Certains fantasment à l’idée de buller à longueur de journée, de bricoler, de jardiner, bref, se rêvent une vie hors du monde du travail, de son stress et de sa pression. Mais est-ce possible de vivre sans bosser ? L’art de ne pas travailler.
Vous vous dites que vivre sans travailler s’apparente sûrement à un poisson d’avril. Et bien détrompez-vous. Il y a un moment, nous avons publié cet article. Il a fait réagir pas mal d’internautes. Puisqu’il reste d’actualité, nous avons décidé de le mettre en avant une seconde fois et de vous solliciter à nouveau car si de votre côté, vous disposez d’astuces – légales – pour en finir avec le boulot, n’hésitez pas à nous en faire part. Les fidèles de toutpourchanger.com en feront bon usage.
Elle a franchi le cap
Une internaute âgée de la cinquantaine nous a écrit qu’après 32 années de bons et loyaux services dans une entreprise, elle se retrouve au chômage depuis un an. Elle a donc quitté l’Île-de-France pour retourner vivre en Bretagne, sa région d’origine. « À moins d’un miracle, je pense que je ne retrouverai pas de travail. J’ai donc fait mienne l’idée de ne plus travailler. Je n’ai déjà plus le même niveau de vie qu’avant. Je l’aurai évidemment de moins en moins je le sais, notamment à cause de la retraite. Alors, j’apprends à me « désencombrer de l’inutile » et à m’ouvrir de plus en plus à ceux que j’aime et à la nature notamment, et… à MOI. » Entre lecture, écriture, ouverture au monde et… sieste, elle se sent plus tranquille et honnête vis-à-vis d’elle-même. « Certaines personnes ne comprennent ni n’admettent cette situation, mais je suis fière de moi car je me re-trouve ! »
Cette situation n’est plus si rare.
Les étapes pour réussir
Même le très sérieux magazine Le Revenu en a parlé. Pour les journalistes, vivre sans travailler est surtout une affaire d’adaptation, où les aspects matériels doivent se relativiser et se repenser. Pour parvenir à cet objectif, le Revenu met sur le tapis cette question clé : combien vous faut-il pour vivre ? Et pour s’y préparer, le magazine propose d’agir en cinq étapes :
- – identifier vos objectifs,
- – anticiper les conséquences,
- – procéder à une analyse financière prospective,
- – étudier la faisabilité de votre projet
- – prendre le temps de sa préparation.
À la première étape, comme c’est le cas dès qu’on envisage de bâtir un nouveau projet de vie, il faut établir clairement ce qu’on souhaite mettre en place et pourquoi on y aspire. Votre désir de ne plus travailler est-il dû à votre vie professionnelle actuelle ? Que désirez-vous obtenir grâce à votre nouvelle vie : plus de temps pour vous, une autre organisation, un nouveau cadre de vie ?
Quelles solutions ?
Une fois défini votre projet, vous devrez imaginer toutes les conséquences que vos choix risquent d’entraîner, ce que le magazine nomme les coûts personnel et financier. « Pourrez-vous les assumer, matériellement et psychologiquement ? » Puis, vous devrez étudier les moyens à mettre en œuvre pour atteindre vos objectifs. Commencez par estimer le budget qui vous permet de subvenir à vos besoins. Car les réponses et moyens à trouver et les décisions à prendre vont dépendre des besoins de chacun. Le Revenu insiste, « ils sont en partie liés à votre situation de famille ». Définissez votre plan d’action pour vous préparer le mieux possible à affronter tous les bouleversements d’une situation on ne peut plus nouvelle pour vous, qui jusque là avez toujours vécu avec l’idée qu’on ne peut vivre qu’en travaillant. Très bien tout ça. Mais vous vous dites, concrètement, comment est-ce possible de vivre sans bosser ? Les conseils risquent de vous décevoir si vous ne disposez pas d’un petit pécule d’avance à placer. Ses réponses sont surtout capitalistiques et Le Revenu raisonne en placement et en taux d’intérêts. « Même en réduisant son budget, vivre sans travailler nécessite un capital élevé ».
Plus d’idées s’il vous plaît !
Existe-t-il d’autres voies ? Vous pouvez certes conserver une activité, mais pour respecter l’idée de vivre sans travailler, il faut qu’elle soit plaisante et épanouissante, bref, que vous n’ayez pas l’impression de bosser. Mais ce seul revenu d’appoint va-t-il suffire ? Pas sûr. Vous pouvez récolter vos légumes, faire votre pain, élever des volailles, mais là aussi, est-ce suffisant ? Vous devez donc réduire vos dépenses au maximum pour devenir petit à petit le moins dépendant possible du travail. Enfin, n’oubliez pas un aspect essentiel : votre protection sociale. Peut-on en bénéficier si on ne travaille pas ? Le Revenu présente quelques solutions sur son site pour être couvert par la Sécurité sociale.
A lire : J’allais oublier de vous parler d’un livre plutôt sympa, drôle et surtout déculpabilisant sur le sujet, L’art de ne pas travailler, édité par Eyrolles. Sous-titre : Petit traité d’oisiveté active à l’usage des surmenés, des retraités et des sans-emploi. « Que vous soyez surmené, retraité ou sans emploi, Ernie Zelinski vous rappelle dans ce best-seller provocateur, pratique et amusant certaines choses évidentes… et d’autres qui le sont moins, pour vous aider à mieux tirer parti de votre temps libre et surtout à (re)trouver l’équilibre entre travail et loisirs. »
Question qui me reviens souvent.
Cette chose le travail,est il obigatoire pour etre heureux.
Je suis le seul a travailler pour nourrir ma famille,ma femme et mes 3 enfants.
Je suis a mon compte,je ne compte pas mes heures,et j ai que tres peu de temps pour moi finalement.
Si j arrête, qui paie le credit,les factures,la bouf…
Aujourd’hui, je me pose la question sur ma vie,j ai 38 ans,je suis fatigué de devoir toujours travailler plus pour finalement galerer toujour autant a la fin du mois.
Ma fatigue physique me montre que je ne tiendrais pas dans mo metier jusqu’à la fin,car tres éreintant, et le parcours que m ont ouvert mes parents ,mes modèles est pourtant celui ci.
Aujourd’hui, je donnerais tout pour ne plus avoir toutes ces contraintes de la vie au dessus des épaules, mais ce parcours me semble tellement impossible dans mon cas…
Je suis admiratif de vous tous a vous lire!
Bravo
@Marcel l’Anar : c’est exactement ça, excellente synthèse.
PS l’experience de Fenrir et Changer sa vie notamment me parle tout à fait. Les exploités ont raison aussi. Il semble que malheuresement dans la plupart des cas nous soyions en majorité coincés entre 2 formes de misere, exploitaionet exclusion, ça fait partie du jeu. En termes de perspectives, mais certains arriver à ouvrir des chemins (ne nuisant pas s’entend), je nous souhaite de nous en sortir au mieux…
Intéressant ! ça demande une longue préparation afin d’éviter le fossé, comme se procurer un logement très correct à temps, si possible l’acheter, ne serait que pour éviter de ne pouvoir louer que des endroits vieux et sales, des usines à gaz sombres et biscornues, ou moches et bruyants ou mal situés ou tout ça à la fois ou être coincé à 80% dans ses activités si on doit renoncer à la voiture, etc. C’est la base. Si la base est vivable, on peut aisement supporter les inevitables restrictions (encor que si on vit en ville avec une carte reduction pour les sorties culturelles et infrastructures sportives et quon voyage en flixbus ça peut se faire, ce n’est pas mon cas). Bref si on n’y laisse pas en santé à cause de conditions matérielles essentielles comme le logement (c’est la base vous dis je, certains peuvent même tuer sans aller chercher des theories farfelues, et ça m’a d’ailleurs donné une direction quant à un projet d’activité, j’envisage une formation dans ce sens ) ce qu’on peut sauver du stress professionnel, ça peut en valoir la peine, si le travail en question est une usine à burnout, mais si c’est pour se retrouver à lâcher un boulot correct qu’on est capable d’exercer (moyennant au pire des seances de yoga, d’osteo et une psychotherapie ou 2), qu’on n’a ni incapacite ni handicap et qu’on dispose malgre tout d’une independance financiere relative sachant que meme en autarcie celle ci n’existe pas (si on observe bien les defauts de la societe et de la vie en societe sont une version accentuee parfois deformee des « lois » naturelles, c’est frustrant mais c’est ainsi) pour l’echanger contre une genre de precarite rurale dans un logement epuisant qui procure davantage de manutention et menage que d’agrement pour etre d’attaque à faire face aux defis decoulant de ce choix, à choisir justement je préférerais travailler.
