Qui peut répondre aux interrogations de Franck ? Il a 35 ans et exerce le métier de dessinateur industriel depuis 10 ans dans une multinationale. Aujourd’hui, il a envie de tout plaquer. Mais il ne sait pas par quel bout prendre le problème. Quels conseils peut-on lui apporter ? Merci à tous !
« Je gagne honnêtement ma vie et cette sécurité financière m’a permis de me construire une petite vie confortable avec mon épouse et mes 2 enfants, écrit Franck à toutpourchanger.com. Pourtant, depuis 5 ans je ressens un certain mal être au travail qui va grandissant et commence désormais à prendre une place non négligeable dans ma vie personnelle. N’étant pas trop sûr de la définition du stress… j’ignore si j’en suis victime. Toujours, est-il que je me sens physiquement et moralement fatigué. Certain signes me font croire que cela ne pourra pas durer comme cela encore bien longtemps. Le « craquage » est proche… L’envie de, professionnellement, tout plaquer ne me quitte pas environ 6 jours sur 7 depuis 1 à 2 ans.
Un bilan de compétences pour rien ?
Décidé l’an dernier à prendre le taureau par les cornes, j’ai fait un bilan de compétences financé par mon DIF (Droit individuel à la formation). Bilan ? un vrai fiasco. Pire… ça m’a donné de faux espoirs. Ce qui n’est pas idéal quand, déjà, on n’est pas au mieux dans son travail.
Ayant bien quelques envies, c’est vrai, que je dois bien l’avouer, je manque d’un vrai projet de reconversion.
Croyez-vous que, le temps d’y voir plus clair, mettre cartes sur table avec mon hiérarchique serait pertinent ? Ou, devrais-je plutôt en parler auparavant avec « genre » un psychologue ?
Merci d’avance à tous pour vos conseils ! »
N’hésitez pas à faire vos remarques et à réagir aux questions que se pose Franck dans les commentaires ci-dessous.
Bonjour Franck et aux autres,
Je ne saurais mieux te conseiller professionnellement parlant que les autres, en effet je n’ai que 22ans et n’ai eut qu’une brève expérience mais qui avait nombres de caractéristiques communes avec la tienne… Mais je vais essayer d’aborder le problème de façon humaine, après tout le sujet principal est un Homme après tout…. Manià à pointé le doit sur le fait de prendre du recul, mais peut être qu’il faut chercher un peu plus loin, à des endroits qu’on ose pas forcement chercher, « parce que ça fait peur », mais quand notre futur que l’on c’est créé nous fait vraiment peur, la on a pas d’autres solutions que de vraiment prendre le recul qui s’impose…
Une fois de plus je me las de voir que mon parcours ressemble au tien et à beaucoup d’autres encore…. Nous n’arrivons plus à trouver dans notre travail (et je pense que l’on pourrait étendre cela dans de très nombreux domaines, mais on y reviendra) d’intérêt, soit parce que l’on est pas respecté, soit parce que l’on ne se respecte même plus. Nous ne trouvons plus notre place dans ce monde qui a tant changé depuis que l’on en lui a dessiné ces contours,..
Nous vivons actuellement de grands changements, avec nos dernière technologie tout peut être automatisé, si cela n’a pas été déjà fait parce que « plus rentable », à terme les emplois manuels disparaîtrons complètement, on ne voit à l’heure actuelle que les prémisse de ce phénomène, ce processus est inévitable.
Autre « » » »changement » » » », notre « économie », si on peut appeler cela encore ainsi. Toujours avec du recul, l’économie c’était sensé être la science qui permet à la civilisation de subsister le plus longtemps possible à ces besoins. La notre, pour subsister doit en permanence produire de plus en plus, et de plus en plus vite. C’est imposé par plusieurs choses, l’évolution naturelle des technologies: une nouvelle génération faisant suite à une autre apportant ces propres avancées, mais maintenant c’est aussi imposé par l’obsolescence programmée, on le voit remarquablement avec les produits de la pomme pour ne pas leur faire encore plus de publicité, ou par l’apparition de plus en plus de produits jetable comme les rasoirs, les collants qui se filent à la première utilisation, la plupart des produits électro-ménagés chez qui on voit leur durée de vie réduite 3 à 5 ans, souvenez vous des premières machines à laver qui durait 20ans et marchait toujours, on observe même de plus en plus de personnes qui dans leur relations consomment les autres ne profitant que des bons côtés et ne cherchant plus forcement à continuer de construire cette relation vers quelque chose de durable… Aujourd’hui on sait que les ressources ne sont pas infinies comme notre « économie » laisserait à supposer.
