). je fais actuellement des recherches sur Nantes, St Nazaire, Carquefou… si déménagement il devait y avoir ce serait l’été prochain à moins qu’une opportunité de poste se présente plus tôt. je cherche un poste d’assistante commerciale et des témoignages d’expérience de déménagement dans ces deux régions. Merci pour la lecture de mon mail
Bonjour à tous,
Je découvre ce site internet aujourd’hui même. Pourquoi ? Parce que je suis en plein questionnement en ce qui concerne ma vie. Peut-être pouvez-vous me conseiller, m’aider =D !!!
Je suis originaire d’Alsace. J’y suis née et j’y ai grandi jusqu’à mes 18/19 ans. Mes parents ni aucun membre de ma famille n’est d’Alsace. Ma famille est éclatée dans tout le pays et à l’étranger (plus particulièrement en Espagne). Mes parents sont arrivés en Alsace avant ma naissance, suite à la mutation de ma mère, qui attendait depuis des années après l’obtention d’un concours de la fonction publique, qu’on l’appelle pour un poste. Ce n’était pas un choix. D’ailleurs, mon père s’est occupé de ma grande soeur pendant 1 an avant de pouvoir être muté et rejoindre ma mère.
J’adore Strasbourg, j’ai eu la chance de grandir dans un village se situant à 15 km de cette ville, dans une maison avec jardin. Mais n’ayant pas été éduquée dans la tradition alsacienne et ayant des parents qui ont eu du mal à s’intégrer (les nouveaux collègues qui parlent alsacien pour ne pas qu’ils comprennent, les tomates jetées sur la maison, le fait de se faire traiter de lapin, etc), je n’ai jamais eu envie de revenir y vivre. Même si j’ai eu une vie tout à fait normale, il y a un certain nombre de faits que j’ai assez mal vécu étant petite, comme celui de passer beaucoup de temps seule les weekends. Car en Alsace, les maisons des enfants sont construites dans le jardin des parents et les dimanches sont dédiés aux repas en famille qui n’en finissent plus. Evidemment, n’ayant que mes parents et ma soeur dans la région, nous n’avions pas du tout les mêmes pratiques et mes copains/copines n’étaient pas disponibles dans ces moments-là. A beaucoup de niveaux, j’ai toujours ressenti ce côté « étranger » en moi. Pourtant, aujourd’hui encore, j’arbore fièrement ma cigogne devant mes amis Varois. Parce que malgré tout, j’estime être un petit peu alsacienne et j’aime faire visiter mon Alsace natale à mes amis.
J’ai quitté l’Aslace pour poursuivre mes études. J’ai été contrainte de partir car, ayant une famille à moitié espagnole, je n’avais pas appris l’allemand à l’école et souhaitant étudier le tourisme, je n’étais clairement pas la bienvenue à rester en Alsace. Pour la seule formation existante à cette époque en Alsace, il fallait obligatoirement parler allemand. Je me suis installée en Corse pour faire une Licence Pro. J’ai adoré vivre là-bas mais j’ai aussi apprécié mon retour sur le continent car, la Corse c’est magnifique, j’avais la belle vie, mais c’est aussi rapidement limité et limitant à tous les niveaux. J’étais apprentie, je pouvais subvenir à mes besoins presque entièrement seule.
J’ai poursuivi mes études (Master) à Montpellier. Enfin, ça, c’était ce qu’on nous avait vendu au téléphone à ma mère et moi. Cool, j’allais vivre dans la ville que j’appelle « Strasbourg au soleil ». Sauf que la formation que j’avais choisi avait beau être rattachée à l’Université de Montpellier, les cours avaient lieu à Béziers… J’ai donc, très rapidement, trouvé un logement à Béziers car je n’étais pas en capacité financière de me taper 80km aller, 80km retour chaque jour où j’avais cours. J’avais un appartement sympa, peu cher et à 2 minutes de mon centre de formation. Mais c’est un endroit où j’ai détesté habiter… J’ai détesté la ville de Béziers et les alentours. Ça ne ressemblait en rien à ce que j’aimais. Je suis d’ailleurs partie pour effectuer mon stage ailleurs.
Arrivée à Loches, en Tourraine. J’ai effectué un stage de 4 mois au sein d’une collectivité spécialisée dans le développement touristique. Je vivais à la campagne, j’avais de très chouettes collègues de boulot et une mission tournée sur la gastronomie locale (le rêve pour moi). J’ai été très bien accueillie et aussi intégrée par mes collègues. J’en garde un souvenir mémorable. C’était le stage que j’avais préféré de tous les stages que j’avais pu faire (j’en faisais depuis l’âge de 15 ans, ayant préparé un baccalauréat technologique dans l’hôtellerie). A la suite de ce stage et après des adieux chaleureux, je suis retournée pour l’été chez mes parents avec ma voiture et ma remorque de déménagement. J’ai adoré cette région mais la ville la plus proche était Tours, à 40km. Et Tours n’est pas la ville la plus dynamique de France, c’est une petite ville. Je dirais que c’est le seul point négatif que je peux donner à cet endroit.
Malgré de bons résultats et un stage au top, j’ai été mise sur la liste d’attente pour intégrer la seconde année de master à Montpellier. J’ai donc candidaté à l’Université de Toulon pour intégrer un master 2 tourisme. Mon objectif en quittant le cocon familial était de rejoindre ma soeur, installée dans le Var depuis une dizaine d’années. J’ai pu la rejoindre cette année là. Toujours de bons résultats scolaires mais un stage à chier dans une structure à chier… J’ai donc laissé tomber ce stage et cet environnement malsain pour me concentrer sur mes petits boulots d’étudiante qui eux, me faisaient remplir le frigo. Je n’ai pas de diplôme attestant que j’ai un master puisque je n’ai pas passé de soutenance.
En arrivant dans la région PACA, j’ai dégoté plusieurs jobs et je vivais dans une colocation à Hyères. J’enchainais mes divers emplois, je bossais 7/7 et ce, pour un salaire de misère. Sans parler du fait qu’une grosse partie de ce salaire m’était donné au black… Quand on est étudiant, on ne crache pas dans la soupe. Mais quand on a envie de se construire une vie, on commence à pester.