J’ai traversé une période de chômage et d’errance de 26 à 30 ans, en habitant à Paris. Ne réussissant pas à décrocher un travail fixe, je m’étais mis dans l’idée de consacrer mon temps à du « développement personnel » : je n’ai jamais autant lu de livres, regardé de films, je ne me suis jamais autant cultivé pendant cette période de ma vie, je traversais une phase introspective, etc. Pour RIEN au monde, je ne voudrais revivre ça, jamais! À 40 ans, j’exerce plusieurs fonctions dans un job intéressant mais très prenant et très stressant. Au bout de 10 années, j’apprends encore et toujours et je me suis jamais ennuyé. Alors oui, ça demande des sacrifices et des concessions, mais cette période de temps ou j’ai pu consacrer du temps pour moi je la trouve rétrospectivement ennuyeuse, non productive et pas très enrichissante finalement. Ne pas travailler, c’est aussi se couper de stimulations intellectuelles et de contact social, ça ne favorise pas le dépassement de soi, on patauge quand même un peu dans son jus. Il faut juste trouver un travail en accord avec ses valeurs et ses compétences, ce qui n’est pas une évidence mais en cherchant bien…
Je souhaite au travers de ce commentaire faire part de mon témoignage.
J’ai 37 ans.Je vis actuellement de rente, principalement. J’ai cependant une toute petite activité de quelques heures par semaine depuis mon domicile.
Au moment de lire ces mots, beaucoup de gens m’imaginent en bord de piscine à siroter des jus d’orange. Mais En fait, ce n’est pas aussi simple que cela.
Vous pouvez vivre sans être obligé de travailler, mais vous devrez fournir malgré tout un minimum d’action
pour vous assurer les rentrés d’argent, même si celles-ci ne sont que vérifications.
De manière plus philosophique,
Vivre sans travailler, c’est également arrêter d’exister d’une certaine manière.
C’est pourquoi, j’essaie aujourd’hui d’accompagner des gens à moins travailler, et prendre le temps de vivre leur vie. Car cela donne du sens à ma vie.
Vivre sans travailler ,ce n’est pas vraiment difficile . Si j’ai pu le faire , tout le monde peut au moins se contenter d’un temps partiel.
En revanche, il faut avoir une idée très claire de ce que l’on désire faire à la place.
Car aujourd’hui, même si je n’ai plus réellement d’obligation professionnelle,
la peur de ne pas me réaliser pleinement reste omniprésente. Je cherche à me rendre utile dans ce monde de la meilleure manière qui me convienne.
Ne plus être obligé de faire des taches ingrates et inutile juste pour enrichir une société est une libération.
Encore une chose que beaucoup ignorent, C’est que lorsque vous aurez atteint votre objectif de vivre sans travailler ,vous vous apercevrez que le décalage entre vous,
vos proches et vos amis (qui eut travaillent encore) est abyssal.
Bonjour,
ce jour je devrais être heureux et ne le suis pas car prisonnnier du système du travail et de l’opression des riches qui ne laissent pas vivre les autres.
Bonjour
Suite à la lecture des témoignages sur le thème » peut on vivre sans travailler « , je voudrais partager mon expérience qui me satisfaisait depuis 20 ans.
Suite à un licenciement après 11ans de travail dans la même entreprise à l’âge de 40 ans, j’ai tout lâché pour vivre en vagabond. En repensant le sens de ma vie j’en suis venu à convenir que rien de matériel n’était indispensable à part respirer boire et manger….
De ce fait je vis en nomade au départ dans de nombreux pays en Europe et depuis 2009 en différents pays d’Amérique du Sud amazoniens. Aujourd’hui à 60 ans avec un budget d’environ 500 euros fait de petits jobs occasionnels et de bénévolat en ONG je me sens vivre proche de la liberté émerveillé à chaque fois que je découvre quelque chose que je ne connaissais pas ! Pour ça je ne considère pas mes activités comme un travail et encore moins comme une obligation. Comme quoi même sans un sous c’est possible. Je reconnais que faire le premier pas vers ce genre de vie et vraiment difficile, mais quel bonheur de ne plus avoir de fil à la patte… je reste disponible à ceux qui aimeraient plus de précisions.
Et courage à tous car c’est possible.
Bonjour , depuis j’ai arrêté mes études après le bac. J’ai pris 3 ans a réussir mon examen de conduite.
Puis enchaîné des stages et formations .
J’ai bien postulé à des offres emploi sans pour autant être pris .
Mais je me dit depuis toujours que nul devrait être obligé de travailler, tous devrait avoir un minima sociaux pour au moin se logé se vêtir et se nourrir. Bien sûr tout le monde ne pense pas comme moi . Et libre a ceux qui le design de travailler pour gagner davantage et avoir une belle maison un belle voiture ou autre .
Je suis sur terre je souhaite juste i vivre un minimum dans pour autant avoir des obligations.
Je me dis toujour ont a jamais demandé à naître .
Bientôt ont va sûrement me retirer le RSA et je vais donc finir SDF . Désolé de ne pas être né avec l’idée en tête que le travail c’est la vie ,c’est la santé.
Bonjour je rejoint cette communauté j’ai 33 ans je suis dans l’incapacité de travailler à cause de ma santé qui ne le permet pas et personnellement pour moi travailler c’est de l’étouffement tu ne peut pas vivre et faire se que tu veut tu doit dépendre des autre et d’un patron oui travailler c’est bien pour l’argent mais derrière il y a de la tristesse colère à cause du travail et ceux qui son focaliser sur leur travail et qui ne voie que sa a la place de se consacrer à leur propre vie et pas que au travail y en a qui on besoin d’argent alors évidemment la solution c’est le travail pour nourrir les enfants mais derrière sa on a aucune vie pour se consacrer à sa propre famille les sortie ect…. le travail peut aussi bien se faire avec un petit boulot sans payer d’impôts libre à chacun de penser se qu’il veut mais dans les commentaires que j’ai vue certain ne voie que le travail penser à vos proche à ceux qui veut passer du temps avec vous alors que vous travaillez certain travail à son champs libre pour être libre mais d’autre n’on pas cette chance
BONJOUR A TOUS
ET MOI QUI PENSEZ QUE J ÉTAIS SEUL AU MONDE DANS MA RÉFLEXION DE NE PLUS TRAVAILLER, JE CONSTATE QUE L OPINION EST PUBLIC, BREF,J AI 51 ANS ET CETTE FOIS LE MOT TRAVAILLE ET HUMAINS N EXISTE PLUS DANS MON VOCABULAIRE, J AI Cessé DE Travaillé DEPUIS 4 ANS CAR LA RÉFLEXION HUMAINE ME DÉTRUIT PHYSIQUEMENT ET PSYCHOLOGIQUE, TELLEMENT QUE J AI CONTRACTER DES DOULEURS LIGAMENTAIRES ET MUSCULAIRE EN BREF, UNE FIBROMYALGIE CHRONIQUE, aujourd’hui, j aspire a une tranquillité d âme et d esprit JE NE VEUX PLUS DE CONTRARIÉTÉ MENTALE ET SURTOUT ne plus me nourrir DE CDD OU INTÉRIM QUE J AI EXERCER TOUT LE LONG DE MA VIE OU DES PERSONNE MÉDISANTE J EN N AI ASSEZ!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! je vous souhaite une meilleur condition de vie a tous
Hmm je vais juste contribuer au débat: le travail ne raccourcit pas l’espérance de vie, déjà le « travail » ça n’est pas UNE seule et même activité. Fonctionnaire, employé à la chaîne dans un abattoir, femme de ménage à l’heure sans CDI, plombier à son compte, médecin en campagne avec des patients à ne plus compter par jour, et tant d’autres métiers, ce sont des situations profondément différentes.