Mais les nouvelles technologies ne nous apportent pas que du mal, bien loin de la, internet est l’une des plus belles avancées que l’Homme n’est jamais créé.L’humanité à la capacité de mutualisé son savoir, de façon instantané, et ce n’importe ou et qui plus est, gratuitement (après avoir payé un abonnement à votre cher « fournisseur d’accès » bien entendu).
Concrètement, si la société était adapté et optimisé à notre niveau de technologie actuel, tu pourrais « travailler » de chez toi pour n’importe qui, n’importe ou, et quand tu le souhaite, la personne travaillant avec toi consultera la donnée fournie quand elle aura du temps à y accorder; car comme toutes technologies il faut savoir l’utiliser, nous ne sommes pas des machines et nous ne nous pouvons pas « tirer sur la corde » tout le temps comme notre mode de vie nous y contraint, et ce, inutilement…
Je vais vous proposer deux métaphores pour illustrer ça :
J’aime voir l’Homme comme une plante qui pousse sur notre chère Terre, dans le fond c’est la même chose, mais le fonctionnement est plus simple… Le problème c’est que quand je vois le résultat chez les pousses qui m’entourent, et dieux sait que l’on peut en voir avec l’arrivée d’internet, il y a quelque chose qui ne va pas… Beaucoup ne fleurissent pas, et la plus part flétrissent. Cela viendrait-il de la plante en elle même? Non, ça fonctionnait avant… Cela viendrait il du sol? Non, la Terre c’est construite comme ça avant l’Homme… Cela viendrait-il de l’engrais que l’on nous donne tout les jours inlassablement?
Notre problème qui se pose est le suivant, on est une tribu de 6 personnes complètements différentes. On a un couple hétéro blanc, un couple hétéro noir, un couple gay juif . Pour se nourrir, on a un pommier, rien d’autres. Chacun dans son coin on va se mettre à réfléchir ;
– Le couple de blanc discute entre-eux : On coupe toute les pommes on partages tout mais c’est difficile, parce qu’il y a un kebla et du en plus y a des juifs pédés, ils sont moins bien que moi donc il doit vivre moins bien que moi, c’est logique ! Et puis s’ils étaient pas la j’en aurais plus… J’comprends pas pourquoi ils veulent me faire du mal…
– Le couple de noirs : On va essayer de prendre une pomme et de la faire pousser, mais tu feras attentions, ils sont aggressifs envers nous, fait le discrètement, je veux pas qu’il nous fasse de mal…..
– Le couple gay juif : On va tout couper, même les feuilles, et on va attribuer les feuilles si jamais ils le méritent, et faudra bien penser à cacher les feuilles dans un lieu sur, histoire d’assurer notre survie….
Évidement personne n’a pas la solution, mais nous faisons tous parties la solution, il suffit de prendre une partie des pommes pour les faire pousser, et répartir le reste équitablement sur le temps…
Enfin comme vous l’aurez compris, je pense pas que l’Homme soit mauvais de souche, c’est juste qu’on le lui a appris, et qu’il doit subsister, alors que l’abondance pourrait être pour tous. Et faut pas compter sur nos « professeurs » qui nous enseigner intrinsèquement ces valeurs pour lui apprendre le bien qu’il doit trouver en lui.
J’espère que je t’aurais apporté le problème sous un angle différent, si et si cet angle d’intrigue, je ne peux que te conseiller de te renseigner sur ce qu’est le Zeitgeist.
En tout cas je te souhaites beaucoup de courage pour la suite !