Mon principal employeur voulait développer son entreprise et comptait beaucoup sur moi. Il souhaitait même que je devienne responsable de l’une de ses boutiques qu’il voulait ouvrir. Il avait prévu beaucoup de choses pour développer et s’est finalement ravisé. Sa raison serait le fait qu’il est quelqu’un de rapidement stressé et qu’ouvrir d’autres établissements lui faisait peur… Je pense surtout que c’est parce que, comme beaucoup d’entrepreneurs varois, il ne voulait pas cracher le pognon. Je m’investissais beaucoup, j’aimais cet emploi même s’il était à des années lumières de mon fameux bac+5. J’avais un CDI à temps partiel. En parallèle, je faisais pas mal d’aide à domicile, du ménage dans des magasins, campings, hôtels. J’ai aussi été responsable des petits déjeuners dans un hôtel. Mais tout cela ne restait que saisonnier et toujours à des années lumières de ma formation dans le tourisme et développement durable des territoires…
Financièrement, même si je bossais 7/7 l’été, que je ne calculais pas mes heures, que j’arrivais à mettre beaucoup de côté malgré des salaires foireux… je me retrouvais sans rien l’hiver et mes économies s’évaporaient. Et encore, j’ai eu la chance de m’être toujours fait payer TOUTES mes heures de travail, ce qui n’est du tout habituel dans l’hôtellerie restauration.
En parallèle, j’ai commencé à avoir des problèmes de santé qui me suivent encore aujourd’hui. Ils ne sont pas grave mais empirent et engendrent des problèmes qui, s’ils ne sont pas rapidement réglés, risquent de devenir très handicapant (je ne suis pas épaisse et j’ai perdu au moins 4 kilos, ce qui est énorme pour mon petit corps et ma forme). Je pense qu’on peut, EN PARTI, les mettre sur le dos du stress et de l’anxiété générée par mon corps du fait de ma situation… J’enchaine depuis plusieurs mois les RDV médicaux et j’ai même subi une opération chirurgicale, en vain. Aussi, ma soeur a décidé de quitter la région car elle en avait ras le bol de la non existence et de la non durabilité des relations sociales. Elle a demandé sa mutation et vit maintenant en région parisienne (pas Paris même). Elle s’y plait beaucoup, et même si son logement lui coûte presque aussi cher que dans le Var, elle a une bien meilleure qualité de vie.
Finalement, après plusieurs années à survivre comme ça, j’ai fini par demander une rupture conventionnelle à mon employeur chez qui j’étais en CDI à temps partiel. Nous sommes toujours en très bon terme. Je me suis inscrite au chômage, cette fois, j’avais droit à l’ARE. J’avais choisi d’arrêter d’avoir la tête dans le guidon pour me concentrer sur mon avenir, sur ce que je voulais. J’ai passé un an à préparer cela, notamment en faisant un bilan de compétences à 25 ans. J’ai aussi profité de tout le temps libre que j’avais pour avoir une vie sociale et des activités. Malgré une situation financière instable, j’arrivais à me débrouiller. Notamment en effectuant quelques missions au black par ci, par là.
J’ai repris une formation bac+3 pour bosser sur un projet de création d’entreprise. Je viens de terminer l’année, je suis diplômée et mes droits au chômage vont s’arrêter.
Il y a presque un an j’ai rencontré quelqu’un. Il s’est installé chez moi avec moi (j’ai maintenant un studio). Il vit dans le Var depuis qu’il a 9 ans mais dès notre rencontre, il me parlait du fait qu’il en avait marre d’être ici. Nous avons envisagé un possible déménagement mais avons rapidement laissé tomber l’idée puisque mon projet avançait doucement et me redonnait le goût de vivre et surtout de travailler.
MAIS, n’ayant pas les moyens de monter mon entreprise en un claquement de doigts, je suis contrainte de chercher un emploi. Voilà un mois que j’épluche les sites spécialistes de l’emploi, je suis également inscrite dans différentes agences intérim, j’ai postulé à TRES PEU d’offres (2 ou 3 tout au plus). Me voilà à nouveau découragée et déprimée. A l’époque où je sortais de l’université, ma conseillère Pôle Emploi m’avait dit clairement que pour trouver un poste dans mon domaine, il fallait que je monte sur Paris… J’ai étudié le tourisme durable, j’habite dans le département le plus touristique de France et je dois le quitter si je veux un job dans le tourisme ? Je me disais qu’elle était nulle et n’avait rien compris… Mais en fin de compte, elle avait juste ENTIEREMENT RAISON. Les offres d’emploi dans le tourisme et dans la région concerne essentiellement des postes saisonniers, dans la restauration ou l’hôtellerie.. Rien a voir donc avec le développement touristique durable. Et aujourd’hui, je veux à tout prix fuir l’hôtellerie et la restauration. SAUF QUE, les offres que je trouve tournent beaucoup autour de ce domaine. Sinon, des postes pour du secrétariat ou carrément des emplois dans des domaines techniques pour lesquels je n’ai aucune connaissance (parfois, je ne comprends même pas de quel métier il s’agit). Et évidemment, autour d’Hyères, les postes à pourvoir ne se bousculent pas. J’aimerais continuer de me former, notamment au management opérationnel, mais encore une fois, mon profil ne convient pas aux employeurs… Et n’ayant plus été dans le tourisme depuis plusieurs années, je perds mes connaissances et mes compétences, ce qui n’arrange rien.