Il faut surtout faire en fonction de soi et ses compétences. Partir de son contexte perso et voir ce que soi on veut, ne veut plus, peut et puis voilà mais ne pas généraliser surtout sur « le travail. » Le travail ce sont « des » métiers au pluriel et dans chaque métier aussi il y a des situations très variables aussi (un employé dans une petite PME de campagne, c’est pas un employé dans le même genre d’entreprise située près de la grosse ville et axée sur faire toujours plus de chiffre)
le gens se plaignent de pas savoir quoi faire quand ils ont du temps livre et préféré regrette de ne plus être des esclaves dans la société du spectacle ‘pains et jeux ». eh bien, ces déclarations sont tout a fait normales de la part de gens qui ne savent pas ce qu’ils font sur terre. les gens qui savent ce qu’ils font sur terre sont pas là pour perdre leur vie à la gagner mais pour faire faire leur mission sur terre. et leur mission c’est pas de travailler pour faire l’apologie du cirque pains et jeux. leu mission est de travailler pour ce qui compte et qui n’a rien à voir avec les choix de vie de la société
A bien y réfléchir, je serais incapable de vivre en communauté avec des gens qui n’ont pas la fierté d’avoir fait des efforts pour obtenir des diplômes, la satisfaction de s’être battu pour obtenir un poste où ils peuvent mettre en oeuvre leurs capacités, la force d’essayer encore. Des gens que la Science n’intéresse pas, qui ne s’émerveillent pas devant la complexité magnifique du monde et recherchent fatalement une compensation dans des pseudo-sciences. Souvent sourds aux raisonnements, ignares, et paresseux, ils ne seraient pas une compagnie qu’on voudrait avoir jusqu’à la fin de ses jours. D’ailleurs ces communautés sont farcies de conflits et ne durent pas bien longtemps, forcément.
Bonjour,
J’ai des proposition a vous faire…..
J’ai des opportunité a offrir…..
Comment me mettre a votre service….
Merci.
Cordialement.
M.Denis
Il y a en France 15 millions de retraités qui vivent sans travailler (quand la retraite est suffisante) et à part une très faible minorité, aucun ne regrette sa situation, et sont souvent très occupés (jardin, associations, etc…) mais cette occupation est toujours positive.
Combien ont subi avec difficulté leur existence salariée en ayant perdu des années à courir pour la compétitivité d’une entreprise avec un travail sans intérêt, ou rendu inintéressant à cause de contraintes économiques.
Pour un commentaire qui se demande où trouver l’argent pour vivre sans travailler pour des boulots non nécessaires, le travail en général a fait un PIB de l’Europe à 16 400 milliards d’euros en 2019, or la BCE rachète 1 850 milliards d’euros de dettes pourries des banques, dont peu d’européens verront la couleur.
J’avais acheté une maison , je l’ai divisée en 4 et transformée en coloc : j’héberge donc 3 personnes en meublé dans ma RP et je suis logé : les loyers font un smic et non imposable .
Il y a
beaucoup d’emplois « idéologiques » : comptable, gratte papier , professeur…,
beaucoup d’emplois qui sont là pour compenser ce que les cathos appellent le péché,
et qui l’entretiennent en prétendant le corriger : gouvernement, police, armée, prison, santé.
Beaucoup d’emplois basés sur la complexité des modes de production : transport, conditionnement, ingéniérie.
D »autres pour nous faire acheter plus que nécessaire : marketing,pub, affichage, obsolescence par l’innovation
et enfin pour tenter de réparer les excès de la société de consommation : traitement des déchets, greenwashing
Beaucoup d’emplois basés sur l’inégalité des conditions : domesticité, entretien
d’autres pour répondre à l’ennui des clients : tourisme, loisirs .
Si l’humanité était heureuse, nous ne travaillerions que peu , à l’image des chasseurs cueilleurs ne consacrant que quelques heures à la recherche de nourriture
malgré le dénuement de leur mode de vie.
Nous avons prétendu faire mieux que la création qui nous avait été donnée , mais au fond nous ne faisons que l’enlaidir.
Lle travail joue un grand rôle dans cet enlaidissement du monde.
Par exemple, regardez tous ces batiments hideux et démesurés qui se construisent encore pour héberger du tertiaire
grand pourvoyeur de ce que Graeber appelait des « bullshit jobs ».
Celui qui délaisse une position « enviable » dans ce merdier pour vivre de peu grâce à la charité publique
exerce moins de prédation et de contrainte sur la nature et la société que celui qui travaille et consomme un salaire important.
A 48 ans, depuis septembre 2020, reçu 2 appels pour du travail, le début de la fin. Heureusement j ai anticipé une situation que je sentais venir depuis 4 ans. J ai baissé mes charges au maximum soit 146 euros par mois. Mon conjoint travaille et payé le loyer. Finit de courrir comme une dingue et de se taper 3 heures de trajet par jour, plus un boulot stressant. La contrepartie pas de fric, c est claire. J apprends à me nourrir avec 100 euros par mois, pour 2, et de gérer au plus juste. J ai tenté un job à mi temps, mais cela était en train d altérer ma santé. Je dirais que l idéal soit, vous réduisez au maximum vos charges, et regarder combien d heures, doivent travailler, soit un seul bosse. Je dirais qu’ il faut aussi faire des choses qui nous intéressent, pour donner un sens à notre vie, sinon l ennuie va pointer son nez. À côté, j ai des poules et commencer un verger pour me nourrir
Je souhaite au travers de ce commentaire faire part de mon témoignage.
J’ai 37 ans.Je vis actuellement de rente, sans travailler.
Au moment de lire cette phrase, beaucoup de gens m’imaginent sur une plage en permanence à siroter des jus d’orange. En fait, ce n’est pas aussi simple que cela.
Vous pouvez vivre sans être obligé de travailler, mais vous devrez fournir malgré tout un minimum d’action
pour vous assurer les rentrés d’argent, même si celles-ci ne sont que vérifications.
Pour ma part, je ne fournis que quelques heures de travail par semaine ,entre 3 et 4 heures.
S’arrêter de travailler, c’est également arrêter d’exister d’une certaine manière.
C’est pourquoi j’essaie d’accompagner des gens à moins travailler. J’apprends aussi la musique et je souhaiterai également créer une association.
Vivre sans travailler ,ce n’est pas vraiment difficile (surtout lorsque ne l’on n’a pas d’enfant).
En revanche, il faut avoir une idée très claire de ce que l’on désire faire à la place du labeur.
Car aujourd’hui, même si je n’ai plus réellement d’obligation professionnelle,
la peur de ne pas me réaliser pleinement reste omniprésente.
Et ceux que l’on ne vous dira jamais lorsque vous aurez arrêté de travailler,c’est que le décalage entre vous,
vos proches et vos amis (qui eut travaillent encore) est abyssal.
Effectivement, même constat pour moi, j’ai 30 ans et j’ai quitter mon travail en 2017 afin de m’occuper exlusivement de mon immobilier, résultat depuis, une certaine rupture s’est creusée avec mes proches, ce qui n’est vraiment pas simple à vivre.