Bonjour Franck,
Si j’ai des conseils à te donner « prends du recul » et mets toi en accord avec ton fort intérieur . Pèse bien tes décisions avant de les prendre définitivement.
En ce moment, CE N’EST PAS DU TOUT PLUS VERT AILLEURS. Et cela nous arrive de vivre de pire cauchemar.
J’étais comme toi. Confuse dans mon esprit même si j’avais des idées bien claires comme projet.
Je voulais tout plaquer mais je n’imaginais pas du tout le monde dans lequel je vais débarquer et surtout l’évolution galopante négative du marché de travail en France, malgré les balances que j’ai faites.
J’ai pris la décision de quitter l’entreprise pour tout recommencer en France et maintenant j’en assume les conséquences (pas de travail, même pas une valorisation de tes véritables compétences, loin de sa famille, pas d’argent, pas de maison, pas d’aide…..) . Encore plus désespérée qu’avant.
Nous ne faisons que te donner du conseil mais TU ES MAITRE DE TA DÉCISION.
Bon courage.
Bonjour,
En quoi es tu bon voir super bon ? Que sais tu faire AVANT même de passer par une formation?
Y a t’il des offres d’emploi dans le secteur ou t’es super bon ?
Ton historique pro de dessinateur industriel offre des possibilités d’autres postes apres formation comme spécialisation (aéronautique, sous marin, plate-forme pétrolière etc).
Un changement de milieu de travail (évolution vers le dessin dit artistique cela inclus création de logo, page pub, web, travail en agence de communication ou en imprimerie voir free lance).
Je te conseille fortement de FAVORISER une évolution vers un secteur DEMANDEUR de personnel MEME s’il te plait MOINS ou s’éloigne de ton historique pro.
Dans tous les cas DIVERSIFIES toi avec l’outil informatique la maitrise du logiciel adobe master collection est un plus.
CONCLUSION :
Rares sont ceux qui associent passion et profession.
A toi de voir si le rapport salaire/poste de travail est supportable.
Es tu pret à gagner moins en travaillant mieux ?
Si les personnes que tu côtoies sont des gros « C » (comme Clients;-) relativise même si ce n’est pas toujours simple à gérer.
Le GROS problème avec un future employeur est d’avoir DEJA pratiqué avant de postuler ou l’absence de temps d’adaptation sur le poste à pourvoir.
Bon courage.
@+
Bonjour Franck, si tu sens que quelques chose ne va pas et qu’il y a un mal être il faut que tu fasses quelque chose c’est sûr, pour ne pas sombrer dans la dépression! As-tu dans un premier temps fait le point sur ton travail actuel et t’es tu fait un liste de ce qui ne te convenais plus ? cela pourra déjà permettre de cibler les points qui ne te conviennent plus et peut-être cibler des éventuels pistes de métiers.
Tu parles d’en parler à ta hiérarchie ou d’aller voir un psychologue mais pourquoi ne pas faire les deux, vas peut-être d’abord voir un psy qui te permettras sûrement d’identifier ton mal être et ensuite si tu en sens la nécessité et si ta hiérarchie est ouverte d’esprit dis leur ce que tu ais en réflexion sur ton avenir professionnel ou un truc de ce genre! j’te dis tout ça car je suis passé par ces étapes et cela m’a bien aidé et m’aide toujours car je suis entrain de mûrir mon nouveau projet professionnel!Voilà j’espère que tu trouveras ta voie bonne chance à toi!
Bonjour Franck et aux autres,
Je viens de lire ton post, premièrement, ne quitte absolument pas ton emploi, cela serait une grave erreur irreversible et lourde de conséquence. Je suis alarmiste à ce point car la seul et bonne raison et que ton job te sert avant tout de lieu de « sociabilité »; tu côtoie y au quotidien tes collègues, quand bien même ces derniers peuvent t’être insupportable, ils constituent un mini panel sociétal (secretaires, cadres, homme/femme de menages…).
Deuxièment, dans les moments difficile comme celui-ci, reste zen et Relativise ta situation au maximum c’est hyper important: si tu n’es peut être pas reconnu au boulot, penses a celui qui n’en a pas obligé malgré sa bonne volonté et qui finit par se résigner, a ceux de ta generation qui triment avec un smic/rsa et une famille a gérer et ne pas oublier la chance de résider dans un pays comme le notre (certains de ce monde restent sans espoir). Relativiser sa situation est la 1er marche vers la compassion.