BREF, quand je fais le point sur ma vie dans le Var, je me dis que je ne pourrai JAMAIS me construire une vie stable et agréable si je reste ici. En 5 ans, je n’ai rien réussi à construire et ce n’est pourtant pas faute d’avoir mis les chances de mon côté, notamment en bossant d’arrache pied. J’ai même perdu le goût de travailler alors que j’ai commencé à bosser dès l’âge de 15 ans… Tout en moi me dit qu’il faut que je m’en aille. Je suis même certaine qu’en partant et après le stress d’un déménagement, ma santé ira beaucoup mieux. Je n’ai même pas le goût de postuler aux peu d’offres d’emploi que je trouve ici, j’ai le goût de rien. C’est l’été, il fait beau et chaud et je reste enfermée chez moi des journées entières en épluchant les sites d’offres d’emploi, histoire de me donner bonne conscience. Les seules choses qui m’animent sont les concerts que l’on va voir avec mon chéri, car pour ça, la région est pas mal.
Mon cher et tendre a quitté un CDI qu’il avait depuis 5 ans, au mois de décembre. Il est plus jeune que moi et voulait voir autre chose (j’ai 27 ans, il a 25 ans). Il enchaine depuis les échecs et l’entreprise dans laquelle il travaille actuellement ne veut pas le garder. Il n’a plus d’emploi dans 3 jours. Il est, lui aussi, écoeurée. Alors que comme moi, il bosse depuis ses 14 ou 15 ans. D’autant qu’il exerce un métier spécifique et qu’il a quasiment fait le tour des employeurs susceptibles de l’embaucher ici. Il va sans doute faire un bilan de compétences ou tout autre démarche qui pourrait lui permettre d’élargir son champ de compétences.
Notre confiance en nous se fragilise du fait de notre situation. Nos discussions tournent toujours autour de sujets négatifs, nous alimentons cette négativité, nous voyons bien qu’il faut que l’on fasse quelque chose pour arranger tout cela. Nous envisageons de partir mais nous sommes perdus. Nous discutons beaucoup tous les 2 sur ce sujet. Nous sommes d’accord sur tout mais n’avons aucune idée de la région où nous pourrions aller. Si ce n’est que nos critères sont : une meilleure qualité de vie notamment d’un point de vue financier, un lieu où il y a de l’emploi durable et où nous pourrons construire notre vie et moi, envisager mon entreprise. Hors financier, nous souhaitons une qualité de vie qui nous permette d’avoir accès à des activités (sport, concerts…). On ne cherche pas à vivre dans un palais, nous vivons actuellement dans 22m et j’ai 3 chats… Nous avons la chance d’avoir un grand balcon, tout le monde est donc heureux dans ce petit espace. Mais, nous aimerions pouvoir nous offrir à nous et nos chats, un poil plus de confort… Et surtout, un achat immobilier. Et cela ne pourra pas se faire dans la région.
J’ai relu et relu mon roman un certain nombre de fois, s’il y a des fautes, j’en suis désolée. A VOS REPONSES 😀 😀 😀 !!!!! Et bonne vacances à ceux qui en ont.
Bonjour Carole, ton retour d’expérience m’a beaucoup troublé car avec mon chéri nous prévoyons de déménager dans le var courant printemps 2020 🙂
Nous vivons aujourd’hui en Vendée et après avoir fait le tour de ce qu’il nous était possible de faire pour s’y sentir chez nous, nous avons décidé de partir car finalement tous les clichés qui nous ont été dits sur ce pays et ses habitant se sont avérés vrais pour notre part:
– Le travail : il y en a même pour au moins la moitié de la population française^^ mais…malheureusement, les salaires sont ridiculement bas. Malgré un bac+5 pour ma part et un grand diplôme avec de riches et longues expériences professionnelles pour mon chéri, nous sommes tous deux payés au SMIC, plus lui qui a perdu son travail il y a quelques mois et qui peine à en retrouver (il est comme toi, dans l’hôtellerie et restauration). Et quand nous discutons avec les quelques personnes que nous connaissons qu’ils soient natifs du coin ou non, tous s’accordent à dire qu’en général les patrons ont des oursins dans les poches et que même en fin de carrière, très peu de gens arrivent aux 2.000€ nets de salaire.
– La qualité de vie : c’est l’un des gros points positifs que nous avons observés, le loyer et l’alimentation – variée – ne coûtent pas trop chers et parfois, on peut même s’accorder quelques petits plaisirs (1 petit resto 1 fois dans le mois, 2 ou 3 concerts dans l’année, 1 semaine de « vraies vacances » tous les ans…).
– La vie sociale et les mentalités : c’est l’élément qui pour nous a vraiment tout gâché, plus même que les salaires. Les gens ne sont pas foncièrement mauvais mais il y a beaucoup d’entre-soi (les vendéens naissent, grandissent, travaillent et meurent en Vendée) et de ce fait, ils ne sont pas ouverts sur les autres qui ne sont pas exactement comme eux. Et puis les gens sont beaucoup dans le paraître: ne jamais froisser l’autre, ne jamais dire des choses désagréables, se présenter toujours bien comme il faut mais à côté de ça, dès que les gens ont le dos tourné ça se lâche => en somme je les trouve très faux et hypocrites 🙂 En 5 ans ici, nous n’avons pas réussi à nous faire des amis et c’est pas faute d’avoir essayé.
Alors pour nous, la combinaison 0 épanouissement professionnel + 0 perspective d’évolution pro et perso + 0 vie sociale ne marche plus malgré le charme de la vie vendéenne.
Nous savons très bien que la tranquillité qu’on avait ici nous manquera terriblement et nous ne savons pas vraiment ce qui nous attendra dans le var mais là, nous faisons tous les deux une overdose face à la situation et avons envie d’y croire et je serai intéressée d’avoir des astuces et conseils si ça ne te dérange pas 🙂
Pour ma part, si vous songez toujours à changer de région, je vous conseillerai la Vendée si vous êtes prêts à changer de métier (tu parlais de management) car tout ce qui est gestion d’entreprises et les métiers manuels recrutent beaucoup par ici et si avoir une vie sociale n’est pas une priorité pour vous, c’est un endroit où il est agréable de vivre et où les achats immobiliers restent accessibles.
Bonjour
J’ai lu vos propos sur la région vendée, tous ce qui a été dit sur la mentalité des locaux le travail les salaires ridicules sont surement vrais d’après vos dire .