Autres problèmes que je constate aussi vont être l’ennui, le manque de sens à sa vie, ce qui peut apporter aussi d’autres problèmes comme la deprime, etc…
Comme vous le soulignez, il est important de trouver quoi faire à la place de son ancienne activité, si possible quelque chose qui à un reel sens pour vous.
Je me suis egalement mi a faire de la musique, ukulele au début et guitare ensuite et je souhaite egalement créer une association de type refuge pour animaux, c’est une activité qui me ferait du bien et qui me ferait le sentir utile, c’est important. On à certaines similarités dans notre histoire^^.
Je souhaite au travers de ce commentaire faire part de mon témoignage.
J’ai 37 ans.Je vis actuellement de rente, sans travailler.
Au moment de lire cette phrase, beaucoup de gens m’imaginent sur une plage en permanence à siroter des jus d’orange. En fait, ce n’est pas aussi simple que cela.
Vous pouvez vivre sans être obligé de travailler, mais vous devrez fournir malgré tout un minimum d’action
pour vous assurer les rentrés d’argent, même si celles-ci ne sont que vérifications.
Pour ma part, je ne fournis que quelques heures de travail par semaine ,entre 2 et 3 heures.
S’arrêter de travailler, c’est également arrêter d’exister d’une certaine manière.
C’est pourquoi j’essaie d’accompagner des gens à moins travailler. J’apprends aussi la musique et je souhaiterai également créer une association.
Vivre sans travailler ,ce n’est pas vraiment difficile (surtout lorsque ne l’on n’a pas d’enfant).
En revanche, il faut avoir une idée très claire de ce que l’on désire faire à la place du labeur.
Car aujourd’hui, même si je n’ai plus réellement d’obligation professionnelle,
la peur de ne pas me réaliser pleinement reste omniprésente.
Et ceux que l’on ne vous dira jamais lorsque vous aurez arrêté de travailler, c’est que le décalage entre vous,
vos proches et vos amis (qui eut travaillent encore) est abyssal.
Comme je vous comprends, la solution je pense l’avoir trouvée dans un projet de changement de vie de quelques années en Roumanie, dans un village Valcelele, a 30 km de la ville de Ramnicu-Sarat, dans le département de Buzau, maisons a trois mille euros avec du terrain agricole autour assez pour débuter à être un peu autosuffisant, et a recommencer un nouveau projet de vie.
A 36 ans j’ ai toute ma vie cumulé des emplois précaires, sans qualification ni diplôme j ai fais beaucoup d usine et un peu de bâtiment.
J ai fais beaucoup d entreprise differente, toujours dans des boulot de merde du type abbatoir, agroalimentaire avec horaire changent toutes les semaine et ambiance de merde avec des gens stressé par la fatigue et les cadences.
la précarité et la mediocrité de ces emplois mon toujours retenue a avoir une vie de famille, je n ai jamais reussi a me projetter dans le futur avec ce genre de boulot.
aujourdhui je suis au 3 quart de ma vie et suite a un pobleme de santté qui risque de me causé des probleme lourds dans les 10 prochaines années , je ne peux m empecher quotidiennement de faire un bilan de ma vie avec une conclusion negatif sur tout point de vue et ne peux surtout plus passer une journée en me demandant pourquoi je continue a perdre du temps de vie dans des milieux professionnel aussi immonde et degradant.
a force de cogité j en ai conclus que la seule façon de moin travailler et de moin consommer, en retirant mon loyer mensuel ainsi que l énergie consommer je pourrais gagner environ 500 euros par mois, cela reresente la moitié de mon et donc un boulot a mitemps me suffira largement pour vivre.
pour ce faire j hésite entre 2 option, économisé suffisament pour vivre en camping car ou acheter un terrain agricole pour y vivre illégalement , dans les 2 cas l energie peux être produit sois même.
je sais que mon projet n a rien de trés original ou rien de passionnant mais moralement j ai de plus en plus de mal a travailler a plein temps j ai un sentiment de gacher ma duré de vie pour payer de quoi me loger et survivre.
Comme je vous comprends, la solution je pense l’avoir trouvée dans un projet de changement de vie de quelques années en Roumanie, dans un village Valcelele, a 30 km de la ville de Ramnicu-Sarat, dans le département de Buzau, maisons a trois mille euros avec du terrain agricole autour assez pour débuter à être un peu autosuffisant, et a recommencer un nouveau projet de vie.
c’est marrant, je tape sur le net « je n’ai plus envie de travailler » et me voilà au milieu de vous tous 😉 j’ai 53 ans et depuis cette pandeie et confirnement je me demande commen sera mon avenir….travaille jusqu’à 67ans moi? mais je n’arriverai jamais! j’en ai déjà ras le bol , je n’ai pas le temps pour moi, pour ma famille pour mes petis projets…et surtout, à quoi bon, travailler toute sa vie pour une pension de 1300€ grand max! j’habite en Belgique et ici, les charges patronnales sont énromes, donc , pour économizer, nos très chers employeurs, nous font travailler pour 2.
marre de travailler, marre de payer à l’état, marre de subventionner des guerres et la misère..
Bonjour, l’idéal serait surement de partir vivre dans une ZAD, ou d’acheter un terrain et de s’y installer à plusieurs ! Produire c’est Fruit et légume et travailler au minimum pour les frais dit essentiel
Je ne veux plus travailler par objection de conscience. Travailler = payer des impôts = payer des bombardiers des bombes et ceux qui s’en servent. Quand seule l’ignorance nous achète une bonne conscience les gens sont soudainement bien riches
Impôts qui servent aussi à payer les allocs et le RSA des apprentis-rebelles.
Je ne suis pas sûre que mon commentaire précédent soit publié (vraiment dégoûtée) alors je me répète : pour les utopistes enfin ceux qui veulent vivre leur vie ce que je considère comme un droit, je vous appelle à réfléchir sur une possible création de communauté, non basée sur le capitalisme mais sur le droit de consommer que le strict nécessaire. Ou bien, ou alors pourquoi ne pas partager ses richesses. Là est la vraie question. Chacun se réserve le droit de dire : moi j’ai travaillé toute ma vie je ne vais donner gratuitement mon argent… voilà maintenant à vous de décidez au lieu de se plaindre il faut changer sa vision des choses. Et il y aura toujours des profiteurs, des méchants, des idiots… enfin pour que tout le monde ait droit au revenu universel et que tout le monde soit sur un pied d’égalité, il y a encore beaucoup de chemin à faire. Malheureusement je pense qu’il faudra encore plusieurs générations avant cela. Car tout le monde se plaint et sont très rares les gens qui changent le monde. Je vais être honnête, j’adorerais pouvoir le changer mais je n’ai pas d’amis, j’ai des idées mais surtout celle de paraître ridicule, ayant vécue la même chose que vous au travail j’ai décidée de me renfermer sur moi-même, j’ai des problèmes de santé, et qui me prendrait au sérieux. Après, c’est sûr, je me dis, si chacun rejette la faute sur l’autre, et c’est pour cela que j’écris ici, j’ai un petit espoir, je vais donc donner mon mail aux personnes intéressées afin d’échanger sur cette future communauté. Merci, prenez soin de vous
Ce que tu dis est intéressant, on peut discuter par mail si tu veux, bonne journée !
Bonjour Tania,
Je suis complétement d’accord, je viens d’ailleurs de faire une grosse connerie, je viens de quitter un taf pendant la période d’essai sans aucun revenu derrière et je ne veux pas rentrer dans le système. Je veux bien travailler mais les boulots que je vois ne me plaisent pas du tout.
Je ne sais vraiment pas ce que je vais faire.
J’aimerai en effet trouver une communauté ou réussir à entreprendre qqchose de mes mains ! mais j’ai bien l’impression que sans argent on ne fait rien.
Où est le mail ?