Troisièment, essai de pointer ton problème du doigt: tes collègues? Ta hiérarchie? Ta boite? Ton métier en lui même? Si c’est un des 3 premiers, agit dessus et essai de trouver une solution qui soit objective, comme ex en calquant un peu les « collègues » qui reussissent ou en allant vers les autres et s’ouvrir.
Si c’est ton métier en lui même, pense à une chose que tu aurai toujours rêver de faire, penses y fort en prenant du recul, monte un projet pour y arriver (cours du soir ou reprise d’études et dans ce dernier cas un 2nd mini job mi temps, vente maison pour acheter moins grand et avec la + value monter une affaire…)
Bref fonce mais très sérieusement.
Je reste dispo si besoin, hesite pas à m’ecrire.
Bon courage!
Comme le dit Nath : « il faut consulter un médecin afin de sombrer dans la dépression et mettre en péril tout ce que vous avez construit et votre entourage. Bon courage ! »
Bonjour,
Mon précédent message a été envoyé avant que je ne le termine. Je voulais vous souhaiter bon courage ; écrivez-moi si le coeur vous en dit ; j’ai aidé plusieurs personnes avec des problématiques différentes de la vôtre.
Cordialement
Bonjour Franck,
Conseil n°1 : faites le maximum pour garder votre emploi ;( j’ai exercé plusieurs métiers, j’ai toujours fui les CDI, j’ai plusieurs cordes à mon arc mais cela ne suffit plus. Je suis plus âgée que vous et les chances de retrouver un emploi s’amenuisent, compte tenu aussi de la situation économique actuelle.) De plus en restant dans l’emploi vous pouvez négocier un CIF pour changer de métier.
Conseil n°2 : faites-vous aider (vos proches et/ou un professionnel) afin de pouvoir identifier l’origine de votre mal être.
Lorsque vous y verrez plus clair, ce sera possible de construire un projet professionnel autour des compétences transférables, de vos qualités personnelles issues de votre expérience professionnelle ou extra-professionnelle, de ce que vous ne supportez plus dans votre vie et de ce vous aimeriez être dans cette nouvelle vie.
Bonjour Franck,
Je me suis déjà sentie comme vous lasse de mon travail comme si je ne me sentais plus à ma place. Envie de tout plaquer mais par peurs je n’ai pas osé. Je vis seule avec ma fille et me savoir à l’abri matériellement est une sécurité dont j’ai besoin.
Alors je me suis posée les bonnes questions.
Qu’est-ce qui ne me plait plus dans mon travail ?
Sont-ce les tâches ? les collègues ?
Qu’est-ce que je peux faire pour changer ce qui ne me convient plus ?
Parfois, il ne suffit pas de grand chose. Cela peut-être faire le tri de ses dossiers, de son bureau, réfléchir à une nouvelle organisation, etc…
Le but étant de vraiment chercher à identifier ce qui ne convient plus et en toute honnêteté avec soi-même.
Ensuite la question la plus difficile à laquelle je n’ai pas encore de réponse, c’est qu’est- ce que je veux vraiment ?
Que voulez-vous vraiment Franck ?
De quoi avez-vous envie ?
Et dans votre vie personnelle, vous sentez-vous bien ?
N’y aurait-il pas aussi quelques changements à faire ?
Pour l’instant, je suis restée à ma place.Et je ne regrette pas mon choix. Je ne suis pas encore mûre pour une reconversion.
Je pense Franck, que si vous étiez prêt à partir vous ne vous poseriez pas toutes ces questions.
Ce que vous vivez met en lumière un malaise…parfois il est bien plus souvent intérieur qu’extérieur. Ce que l’on vit à l’intérieur se reflète à l’extérieur.
Alors si vous l’avez envisager, oui vous pouvez vous faire aider par un coach, un psychologue ou autre en tout cas un personne qui vous aidera à y voir plus clair dans ce que vous êtes et ce que vous avez envie de faire.