Mais je vais vous dire j’ai bien peur pour vous que vous retrouverez celà un peu partout , moi j’ai quitté la région parisiennes ou je suis né en 2014 et j’ai connu des voisins plus ou moins sympas des tension dans l’entreprise des gens qui le vendredi se faisaient des congratulation et le lundi qui se critiquaient mutuellement .
Après mon départ de Paris je suis arrivé en province là ou une partie de la famille maternelle habite et je peux vous dire que je souhaitais m’y installer un jour et j’ai retrouvé ce même phénomène au sein des village et de ma propre famille pour certain et une pointe de jalousie sur le parisien qui débarque chez nous , quand vous y allé pour les vacances dépenser votre argent ça va à peu prêt mais c’est tout.
Je suis actuellement à Montpellier s’est une grande ville un peu différent car vous rencontré des gens comme vous qui viennent d’ailleurs; mais ne vous éloigné pas dans un petit village avec des locaux vous retrouvé surement la même chose quand Vendée mais en beaucoup plus pire, j’ai expérimenté aussi pendant quelques mois il faut dire aussi que des c……..il y en à partout ,vous n’y échapperez pas .
Pourtant d’après les dires la région ouest est encore la mieux lotie pour y vivre, après je vous dirais que cela est complètement différent pour chacun car il y a les paramètres du moment et de votre vie : jeune, moins jeune, situation, enfants ou pas, ect……
Bon courage à vous pour la suite.
Moi je suis à deux ans de la retraite et je pense de plus en plus de changer encore de région , beaucoup trop chaud pour moi ,ville de plus en plus en insécurité , sale, bruyante.
Je souhaite retrouver une ville un peu plus calme plus propre plus sécurisé.
Vous êtes toujours en activité avec peut etre des enfants, posé vous les bonnes questions la réflexion et le choix n’est pas simple.
Bon courage
Bonjour, je suis célibataire, sans enfant, 43 ans. Je suis en situation de handicap et au chômage depuis 5 ans. Je vis chez ma mère qui accepte de m’héberger en attendant que je trouve une solution. Mais la situation me pèse, surtout que je ne me plait vraiment plus en Normandie. Je songe à partir même à l’étranger, mais je voudrais d’abord trouver un emploi pour assurer mes arrières. Si quelqu’un lit ce message est à une solution, parce qu’après environ 150 candidatures sans succès je commence à me poser des questions. Bonne journée à tous
Rien est impossible…
Si vous le voulez vraiment, mais vraiment.
Prêt à passé le cap… Croyez alors qu’à une seule personne.. : vous..
On a qu’une seule vie, à vous de décider, ce que vous voulez en faire..
???
Bonjour, je suis une maman seule avec 3 enfants (9 ans, 10 ans et 14 ans). Ma vie actuelle ne me convient pas, je ne suis pas heureuse. Divorcée, je viens de perdre mon emploi, je vis dans un logement social entourée de gens sales, bruyants et irrespectueux, je suis à bout. J’aimerais tout quitter et recommencer ma vie à zéro, ailleurs mais il est vrai que j’ai un peu peur, pas de partir mais comment réussir à trouver un emploi ou un logement?? J’hésite entre la Vendée et les Vosges, deux endroits que j’ai visiter étant petite et dont je suis tombée amoureuse 🙂 Bref, si quelqu’un ici a sauter le pas j’aurais vraiment besoin de conseils, merci. Sabrina
Bonjour, je suis une maman seule avec 3 enfants (9 ans, 10 ans et 14 ans). Ma vie actuelle ne me convient pas, je ne suis pas heureuse. Divorcée, je viens de perdre mon emploi, je vis dans un logement social entourée de gens sales, bruyants et irrespectueux, je suis à bout. J’aimerais tout quitter et recommencer ma vie à zéro, ailleurs mais il est vrai que j’ai un peu peur, pas de partir mais comment réussir à trouver un emploi ou un logement?? J’hésite entre la Vendée et les Vosges, deux endroits que j’ai visiter étant petite et dont je suis tombée amoureuse 🙂 Bref, si quelqu’un ici a sauter le pas j’aurais vraiment besoin de conseils, merci. Sabrina.
Bonjour à tous
D’une première union, j’ai eu 3 garçons et je me suis séparé. D’une seconde union avec mariage, j’ai eu 1 fille. Aujourd’hui, je suis en procédure de divorce.
J’ai pensé à changer de région, déménager pour fuir ce passé assez douloureux pour moi…mais après quelques lectures d’avis de diverses personnes, j’hésite à partir…
Je suis seul depuis quelques mois, je réside en maison, j’ai un travail mais depuis ma dernière séparation, j’avoue que c’est très dur financièrement.
La colocation, pourquoi pas…
J’ouvre cette discussion.
Joyeuses pâques à tous
Bonjour, Nous sommes une Famille vivant dans le Var et originaire du Loiret. Nous souhaitons rejoindre notre département de naissance. Nous avons envie d’une vie simple et sincère. Nous avons envie de reprendre un commerce dans une petite ville – petit village ayant besoin de s’agrandir ou de renaitre. Nous sommes 5 adultes (préparateur en pharmacie, toiletteur, jardinier en reconversion, agent de nettoyage, secrétaire médicale) et 1 enfant. Nus avons la possibilité d’acheter un logement dans votre commune suite à la vente du nôtre. Merci de Nous contacter si notre annonce vous intéresse. A bientôt.
Bonjour, Nous sommes une Famille vivant dans le Var et originaire du Loiret. Nous souhaitons rejoindre notre département de naissance. Nous avons envie d’une vie simple et sincère. Nous avons envie de reprendre un commerce dans une petite ville – petit village ayant besoin de s’agrandir ou de renaitre. Nous sommes 5 adultes (préparateur en pharmacie, toiletteur, jardinier en reconversion, agent de nettoyage, secrétaire médicale) et 1 enfant scolarisé. Nus avons la possibilité d’acheter un logement dans votre commune suite à la vente du nôtre. Merci de Nous contacter si notre annonce vous intéresse. A bientôt.