Bonjour je ne sais pas si ce message sera reçu j’ai maintenant 35 ans et vu énormément de chose le travaille n’as jamais été un problème pour moi et tous mes employeurs auraient rêvé d’avoir un esclave comme moi qui travaille fort sans jamais rien dire pour tellement peu.. Maintenant je suis tombé sur se forums et je suis tester surpris du nombre de personnes qui accepte le faite de le travail n’est plus un moyen de vivre et d’être heureux mais plutôt une entreprise d’exploitation humanitaire.. Vivre du travail le vrai celui qui nous demande des efforts et où l’on rentre réellement sale et fatigué ne nous permet pas de vivre et détruit notre santé. Maintenant j’ai dit stop a l’exploitation de ma vie je n’acceptent plus de travail sous payer mais cela a des conséquences bien sûr et pour tout vous dire je vis maintenant dehors dans la nature et j’ai énormément moin de problème qui était créé par les conditions du monde du travail loyer taxe etc.. Donc voilà j’aimerais vraiment que l’on crée un groupe pour parler entre personnes comme moi qui souhaitent vivre de la nature et de la société sans pour autant vendre son âme et sa vie personnelle pour 1200 euro ! La création d’une communauté peu faire avancé certaine chose et certaines mentalité je peu montré des vidéos de mon mode de vie les idée ne manque pas dans mon cerveau mais j’avais l’impression d’être seule au monde jusqu’à aujourd’hui à penser comme ça donc je restait et reste encore isolé en attendant que le monde ouvre les yeux ou alors change.. j’espère que le monde changera mais en attendant pensé à votre santé..
Bonjours Tania, et aux vous autres. Peut-être que c’est un peu tard mais Tania j’ai adoré votre idée et c’est ça par la quelle que j’ai trouvé cette site parceque je me demandais tel question de creer une communauté qui vive une simple aise vie naturel (comme un rion de la forêt…hhh) qui se laisse santir le goût du paradis…j’ai 31ans, je suis celibat je suis artiste à tout côtés par nature mais j’ai étudié la science…dès mon enfance j’ai eu la chance de gagne tant d’argents et du plaisir que l’environement pourrait m’accorder, maintenant je ne veux que vivre une vie naturelle et ôter le vacarme de la ville,ce n’est pas par déffinition à tout mais le sense et la même que le votre…si vous m’accordez on peut partager les idées… (sans avoir un alergie aux savants..,moi j’ai aimé la vie des grand prophètes comme Jésus)
Bonjour,
Personnellement je suis d’accord avec la majorité de ce qui a été dit ici, et c’est vrai que le travail au final rend malade et donc raccourcit notre espérance de vie. Alors déjà que la vie est courte… Alors je me disais : puisque personne jusque là n’a fait de proposition(s), j’aimerais correspondre avec des personnes de tous horizons, de tout âge qui aurait des idées, de la recherche pour justement mieux vivre et pourquoi pas sans travailler. Je vais être certainement qualifiée d’utopiste, mais voilà, pourquoi ne pas créer une sorte de petite communauté qui vivrait en auto-suffisance, avec les moyens du bord, grâce aux aptitudes de chacun, à la volonté de partager, communiquer, se parler sur le ton de la bienveillance… en se mettant chacun sur un pied d’égalité… mais bon, voilà, tout est à repenser. La société, le formatage, l’éducation ?., le capitalisme, travailler plus pour gagner plus, pour avoir plus, posséder, emmagasiner plus parfois même plus que le voisin… des choses qui ne servent à rien ou presque. Cet autre monde sera quand on se contentera de peu, quand on changera notre vision des choses. Personnellement, je suis d’accord pour le revenu universel, mais pour cela, il faudrait déjà repenser toute l’économie et arrêter de faire payer aux gens l’importation de nourriture qui pourtant ne coûte trois fois rien chez le maraîcher du coin. Rien n’est concevable sans l’aide des politiques. Reste à savoir si la lutte environnementale et sociale va prendre de l’ampleur dans notre pays. Enfin, tout ça pour dire qu’il y a encore du chemin à faire mais rien ne se fera sans vous. Et je sais combien il est facile de se décourager. Mais bon, si toutefois vous avez encore de l’énergie à consacrer à un beau projet solidaire, vous pouvez me contacter. Bonne soirée. Prenez soin de vous 🙂
Bonjour Tania ! Je viens de vous lire vous et quelques internautes , il ne m en faut pas plus pour avoir envie de rentrer en contact avec vous! Je n ai que 30 ans et travaille depuis mes 15ans (comme étudiant les we et vacances) et 18 ans CDI (horeca). Je n en peux plus de cette vie morose où les gens ne voient que par l argent , moi on m a appris étant jeune que l amour et la gentillesse étaient les plus importants dans ce monde, je voudrais tant vivre au milieu de la nature , en autarcie, avec des gens qui méritent cet amour et cette gentillesse qui j espère ne partiront jamais de moi malgré les multiples raisons. Voilà je sais que je ne suis pas utopiste et qu il y a moyen de faire quelque chose si nous sommes déjà pas mal à le penser, j espère entrer en contact avec vous mais je ne sais comment voir votre adresse mail et ne suis pas sûr qu en écrivant la mienne ici vous pourrez me lire. Cédric
Bel endroit pour réfléchir à sa vie, à la vie. En fait, est-ce le travail le problème ? Je ne suis pas sûr ! Même un chômeur bosse un minimum : ménage, les courses, la cuisine, .., etc., faut être un minimum actif pour vivre. La question est de savoir comment se constituer une source de revenu suffisante pour vous vivre de manière décente. Et là se pose la question de la rencontre avec l’autre. D’ailleurs le même problème se pose pour celui qui choisit de s’intégrer dans le monde associatif pour assumer une passion : théâtre , arts martiaux , … La je vous parle de moi :). Je n’ai fait dans ma vie que ce vers quoi je me sentais attiré et doué à titre professionnel et dans mes hobbies. J’ai réalisé de belles expériences leet réussi de beaux projets. Ceci dit, tous c’est quand même cassé la gueule car il y a une chose sur laquelle j’ai toujours échoué à la longue, c’est que les autres ont toujours fini par avoir ma peau . Du fait de mes réussites, ou de mon énergie à mener des projets ou à entreprendre , je ne me suis pas rendu compte que c’était largement insuffisant pour qu’autrui ne me fasse pas de misères. Et j’en tire la conclusion, en vous lisant tous, que ce n’est pas le travail le problème, mais le rapport aux autres. De ce point de vue, ayant pris toutes les responsabilités dans mon dojo d’arts martiaux, parce qu’il n’y avait aucun volontaire, la leçon m’a encore été servi pour une ultime fois. J’ai eu le malheur de secouer un peu les donneurs de leçons qui n’ont jamais tord, parce qu’ils ne peuvent qu’avoir raison. Et qui vous expliquent ce que vous devez faire, mais qui ne font jamais rien. J’avais pensé que le message était passé. Mais le tout m’est revenu en pleine face par le biais du professeur en chef qui m’a vertement sermonné parce qu’il risquait de perdre des élèves de par ma dureté envers ceux-ci et mon côté militaire. Alors que depuis 2 ans, il me montait au pinacles.