C’est un travail passionnant que de faire connaissance avec soi-même.
Bonne continuation. Isabelle
« Ayant bien quelques envies » parmi elles, y-en-a-t-il une qui de détache plus particulièrement?
Concernant le bilan de compétence -avez vous comparé plusieurs organismes? dans quel état d’esprit a-t-il été fait ?
Il y a des tests -souvent au sein du BDC qui permettent parfois de dégager des pistes (transférence, l’IRMR…).
Je pense, pour construire votre projet qu’il y a plusieurs possibilités : Partir de vos compétences (qui peuvent être transférables) vers une activité (avec une formation, des postes à pourvoir dans votre entreprise qui vous intéressent )ou partir de quelque chose que vous avez en tête, même furtivement, même une idée qui semble irréalisable , et essayer de construire votre projet autour (lister ce que vous ne voulez plus (conditions de travail ou autre…), ce qui vous attire , une sorte de brain storming sur papier,
Identifiez ce qui vous pèse : qu’est ce qui fait que le stress serait plus pesant aujourd’hui? (parlez en à des personnes de confiance qui vous donnerons leurs impressions)
Quoiqu’il en soit c’est une bonne chose d’anticiper avant que le poids n’entame votre motivation.
J’espère que ces éléments vous aideront.
Bonne continuation.
pour moi le bilan de compétences que je fais actuellement a été l’élément déclencheur d’une remise en question.
travaillant dans une TPE, il n’y a aucun changement possible j’étudie donc ce que je peux faire d’autre mais il est vrai qu’avec mon mari nous avons un projet concret et nous savons où le réaliser reste à trouver la bonne opportunité.
Faire le point avec votre hiérarchie est un premier pas cela vous permettrait de savoir où vous vous situez au sein de votre entreprise et de voir quel avenir est possible pour vous. Si ce qu’ils vous proposent ne vous convient pas, il faut également faire un point sur vous même, lister dans un tableau les + et les – de la situation actuelle cela vous permettra de hiérarchiser les choses et d’y voir clair.
Il faut aussi faire un point avec votre conjoint avec de faire le bon projet de vie. Maintenant si vous etes au bord du burn-out il faut consulter un médecin afin de sombrer dans la dépression et mettre en péril tout ce que vous avez construit et votre entourage. Bon courage !
Bonjour Franck
Je viens du Sud et depuis 15 ans suis à Paris. J’y suis venue soit disant pour le travail mais en fait j’ai fui ma famille par survie… pour résumer, me construire.
Voilà « chose faite », moi aussi installée confortablement dans une vie qui au fond ne me ressemble pas. Je suis célibataire et d’aucuns diraient que justement tout est permis. Jusque là il me manquait comme un déclic et je sais pas ce qui s’est passé ce matin, si c’est mon seuil de tolérance que j’ai atteint mais je crois bien que je touche le bout d’une future nouvelle vie avec laquelle j’espère être en harmonie. Ni fuite ni faire plaisir, juste être en accord avec moi-même.
Moi aussi j’ai fait un bilan de compé il y a qqs années, à vrai dire à un moment où j’ai été gravement malade et est-ce que ça a joué ou pas, les faits sont là : ça n’a rien donné de concret. Peut-être que je n’étais pas prête.
Toujours est-il qu’à tortiller le truc dans tous les sens : reconversion pro ou changement d’environnement, aujourd’hui tout me paraît comme évident.
Par quoi commencer pour vous, Franck? Peut-être voir si un simple changement de cap dans votre actuelle structure, à savoir un changement de poste, une évolution, une mutation possible????
Au plaisir de discuter. 11 ans dans la même boite et j’en pouvais plus déjà au bout de six mois. Alors oui propriétaire à crédit d’un appart, mon salaire qui tombe tous les mois bien régulièrement mais ma vie m’étouffe et moi aussi j’ai régulièrement l’envie de tout planter là. Là aujourd’hui, comme un sentiment que je vais construire mon changement d’horizon. J’espère que ça va durer et qu’il en sera de même pour vous.