Bonjour
Suite au décès de mon épouse en 2014 j’ai changé de département , je vivait à Orléans et je suis parti vivre dans l’Indre et Loire , mais ce n’était une bonne chose car je n’arrive pas à m’intégrer ici!! Je souhaite de tout mon cœur de partir dans le sud de la France ou de l’Espagne , mais je ne vois pas faire cela seule?? Car je suis toujours veuf et mon deuil à assez duré … J’ai 57 ans sans enfants à charge et je voudrais finir ma vie heureux… Merci
Salut sumo
Je suis exactement dans le mm cas de figure à la seule différence que je suis divorcé et que je ne me sens plus heureuse ici ….mais pareil seule c’est compliqué
Bonjour,
La commune de Plouguerneau dans le Nord Finistère, cherche des personnes pour reprendre l’épicerie bio et locale à qq mètres de la plage et du phare le plus haut d’Europe : https://plouguerneau.bzh/appel-a-projet-epicerie-lilia/. infos : 02 98 04 71 06. Ouverture souhaitée printemps 2019
Bonjour
je veux partir loin mère seule avec 4 enfants changer de vie et d’air comment faire quel sont les démarche merci.
67
Bonjour Weiss, es tu partie finalement?? Je suis une maman seule avec 3 enfants et j’aimerais également tout recommencer à zéro. Ma vie actuelle ne me convient pas, je ne suis pas heureuse… Si cela te dit de papoter un peu, j’aimerais savoir si tu as sauter la pas.. bis, Sabrina.
Coucou,
A 56 ans, je veux partir dans le sud, près d’ Agen, Périgueux…., je suis totalement seule, plus de famille, rien ! Où je suis actuellement , bientôt 5 ans, je n’ ai eu que des problèmes, santé, financier…..etc, et ça continue.
Je ne travaille plus, j’ ai un petit peu d’ argent de côté, j’ aimerai me retrouver, je n’ étais pas toujours triste avant, j’ aimais les contacts, a été bénévole des années, ici rien n’ est possible, je suis 1 étrangère pour eux, le bénévolat ils connaissent pas ou ont » leurs bénévoles ».
Je n’ ai aucune peur de partir, mais les problèmes, déménagement toute seule, pour les visites…..m’ ennuient et je repousse, pourtant il me faut un tilt car je n’ en peux plus, je déprime si je reste ce sera de la dépression et là, ce sera pire, je n’ ai pas envie de mourir ici, pitié !! J’ ai cherché sur internet, mis des alertes dans plein d’ agences, particuliers ne répondent pas, je ne sais plus quoi et comment faire, personne ne m’ a jamais donné une ptite idée ou autre, j’ ai peur de baisser les bras et que cela s’ empire
Merci
1 perdue………
Moi aussi je veu partir mai comment faire seule avec un enfant je veut tous laissée pour repartir de nouveau 47ans sansenploi
Bonjour je suis dans le même cas que toi as tu réussi merci
Je suis dans le même cas, je suis divorcée, 3 enfants, j’ai perdu mon emploi il y a peu et je vis dans un logement social ou je me sent vraiment très mal car les gens sont sales, bruyants et irrespectueux… j’ai envie de partir mais c’est certain que seule sa fait un peu peur…
Salut à toutes et à tous!! Après un an dans le morbihan, impossible de s intégrer avec ces energumènes Bretons !! Les paysages le golfe etc c est bien en tant que Touriste (c est d ailleurs de là que ça part!) et suite à une rupture extremement douloureuse, j atteris ds ce fichu département ou règne le club du 3ème âge! Je tente le tout pour le tout, j ai plus d attaches, pas de moyens ou si peu, mes bras et mes jambes et cette même expérience négative m aura fait comprendre que ma place n était pas içi. Tout était fermé à tous les niveaux. Alors un jour, on décroche un travail, on a un entretien positif avec tout mon courage, on cherche toutes les solutions d hébergement au possible dans cette autre région que j avais quittée (mais autre ville), et on lâche prise, dans l inconnu total. Je verrais bien… Je continu à payer ma location e,n Morbihan car pas le choix (garde meuble), et j ai trouvé des gens formidables qui m accueillent ds leur grande maison (partie annexe) en attendant que je remonte la pente. Tout ça pour vous dire que rien n est impossible mais quant on y crois plus du tout et pourtant croyez moi!! J ai remuez ciel et terre!! Je laisse la vie se charger du reste. Ma fierté ? J aurais essayé et pris mes responsabilités et fais le saut… Ca n a pas de prix.. Je vous tien au courant et racontez moi vos expériences, c est toujours très enrichissant! Bises à vous tous! F.
je suis retraitée de 68 ans je vis actuellement en catalogne espagnole et souhaite revenir en France région Languedoc Roussillon par exemple je cherche à louer vers Argeles sur mer village ou autre lieu dans les PO
mais aussi peux aller dans l Hérault ….
mais je découvre qu il m est difficile de trouver une location exemple grand studio ou T2 car lorsque je vais voir les agences pour louer la première question est de me demander combien je touche de retraite je leur dit 1050€ ils divisent par trois et me répondent on a rien , je répond que j ai de quoi payer les loyers vendant une petite maison mais cela ne les intéressent pas du tout et se déchargent en disant que ce sont les assurances des loyers non payes qui leur imposent cela
puis j ai regarder sur le bon coin et d autres sites et ne trouvent rien à l année car les appartements sont loués aux étudiants d octobre a mai puis au touristes ,j ai regardé aussi le scolocations et les eventualités d evivre en mobylome mais casi tous les camping ferment qq mois …..
je me demande donc si il y a une solution pour moi (et les personnes avec cette retraite )trop riche pour avoir des aides et trop pauvres pour pouvoir louer…il vaut mieux en rire
alors je regarde éventuellement pour m expatrier au portugal …pas pour ne pas payer d impôts je suis non imposable en France mais pour trouver une location …et un air nouveau ….
je veux prendre une décision et trouver un lieu de vie où je serai bien pour ma retraite , j ai beaucoup voyagé et n ai pas d attaches particulières en France mais il y a aussi des avantages à vivre dans son pays d abord la langue qui permet de faire plus facilement connaissance..
voilà je suis ouverte à vos commentaires , réflexions, etc
si vous avez des conseils , des réflexions merci de les partager
avec toute mon amitié
odeta
Bonjour,
Je suis maman solo, j’ai bientôt 30 ans j’ai deux enfants en bas âges.