En d’autres temps, je me serais tiré…et c’est ce que j’ai fait toute ma vie, … abandonnant à d’autres le fruit de mon travail. Car suffisamment confiant pour tout reconstruire ailleurs. Et rebutant à nouveau, comme beaucoup d’entre vous, sur ces connards d’humains qui ont besoins de se faire mousser à vos dépends. Ou vous manipulent pour vous faire marner pour eux. Mais cette fois, au lieu de fuir, j’ai décidé de prendre le problème autrement. Je me suis dit où que tu aille, tu trouveras cette même entrave humaine : embrouille, jalousie, moquerie dans ton dos, etc., etc.Mais tout ça ne doit absolument pas te détourner de ton objectif : aller le plus loin possible dans cet art. Aussi, aujourd’hui j’ai décidé de me foutre des cancans, jalousie, critiques, remarques ou conseils merdiques de ceux qui se croient supérieurs à moi. Est-ce finalement grave ces histoires d’ego ? Le plus important est de continuer d’agir sans se laisser entraver par la folie humaine, ni trop influencé. Chacun a besoin de se sentir important, et je suis en train de lâcher même quand je sais que j’ai largement raison. Avant, en effet, dans ces moment-là je pouvais être militaire… et me faire des ennemis sans m’en rendre compte. Désormais, je reste cool. Il y a en fait un juste milieu à trouver. Ainsi, j’espère retrouver le goût d’entreprendre et lâcher toute peur de rencontrer de nouvelles entraves humaines. Car ce sont celles-ci, du moins pour moi, qui m’ont conduit à vivre un peu en retiré ces dernières années . Alors que ma nature est d’entreprendre et de rencontrer du monde. Or à force de recevoir des coups, je me suis quelque peu retiré du monde pro et ça ne va pas financièrement et socialement. Donc, je crois pour moi, et que cette vérité est peut-être universelle, que je dois désormais apprendre à supporter amicalement mon prochain, même dans ce qu’il a de plus dérangeant pour moi. Que cette façon d’aborder les choses peut me rendre libre !! Alors entreprendre, travailler à mon rythme, faire ce que j’aime, prendre des risques en confiance, ne sera plus un problème.
L’équation est très difficile, avec 6 millions de chômeurs (et non 3 selon les chiffres truqués de PE)…les jobs de salariés sont sous-payés et la réserve de main d’œuvre est inépuisable !
C’est sûr que bosser pour le SMIC avec tous les frais (transport, repas, crèches pour certains) que cela engendre, quoi bon ? Quand les aides sociales sont à peine moins élevées et sans frais ? Le calcul est vite fait, il ne s’agit pas de fainéantise mais d’argent !
Pourquoi les GJ ont défilé ? Justement parce qu’ils ne s’en sortent pas EN travaillant !
Les robots vont de plus en plus pallier le travail humain et le travail va devenir une denrée rare.
Personnellement, j’ai 45 ans, je n’ai jamais aimé la hiérarchie ni la pression vécue en entreprise. Je me suis reconvertie plusieurs fois, mais là , je suis subitement devenue « senior » alors qu’il me reste 20 ans à bosser ! Les employeurs ont le choix dans les centaines de CV qu’ils reçoivent, alors ils ne prennent aucun risque = ils veulent du formaté qui ne dépassera pas du cadre !
C’est bien triste.
Je n’ai aucune envie de (sur)vivre des aides sociales. Mais le salariat je sais que c’est fini, je n’ai quasi aucune réponse à mes dizaines de candidatures envoyées….et être à mon compte, ne me nourrit pas non plus.
Alors que faire ??? Ça devient vraiment très compliqué…les jeunes ne peuvent plus acheter, et quand viendra l’âge de la retraite ils seront dans la misère ! Voilà la société qu’on nous fabrique aujourd’hui.
Un monde du travail qui exploite sans vergogne, des gens jeunes qui se lassent et qui arrêtent, des plus âgés qui désespèrent (voire se suicident) et d’autres qui profitent des aides sans sourciller (de préférence confortablement installés chez papa-maman qui eux, ont supporté un système qui leur a permis de se construire 1 patrimoine, ce qui n’est plus possible aujourd’hui sauf très gros revenu).
Alors à qui la faute ? Quand le travail ne permet plus de s’enrichir mais juste de survivre ? Combien de travailleurs à Paris qui dorment dans leur voiture ?
On est un pays en voie de clochardisation ! Seuls les happy few s’en sortent (études, anglais, réseau, étranger). Le reste subit et disparaitra. Dommage de gâcher tant de vies…Car vivre de son potager et faire des poteries n’est pas à la portée de tous sans capital initial. Tous ceux que je connais qui vivotent des aides sociales sont plutôt aigris et envieux, alors qu’au final ils ont 1 reste à vivre supérieur à 1 smicard…
Bref, personne n’a trouvé de solution à cet épineux problème, et nous dire qu’il faudra bosser jusqu’à 65 ans et plus, LOL quelle vaste blague, quand la France est un des pires pays d’Europe pour le taux d’emploi des seniors (52% contre 59%).
Allez, gardons espoir malgré tout. Car l’inactivité professionnelle va devenir la norme dans quelques années.
Vous avez tout merveilleusement bien résumé je dirais.
On pourrait aussi parlé de pôle emploi et de ses dérives, des 3 malheureuses annonces qui se battent en duel, des milliers de gens qui cherche mais ne trouve rien…
Des gens qui essaye de se battre en autoentreprise en faisant pleins de petits boulots et finissent pas couler sous les dettes. Difficile d’y voir clair dans tout ça, difficile d’y trouver sa place.
Et quand on cherche des solutions ont se fait insulté, maltraité, traité de feignant, c’est ça qui ne donne pas envie ! Se confronter à des humains qui en ont rien à foutre et qui nous vois comme des chiffres…
Vous ne venez pas ? Pas grave on ne vous attend pas, il y en à des milliers d’autres derrières vous, prêt à prendre votre place, même si c’est pour faire 3h de ménage dans le mois (vécut en association)
J’ai 41 ans et je suis usée moralement de toujours me battre pour trouver 1 cdd pour remplacer 1 personne qui part en vacance ou qui est malade.
Je suis ballotée entre petit contrat en CDD, chômage, faire un peu d’intérim après chômage, après faire 1 cdd d’1 semaine, après 1 formation et après encore chômage.
Je n’ai plus beaucoup confiance en moi et je n’ai plus envie de travailler car le taux du SMIC 10,15 euros brute de heure est trop faible. Je suis déçue par mes fiches de paye car il faut encore se battre car il y a souvent des erreurs en ma défaveur, exemples, il manque des primes de nuit ou il me manque des heures de travail ou il manque des primes de dimanche… ou on te déduit 30 euros sur ta fiche de paye pour 1 mutuelle soi disant obligatoire alors que tu es 1 cdd.
Bref, je trouve que le monde du travail, c’est une catastrophe, car les salaires sont trop faibles, il n’y pas d’entraide et pas de reconnaissance et pas de MERCI. Les cadences de travail sont trop rapides.
Le pire, c’est la pression au travail que nous subissons. Je me suis vu aller au travail avec la boule au ventre, très stressée pas envie d’y aller. Et on se force à aller au travailler, car soi disant, on n’a pas le choix.
Il me reste encore environ 20 ans à travailler et je me dis comment je vais faire pour travailler jusqu’à la retraite. Comment je vais faire pour tenir ?
Comment faire pour que je retrouve un peu de plaisir pour aller au travail ?
Avec tous les trous que j’ai dans ma carrière et les petits boulots, j’aurai combien de retraite ???
Voilà ma vision des choses…..
Bonjour,
je vois ici dans les commentaires beaucoup de rêveries et de longues diatribes sur l’injustice du monde et blablabla, on est tous d’accord sur ça et, certes, ça peut en soulager certain(e)s, mais à mon goût, je trouve peu de retour d’expérience ou de moyens concrets pour échapper à ce monde que tout le monde ici fustige. Dommage car c’est l’essentiel !
Vivre pour travailler ou travailler pour vivre la est la vraie question
Aujourd’hui les taux d’intérêts bancaires sont négatifs et ça ne va pas changer dans 10 ans… Se faire prêter de l’argent pour démarrer une nouvelle activité indépendante semble le mieux. L’avenir, la Liberté… Le problème majeur, c’est pas de monter un dossier, mais plutôt de trouver sa mission de vie…
Dans ce monde de fou, beaucoup de gens ont oubliés que la mort est un vêtement que tout le monde portera et que de toute façon les cimetières sont remplis de personnes qui se croyaient indispensables
Dieu ne nous a rendus égaux que par la mort.
