Ça fait toujours un peu naïf formulé ainsi mais bon, j’ose quand même l’écrire : et si on tentait le bonheur ? Pas évident de voir le bon côté des choses me direz-vous quand, chaque jour, le stress nous étreint, les angoisses nous tenaillent et parfois la routine nous accable.
Photo by Matthew Henry from Burst
Pris dans le mouvement ronronnant de notre quotidien, difficile de se rendre compte qu’on passe à côté de sa vie, enfin, de ce qui fait sens pour soi. On peut continuer à subir ce rythme ou ses obligations qui ne nous conviennent pas ou plus. On peut tout autant prendre le taureau par les cornes.
Est-ce compliqué de changer ?
Même si je m’élève chaque fois que j’entends cette sentence dénuée de nuance « quand on veut, on peut ! », je crois toutefois que nous avons le pouvoir d’agir à minima. Même quand le contexte nous apparaît comme défavorable.
Envie de bonheur et d’harmonie ?
L’objectif premier, me semble-t-il, doit toujours rester la quête d’harmonie entre ce qu’on est, ce qu’on pense, ce qu’on désire et nos choix de vie. C’est en tout cas ainsi que quelques philosophes envisagent la question du bonheur.
Est-ce risqué de changer ?
Certes, l’exercice requiert une prise de distance et un travail d’analyse, ce qui risque de bousculer et de remettre en question la manière dont on vit. Pourtant, le jeu en vaut la chandelle car prendre le risque de changer, c’est prendre le risque d’être heureux.
ooooh, quel bonheur!! ( il etait temps ) Je trouve ma phrase fétiche ( quand on veut on peut !!) qui me permet d avancer chaque jour: « grace a elle », j ai reussi mon cours de premiere annee de medecine et du premier coup 🙂
Aujourd hui , je ressens le besoin de changer de vie, pr ça je voudrais demenager et continuer ces memes etudes qui me passionnent ds une autre ville , MERCI a votre site qui ne fait que confirmer la NECESSITE de ce changement !!!
Oser ! Croire en soi et aller au bout des envies …Si cela a du sens pour vous, cela en aura aussi pour d’autres. Le bonheur est fragile et le palper, le garder, l’enrichir, …est une quête permanente. Il faut aussi accepter de faire le deuil du passé, des échecs, des rancoeurs, des aigreurs, ….et écrire une page comme si c’était la première, ….s’entourer, partager, expérimenter, ….et prendre du plaisir chaque jour…Voilà ce que m’inspire ce billet aujourd’hui 🙂
Un peu perdue, quelque peu désorientée ces temps, je tape, à tout hasard sur Google: « trouver travail qui changera vie nous convient » (bah, oui, je l’ai dit, je suis un peu perdue) et me voilà sur vôtre blog qui me fait un bien fou, me fait sentir bien moins seule.
Je me retrouve dans ce que vous dîtes. J’ai pour ma part decidée de demissionner d’un CDI, sans filet, parce que je ne m’y retrouvais plus, voire, commençais à me dégouter. Mais voilà, l’envie de trouver une voie qui corresponde à celle que je suis dans le fond est intacte, mais je suis en prise à l’angoisse de l’engagement. Il me semble que tout cela est, sans doute normal, puisque la décision de changer de vie inclut une remisie en question, donc quelques soirées de face à face avec soi, indispensables, constructives mais pas légères alors… Difficile, parfois de prendre le recul nécessaire pour voir plus loin.
Tout cela pour vous dire merci, parce que grâce à vôtre blog, le sommeil viendra peut-être plus vite ce soir…
Merci et bravo!
Cathoche et Béné, grand merci pour vos encouragements ! Restez fidèle à Toutpourchanger.com !
Bravo Béné pour votre parcours et de prendre le temps de m’adresser le récit de votre expérience par mail (que je publie avec votre autorisation).
Ne pas subir mais agir, autant que possible, vous avez bien raison 😉
Continuez à m’envoyer vos messages et commentaires.
Bonjour,
Je découvre en ce moment votre site. Bravo !
J’ai créé ma petite entreprise, une EURL, à travers laquelle je propose des activités culturelles et sportives, des sorties… autour de Marseille.
Pour moi aussi, il a fallu un déclic : ce fut un licenciement économique après 11 années de travail intense en tant que salariée dans une grande entreprise de l’industrie.
Au total j’ai travaillé 18 ans dans diverses entreprises en tant qu’assistante commerciale avant de me lancer à 42 ans.
J’ai quand même pris le temps de réfléchir, de me préparer au changement et ai créé ma boîte 3 ans après mon licenciement.
Pendant ces trois années, j’ai de nouveau travaillé en entreprise, en intérim ou CDD avec possibilités d’embauches, mais sans grande conviction…
Néanmoins aujourd’hui, par sécurité, dans la mesure où ma boîte n’est pas stabilisée, je garde un job à temps partiel – 3 jours par semaine – en entreprise.
C’est un bon compromis pour le moment !
En tout cas, je fais tout ça parce que justement, je ne voulais plus subir mais agir. Il faut oser !
C’est la crise qu’ils disent, mais ce blog me donne la banane !
Merci merci merci pour tous ces conseils
Pour tout changer => Tout pour changer 😉
Une fidèle du blog