J’aimerais changer d’horizon et recommencer ma vie à zéro avec mes enfants dont j’ai la garde.
Je serais tentée par le Sud j’ai bientôt le diplôme d’Auxiliaire de l’Enfance CAP petite enfance.
J’aime la France,mais je me pose pas mal de question étant Belge quels seront mes droits, je précise je ne viens pas en France pour profiter de quoi que ce soit mais pour entamer une nouvelle vie au calme avec mes enfants.
Pourriez-vous me conseiller une ville agréable pour nous 3!?
Une maman qui a envie d’avancer et de vivre à fond la vie et profiter de chaque moment passé avec ses enfants.
Bonjour je suis un peu dans le même cas sauf que j’ai eu une promotion et donc mutée sur Cannes … Je suis très heureuse mais aussi avec du stress … Je suis seul avec mes 3 enfants et je me demande si elles vont réussir à s’intègrer en bas … Je suis de Strasbourg et notre accents ne nous epargnent pas lol ?… Malheureusement je ne sais pas vraiment où je pourrais discuter avec des mamans de Vannes pour me rassurer sur la vie en bas
Pourquoi pas Marseille? Surtout pas en centre ville mais du côté de la plage par exemple. Vous seriez en bord de mer (très agréable pour les enfants hiver comme été), près des calanques pour les balades, il y a de magnifiques parcs (le parc Pastré, le parc Borély) et des écoles supers pour les enfants. Et nous avons du soleil toute l’année!
Bonjour ou en es tu depuis ???
Je suis maman solo de 34 ans de 2 garcons de 12 et 10 ans je suis en Normandie et je suis dans une profonde tristesse. Suote a une rupture douloureuse separee depuis 8 ans et n’accumulant que des echecs celui est le coup de grâce) je veux partir sonon je me sens mourir de l’intérieur. Je pleure sans arret. Je reste chez moi. J’ai désactivé tous mes reseaux sociaux je misole. Ke n’en peux plus. J’ai peur …..
Bonjour,
Je suis un peu dans le même cas que vous. Êtes vous prête à discuter de cela avec moi. Cordialement
bonjour,
je recherche des témoignages de famille ayant tout quitté pour changer de région.
Mon mari vient de perdre son emploi et moi je suis en congé maternité. L’entreprise pour laquelle je travaille va surement déposer le bilan. bref, nous ne trouverons pas d’autres moment où nous sommes si peu sans attache. Nous rêvons depuis longtemps de partir sur bordeaux. Nous avons deux enfants dont une qui va entrer à l’école. Je me pose beaucoup de questions : nous attendons que mon mari trouve un emploi. mais que faut il faire partir avec la promesse d’embauche? attendre qu’il passe sa période d’essai? cela risque d’être dure pour les enfants de ne pas le voir la semaine pendant sa période d’essai? avez vous des témoignages de famille?
je vous remercie
Marie
J’ai aussi vécu sur la place d’un village touristique de l’Aude. c’était le cauchemar. Au début c’etait cool et vivant, et puis à la fin, (pas tellement longtemps aprés a vrai dire) je n’osais meme plus aller acheter le pain à la boulangerie, de peur de croiser certaines personnes. Trop de bruit, et de passage..sans doute pire qu’en ville..l’été c’était Times Square..trop c’est trop..on a fuis à Narbonne..et bizzarement c’est beaucoup plus calme. Comme quoi!
Bonjour, nous habitons sur la place d’un village dans les alpes maritimes en montagne, plus jamais! Le bruit incessant des enfants qui hurlent , je les appelle les enfants hurleurs, cela veut dire des cris stridents, et bien sûr les parents ne disent rien, c’est l’époque des enfants rois, on se croirait dans une cour de récréation, les ballettis, qui nous empêchent de dormir les ballettis sont des musiques pour les personnes âgées, c bien qu’ils s’amusent, mais les valses, les paso dobles etc, ne plaisent pas à tous, vous allez dire, ils ne supportent rien ces gens-là, si, nous supportons, mais il y a des limites à tout. Alors je vous déconseille d’aller habiter sur la place d’un village! Merci
Bonjour,
Je me présente, j’ai… eh bien 42 ans, habite Paris et suis en « transition professionnelle » (c’est à dire que pour le moment je ne « travaille » pas, je fais des formations).
Séparée tout récemment de mon ami, je me retrouve donc célibataire. Cela fait 15 ans que Paris me pèse (bien que j’y ai toujours vécu, même si j’ai passé toute mon enfance en « banlieue très verte ») et que la Province me tente… j’avais il y a 13 ans envoyé des CV suite à une reprise d’études dans plusieurs grandes villes (Bordeaux, Rennes, Nantes) mais sans succès aucun.
Maintenant, je me dis que c’est peut être le moment, que c’est « maintenant ou jamais » et qu’il faut que je saute le pas. Plusieurs régions me tentent, mais je n’ai aucune attache nulle part ailleurs qu’à Paris…. Et je suis orientée assez « bio » avec les valeurs s’y rattachant, y compris ma nouvelle formation (soins énergétiques et massage des pieds) avec laquelle je souhaiterais exercer, même si j’ai un passé de vie en entreprise.
Je voulais avoir le témoignage de personnes célibataires comme moi qui ont fait le « grand saut » et savoir comment elles s’y étaient prises – y compris les écueils à éviter.
J’ai lu attentivement les témoignages, mais la plupart concernent des personnes qui sont en couple ou en famille.