J’ai aussi appris dans la vie que celui qui sème l’injustice moissonne le malheur et que si chaque homme chaque jour jetait une fleur sur le chemin de son prochain, les routes de la terre seraient tellement plus agréables !
Même si les paroles s’envolent et que les écrits restent, le peuple est difficile a gouverner quand il est trop savant,
Quand vous pourrez mettre vos pieds dans mes souliers, vous parlerez.
Hier, aujourd’hui et demain, sont les trois jours de l’homme et Vous ne saurez jamais ce dont vous êtes capable si vous n’essayez pas.
Chacun a son destin, son chemin: Le paysan prie qu’il pleuve, le voyageur qu’il fasse beau.
Si la parole que tu vas dire n’est pas plus belle que le silence, ne la dis pas mais n’oublie jamais que les mauvaises langues se noieront toujours dans leurs crachats.
L’homme ne résiste pas à la tentation, c’est pourquoi il doit l’éviter. Cependant, Ne remets pas au lendemain ce que tu peux faire le jour même.
N’ayez pas honte de dire ce que vous n’avez pas honte de penser et mieux vaut agir une fois avec les mains plutôt que de regarder l’injustice mille fois avec les yeux.
Celui qui a des connaissances, on le dit méchant ; celui qui est intelligent, on le dit fou.
Qui veut tout comprendre finit par mourir de colère.
Je pleurais quand je vins au monde, et chaque jour me montre pourquoi. Trop de personnes ignorantes sur cette terre et l’ignorance est la nuit de l’esprit, et cette nuit n’a ni lune ni étoiles.
On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser. On l’arrose et on la regarde grandir… patiemment et un moment de patience peut préserver de grands malheurs, un moment d’impatience, détruire toute une vie.
Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu’on vous fasse et dites vous toujours qu’une bonne parole éteint plus de feu qu’un baquet d’eau et qu’un bon silence vaut mieux qu’une mauvaise dispute.
L’amour fait passer le temps, le temps fait passer l’amour mais une fois que le bateau a coulé, tout le monde sait comment on aurait pu le sauver.
Le meilleur pain est celui de la maison dans ce monde rempli de pesticides qui provoquent de nombreux cancers.
Si l’autorité n’a pas d’oreille pour écouter, elle n’a pas de tête pour gouverner mais l’autorité a oublié que l’homme a inventé la montre, mais que Dieu a inventé le temps. Le problème avec les masochistes, il est impossible de leur vouloir du mal sans leur faire du bien.
Un avare qui garde son argent ressemble à un homme qui a du pain devant lui, et qui ne mange pas.
Un homme bon, on le dit bête ; un homme doux, on le dit stupide mais avant de critiquer les gens, connaître son ignorance est la meilleure part de la connaissance.
La nouveauté ne dure pas, on se lasse comme on s’est embrasé : aussi vite.
La vie, c’est comme l’amour… ça trouve toujours un chemin. Rien ne l’arrête
Il y a des moments dans la vie où le plaisir de dire non dépasse toutes les ambitions, toutes les fortunes et le bonheur c’est comme le cristal, Dur à trouver mais facile à briser.
La gueule d’un canon est moins dangereuse que la bouche d’un calomniateur et Certaines personnes sont comme des nuages: Suffit qu’ils disparaissent pour qu’il fasse plus beau.
Pour connaître la route devant toi, demande à ceux qui en reviennent et dans ce monde financier impitoyable l’emprunt est souvent le premier-né de la pauvreté.
Alors quoi que tu fasse plutôt que d’attendre un coup de chance, crée ta propre chance et n’oublie jamais que Par la rue du « Plus tard », on arrive à la place de « Jamais ». Ne craignez pas d’être lent, craignez seulement d’être à l’arrêt. Le présent est l’enclume où se fait l’avenir.
Ne jugez pas le grain de poivre d’après sa petite taille, goûtez-le et vous sentirez comme il pique.
Tant que les mots restent dans la bouche, ils sont à soi ; sitôt prononcés, ils sont à tout le monde. Il n’y a pas d’age pour le partage.
Le sourire que tu envoies revient vers toi et si de tous tu veux être apprécié, agis et parle avec humilité.
La vieillesse n’est pas une question de mort, c’est une question de santé puisque la mort est certaine.
Qui n’accepte que la perfection obtient trop rarement satisfaction, de toute façon on ne peut pas vaincre sa destinée.
Les vrais trésors de la vie sont la paix, l’amour et la bonne santé.
Le seul moyen de connaître l’amour inconditionnel sur cette terre, ce n’est pas de l’attendre, c’est de le donner,
Aimez votre prochain mais ne supprimez pas votre clôture, si quelqu’un t’a mordu, il t’a rappelé que tu avais des dents.
Il y a deux sortes de gens : Ceux qui peuvent être heureux et ne le sont pas, et ceux qui cherchent le bonheur sans le trouver. En conclusion: La plus courte réponse est l’action.
Le hasard « il n y a pas de hasard n est ce pas?
Je viens de lire votre post Quel bonheur ?
Je partage tout à fait ??
Et à 60 ans j ai enfin compris … ma route « une vraie montagne Russe ? »une VIE !
Toujours la ?et prête à relever les défis « mieux qu avant ! Car je le veux et en est fait le choix ?
Au plaisir de vous lire
J ai adore … puis je copier? Ils vont adorer dans dans notre eco système collaboratif ?
Merci Nathalie pour ce très jolie paragraphe.
Il faut quitter son conjoint ou sa conjointe quand on la violence commence et également quand la personne ne veut pas écouter des choses pour son propre bien.
Beaucoup de gens ne savent pas gérer leur argent et préfère jouer aux jeux de hasards et après ils viennent se plaindre de ne plus pouvoir finir les fins du mois.
Il vaut mieux être seul plutôt que mal accompagné, il faut de la volonté et bien réfléchir.
J’ai trouvé votre réponse très belle et agréable à lire, ça change, c’est plaisant
La déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793, article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
-Pas de RIC avec 3 millions de signatures vérifiés sur n’importe que sujet, Pas de Paix.
-Pas de proportionnelle a 100% a l’assemblée nationale, Pas de Paix.
-Tant que les produits seront fabriqués en Chine, au Vietnam alors les délocalisations continuerons et les emplois diminuerons.
-Tant que les Etats seront soumis aux banques qui sont totalement indépendante alors la décadence continuera et le peuple soufrera. Il est totalement inacceptable que les banques ne soit pas controlés par l’Etat.
– Oui la dette économique est une farce
– Oui nous pouvons éradiquer définitivement la faim dans le monde.
J ai passe un excellent moment a lire les écrits des personnes. Le sujet est passionnant et j espère que les témoignages continueront d exister.
Bonjour à tous,
J’ai tapé: je ne veux plus travailler/je n’ai plus envie de travailler, et je suis tomber sur vous lol!!!