Pour moi c’est vraiment le « grand saut » total, puisque c’est changer de boulot ET de région…
Merci beaucoup pour vos remarques et témoignages.
Bonjour, Merci pour tout.
Le fait de changer d’air est toujours positif, je l’ai fait moi-même et à plusieurs reprises et c’est d’ailleurs pour ça que j’ai décidé de m’impliquer pour les autres maintenant.
La réussite ? Oui, le partage est la base de celle-ci.
A bientôt.
Shagooo
MARRE DE PARIS!!!
MARRE de respirer les mauvaise odeur et de subir la mauvaise humeur des gens grincheux! Je rentre de vacance et déja envie de repartir sur la cote d’opale mon petit paradis Mes enfants vivent dans la région Donc je me retrouve loin de ma famille Mais mon travail est a Paris alors por le moment je reve du moment ou je pourrais enfin vivre comme j’en ai envie
Bonjour,
Je viens de lire tous vos commentaires. Ca motive à me bouger un peu.
En effet, mon projet est de quitter paris (dont je ne suis pas originaire) pour m’installer dans le sud ouest (idéalement bayonne).
Ma crainte se situe au niveau professionnel. Je regarde depuis quelques temps le marché de l’emploi… peu d’offres à pourvoir.
L’un d’entre vous aurait-il déjà sauter ce même pas ?
Mille merci !
ma fille quitte son appartement a paris avec 3 enfants pour aller vivre vers nantes sans travail ni domicile ni formation? l’ai peur pour eux
bonjour pouvez vous m’aidez a trouver une maison avec un jardin à montpellier j’aime beaucoup cette ville meme a quelques kilometres en dehors le loyer ne depasse pas 750 euro merci pour votre aide
VOUS AVEZ ENVIE DE CHANGER DE VIE
Loft, gîte et chambres d’hôtes Gers Compostelle
Maison de maître générant des revenus confortables.
Grande propriété sur 6000 m² arborés proche de Nogaro comprenant
– grande maison de maître (350 m² incluant un grand loft)
– gîte (140 m²)
– petit chalet (18 m²) et dépendances.
Habitable et exploitable de suite.
Clientèle assurée (d’avril à octobre).
Possibilité de développement facile en augmentant la période d’ouverture et en promouvant l’accueil touristes, camping car et séminaires.
Aires camping car 6 places aux normes.
2.5 km des commerces et service (Nogaro)
A proximité du sentier de St jacques de Compostelle (très bien situé car à mi chemin entre 2 étapes importantes),
4 km circuit automobile de Nogaro
Clientèle très agréable: pèlerins / randonneur 85%, circuit automobile 10%
Le tout (partie privative et activité) vendu meublé et équipé complètement
Idéal à gérer à deux.
Revenus (micro BIC) des 3 derniers mois d’exploitation (avril, mai, juin) de 31 000 € bruts.
Prix: 665000 euros
Contact par téléphone de préférence : 05 62 09 14 11 ou 06 14 75 90 24
Moi aussi petit souci d’envoie! lol
Je ne suis pas là par hazzard , tu vois Catherina ! lol
Bonjour à tous !
Tous comme toi Catherina je rêve beaucoup d’une nouvelle destination à vivre.
Bien que la Vendée soit un très jolie département où je suis actuellement et étant aussi mon milieu d’origine j’aie toujours eu cette envie de descendre plus bas voir ce qui si passe.
Je suis partie à plusieurs reprises en vacances vers Perpignan, et la dernière fois fut la fois de trop !
Je dis de trop , mais positivement!
Le cadre de vie que je rêve depuis tellement de temps c’est offert à moi en pleine figure et n’est plus jamais ressorti de ma tête, pas un jour sans penser aux senteurs de la région, le charmes de ces paysages multiples, la convivialité des habitants, cette culture cathalane et biensure cette chaleur que j’adore, fouettant les branches d’oliviers !
Bref tu l’auras compris je suis devenue acro !
Je comprends ta situation, car pour moi la vie Parisiennes est à exclure totalement , même si des gens ne se verrai pas habiter ailleurs qu’aupres des centre commerciale de 8 étages, de la Tour Eiffel ‘ certe très belle), moi je suis une fille de la campagne et de la mer, et le faite de vivre en ce moment dans une ville de 50 000 habitants est déjà pour moi bien de trop !
Je n’exclue pas la proximité de la grande ville , qui je confirme est tout de même bien pratique, mais y etre un peu excentrée serai l’idéal pour moi.
Il me semble que si tu prépares correctement ton projet, que tu te poses toutes les questions nécessaires à tes attentes et surtout, si c’est quelques chose qui te trotte dans la tête depuis belle lurette! lol
Eh bien je ne te dis qu’une chose fonces, afin de ne pas regretter.
Il y a une expression que j’aime à dire en ce moment :
« qui ne tente rien, n’a rien ! » Le tous est de s’en donner les moyens !
Je te souhaite bon courage et si tu souhaite discuter de ce projet qui est aussi le mien , n’hésite pas !
Mille excuses pour le flood, ma connexion a eu un petit souci!!
Bonjour tout le monde
Et merci avant tout à Yves Deloison, aux journalistes et aux personnes qui participent à la construction de ce site, jour après jour, dans un esprit positif qui je vous assure, fais un bien fou.
Je me présente donc, Caterina, 29 ans, actuellement en poste dans le 78, et pas satisfaite…. Pas forcément par mon poste ni par l’endroit où je travaille, dans l’ensemble je m’estime chanceuse de faire ce que je fais, mais…car il y a un mais, je ne suis pas heureuse de vivre dans cette région où je suis pourtant née.
Je « fantasme » depuis que je suis toute jeune sur la Provence, peut être est ce parce que je suis d’origine anglo-italienne, en tout cas une part de mes racines est définitivement près de la Méditerranée.
Je suis une femme qui privilégie surtout le ressenti, les gens, les endroits, bien plus que les choses matérielles, et je le sais au fond de moi mon bonheur passe par le fait de vivre entre mer et montagne, c’est une chose qui me hante depuis toujours mais je n’arrive pas à franchir le pas, et comme pour beaucoup, par peur.
Peur de me planter, d’être déçue, d’échouer….
Et pourtant j’ai à la maison deux exemples o combien importants : mes parents qui ont quitté tous deux leur pays, parlant deux langues différentes, et encore moins celle du pays qu’ils allaient conquérir il y a de cela près de 40 ans.
Ils ont pourtant réussi, se sont établis, adapter, ont trouvé leur voie et leur bonheur.
Et moi, qui ne souhaite pas quitter l’hexagone, je balise!!
Sauf que là j’en ai assez, le temps passe, et chaque documentaire que je vois passer à la télévision, ou je vois les paysages qui me tiennent tant à coeur, est une blessure qui se rouvre et saigne, et c’est douloureux.
Je n’imagine pas la vie parfaite là bas, j’imagine juste enfin commencer à vivre, profiter de la nature…
Je suis tombée sur ce site il y a quelques temps sans oser participer, mais il me donne la pêche et l’envie d’y croire, j’ai refait mon CV et j’ai déjà commencé la prospection, avec une boule d’angoisse certes, mais le sourire aux lèvres à l’imaginer que cela fonctionne!!
J’aimerais beaucoup connaitre l’avis des gens qui ont réussi, et avoir des conseils, des avis, des adresses…
merci à vous, vivons nos rêves au lieu de rêver notre vie 🙂
AMitiés
Caterina
Bonjour tout le monde
Et merci avant tout à Yves Deloison, aux journalistes et aux personnes qui participent à la construction de ce site, jour après jour, dans un esprit positif qui je vous assure, fais un bien fou.
Je me présente donc, Caterina, 29 ans, actuellement en poste dans le 78, et pas satisfaite…. Pas forcément par mon poste ni par l’endroit où je travaille, dans l’ensemble je m’estime chanceuse de faire ce que je fais, mais…car il y a un mais, je ne suis pas heureuse de vivre dans cette région où je suis pourtant née.
Je « fantasme » depuis que je suis toute jeune sur la Provence, peut être est ce parce que je suis d’origine anglo-italienne, en tout cas une part de mes racines est définitivement près de la Méditerranée.
Je suis une femme qui privilégie surtout le ressenti, les gens, les endroits, bien plus que les choses matérielles, et je le sais au fond de moi mon bonheur passe par le fait de vivre entre mer et montagne, c’est une chose qui me hante depuis toujours mais je n’arrive pas à franchir le pas, et comme pour beaucoup, par peur.
Peur de me planter, d’être déçue, d’échouer….
Et pourtant j’ai à la maison deux exemples o combien importants : mes parents qui ont quitté tous deux leur pays, parlant deux langues différentes, et encore moins celle du pays qu’ils allaient conquérir il y a de cela près de 40 ans.
Ils ont pourtant réussi, se sont établis, adapter, ont trouvé leur voie et leur bonheur.
Et moi, qui ne souhaite pas quitter l’hexagone, je balise!!
Sauf que là j’en ai assez, le temps passe, et chaque documentaire que je vois passer à la télévision, ou je vois les paysages qui me tiennent tant à coeur, est une blessure qui se rouvre et saigne, et c’est douloureux.
Je n’imagine pas la vie parfaite là bas, j’imagine juste enfin commencer à vivre, profiter de la nature…
Je suis tombée sur ce site il y a quelques temps sans oser participer, mais il me donne la pêche et l’envie d’y croire, j’ai refait mon CV et j’ai déjà commencé la prospection, avec une boule d’angoisse certes, mais le sourire aux lèvres à l’imaginer que cela fonctionne!!
J’aimerais beaucoup connaitre l’avis des gens qui ont réussi, et avoir des conseils, des avis, des adresses…
merci à vous, vivons nos rêves au lieu de rêver notre vie 🙂
AMitiés
Caterina
Faute d’emploi sur Toulouse, j’ai décidé de tout quitter pour la campagne. Mon ami a suivi (en ayant trouvé un job intéressant avant). Pour ma part, j’ai eu l’occasion de passer un bon nombre d’entretiens pour des postes auxquels je n’aurais jamais osé prétendre. La vie à la campagne est agréable mais pas forcément moins chère. Plus de trajets et pas de transports en communs… certes, l’immobilier est moins cher.
Il faut aussi penser à sa vie sociale. Tout quitter pour une belle région ne veut pas dire faire des rencontres facilement !
ps : votre blog est vraiment intéressant, bonne continuation !
Merci Olympe pour ce commentaire. Je recommande de visiter votre blog http://blog.plafonddeverre.fr
Et nous aurons l’occasion d’échanger à nouveau, c’est sûr.
je découvre ce blog. interessant. bonne continuation
Je vais attendre ce prochain billet avec impatience 🙂
Merci Gaëlle pour le lien. Je suis intervenu au cours de 2 tables rondes du salon Provemploi (dédié à la mobilité des franciliens vers la province) d’octobre dernier. En particulier lors de celle organisée par Monster « réussir sa mobilité, seul ou en famille ! ». En effet, rien n’est facile en matière de recherche d’emploi d’autant que la distance ne facilite pas les choses. Bien entendu, comme les femmes continuent le plus souvent à subir la mobilité professionnelle en raison de la priorité accordée à celle de leur conjoint, il est parfois difficile de rebondir dans la nouvelle région d’implantation. Mais j’évoquerai plus précisément ce thème clé dans un de mes prochains billets.
Sur ce sujet passionnant, je me permets d’indiquer un article que j’avais rédigé pour femmes-emploi et qui s’appelait « s’installer en province : comment faire les bons choix » (http://www.femmes-emploi.fr/article…) et qui montrait bien que les choses n’étaient pas aussi aisées que cela en terme d’emploi, surtout pour les femmes des couples bi-actifs ! L’important, comme tu le soulignes, est de bien s’informer, de bien préparer son départ, de bien en discuter avec son conjoint(e)….