J’ai 28 ans comme Framboise, et franchement je n’ai plus envie de travailler, plus envie de travailler pour une société qui ne se soucie pas de l’accompagnement de son personnel, et que mon supérieur hiérarchique sans me connaître sans connaître mon potentiel me prend déjà en grippe, elle ne me forme même pas pour le travail, je suis livrée à moi-même la plupart du temps. C’est très dur d’autant plus que mon amoureux est au chômage. Il attend si ses dépôts de dossiers auront portés ses fruits. Dans mon précédent boulot, mon boss ne m’a pas donné une formation complète, et moi je ne savais pas, ce n’est que plus tard qu’il reconnait que ma formation n’était « peut être » pas complète, quand il y a une merde, quand il sent que ta motivation s’effrite de jour en jour, que toi aussi tu le sais, tu le sens mais voila t es obligée parce qu’il y a ton indépendance qui dépend de ce bon vieux fric. Un boss qui te dévalorise devant tes subordonnés… J’ai pu démissionné que parce que, mon amoureux m’a dit de laisser tomber, il avait encore un travail à ce moment là. Et j’ai pu me reposer pendant 9mois. j’arrivais plus à bien dormir, poussés de cheveux blancs, fatiguée tout le temps, dépression rien que de penser que demain c’est lundi!!!! Il m a fallu au moins 4 mois pour retrouver un sommeil normal et maintenant je commence déjà à le perdre. Cerveau toujours en éveil, au petit matin sensation de fatigue. Je m’habille mal, faut juste être propre et hop!!!! çà me fait mal…. Oui s’il n avait pas perdu son boulot j aurai poussé jusqu’à ce fameux année sabbatique, d’autant plus que mon amoureux aime travailler. Sans pression quoi!!!!! Mais voila il a perdu son boulot, madame a été obligé au final. Je me retrouve avec une supérieur à l’orée de la retraite et super acariâtre. Je suis toujours motivée au départ mais ce sont tjrs mes supérieurs qui m’enlèvent l’envie de travailler, et je finis par me dire c’est peut être moi le pblm pour qu’ils soient comme çà avec moi?? trop entreprenante on me dit et quand je ne manifeste aucune réaction, je suis le troupeau, je dis OK à tout bah pas assez de dynamisme!!!!!(gros soupir) Et au final je suis arrivée à la conclusion que je vais arrêter de travailler. Dès que sa situation se régularisée, je lâche ce boulot. Et je vais vivre comme je l’entends. Créer un petit truc pour moi, organiser mes heures,…. Je verrai si je suis vrmnt pas faite (fainéante)pour travailler même avec ma propre entreprise ou c’est juste mes supérieurs le souci. Je trouve que l’on a qu’une vie, et que c’est vrai faire ce que l’on veut c’est difficile surtout avec les factures et tout le tralala, mais il faut essayer.
Bonjour je suis entièrement d’accord avec vous! La société ne se soucie pas vraiment du bien être des employés. On est la a travailler pour survivre , et passer plus de la moitié de notre temps ( une bonne partie de notre vie finalement ! ) à faire quelque chose que l’on aime pas vraiment. .. Je me demande vraiment ce que pensent tous les autres employés en général, j’ai l,impression que certains n’y réfléchissent pas , vivant comme des robots, alors que certains préfèrent ne pas y penser, mais c’est pourtant la réalité de la vie. Après certains n’ont pas le choix c’est vrai …
Bien sûr que vous devez essayer ! Je vous souhaite d’y arriver, vous n’avez vraiment pas l’air d’une fainéante, c’est la société qui fait qu’on est jugé pour tout ce que l’on fait …
A bientôt
Bonjour. Après avoir étudier comment m’en sortir voici ce que j’ai pu comprendre:
1- Etre propriétaire de ses dépenses. Ca parait bête de dire cela, mais quand on dépenses des sous pour son loyer, la voiture, l’eau ,l’électricité, la nourriture, ca fait un trou. Alors l’idée c’est d’être propriétaire, et de créer un maximum d’autonomie dans ce que l’on aurait dépenser. Ainsi le trou de la dépense et moindre.
2- Travailler pour s’assurer des revenus, et de les réinvestir.
3- Etre propriétaire de sa valeur de travail, c’est a dire, d’avoir son propre travail, et comme ceci, gérer son économie. Ainsi ses revenus ne sont moins dans la main d’autrui, mais dans sa main.
4- En étant acteur de son propre travail sur mesure, d’une part on donne du sens à notre vie, donc adieu les réflexions sur celui qui chôme, on se rend utile, et on peut gérer son temps! ainsi, on gagne ce que l’on produit à sa valeur, et tout aussi on gère notre temps, donc notre temps libre, et donc ses activités. L’idée c’est de gérer soit même sa vie, et je ne vois pas pourquoi on devrait laisser les autres gérer notre vie à notre place, ni plus ni moins. Car en laissant les ressources dans la main d’autrui, de même que son travail, on devient sans capacité avec obligation de devoir s’investir pour autrui. Comme la société à tout pris par la propriété, ou plutôt certain membre de cette dite société, on en laisse plus pour les autres. Du à l’omnipotence du système, on devient, indéniablement un être qui appartient à la société. Pour vivre, on doit se Louer, car on à pas d’autre choix.
Bonjour je m’appelle Guillaume j,ai 19 an j,ai u mon cap ecms vente est sa vas faire 1 ans que je cherche du boulot mes parents me rappelle tout les jours de trouver du boulot mes moi je di stop à tous sa non sérieux quoi avoir un métier de merde toute sa vie an métier j,ai fait usine éboueur agent de blanchisserie que des métiers de bas étage il m’on tous viré ses ingrats sans aucune justification je préfère ne rien fair que travailler toute ma vie est les autres arrêter de critiquer se n’ai pas évident de trouver du boulot on est plus dans les années 70 on est an 2019 ok alor regarder vous avant de juger tel est tel personne perso pour finir je préfère être avec ma solitude est ses m’ont choix on a pas d’ordre à me donner pas d,heure de travail donc faites comme bon vous sanble on a q,une vie donc vivez là à fond
Bonjour Guillaume,
Rien qu’en lisant , je comprends mieux pourquoi tu ne trouves pas de travail.
Même si ce n’est pas très important pour ton métier, il faut faire un minimum attention à la grammaire et orthographe.
1ière ligne
j,ai au lieu de j’ai
est sa vas faire au lieu de et ça va faire
Je m’arrête là tellement c’est pourri.
Pas facile !
Bon courage
Bonjour Guillaume,
Je voudrais, pourrais faire la vieille réac, donneuse de leçon, te dire que tu devrais trouver du boulot parce que cela soulagerait certainement tes parents, les rassurerait sur ton avenir et leur ferait avoir un regard différent sur leur petit garçon qui a grandi… Je pourrais aussi te dire qu’effectivement ton courrier est bourré de fautes qui font mal aux yeux et qui te décrédibilisent face à de futurs employeurs… ou simplement auprès de tes connaissances un tant soit peu instruites…
Je pourrais oui te dire une foule de petites choses désagréables… mais à quoi bon!??
Je préfère te dire « VIS »…et suis ton instinct et tes envies!!!
Oui mon bonhomme, vis ta vie, on n’en a qu’une!!!
Recommencer sa vie?
Commencer une nouvelle VIe?
Changer de Vie?
Qui se fout de la gueule de qui?
ON a UNE VIE!
Non renouvelable, non interchangeable… On n’est pas dans un jeu vidéo…
C’est la même de la naissance à la mort!!! Avec des hauts et des bas!
Alors vas-y bonhomme! Prouve nous que tu peux être heureux sans travailler!
Donne du bonheur autour de toi et sache le trouver dans le présent et l’infiniment petit! Tu ne seras jamais déçu.
Et si tu réussis à vivre sans bosser, alors je suis preneuse de la formule, parce que moi aussi, je trouve inconcevable d’être obligée de TRAVAILLER pour vivre!!!! A mon sens, on ne devrait être obligés que de respirer, boire régulièrement et manger un peu… pour vivre! NON?
« Telle est la vie des hommes… quelques joies très vite effacées par d’inoubliables chagrins. Il n’est pas nécessaire de le dire aux enfants. » Marcel Pagnol
Bonjour Guillaume,
Lis, bande et rêve
pour commencer…
Va sur les chemins, deviens volontaire ici ou là en France et surtout à l’étranger.
On est un autre quand on voyage et on est plus « autorisé » à devenir soi-même.
Il faut parfois se perdre un peu pour se trouver.
Tu rencontreras des gens, tu vivras de nouvelles expériences et tu finiras par trouver ta voie. Elle existe.
« Travailler » est « normal » dans le sens nous avons besoin de manger et de nous mettre à l’abris pour nous protéger du froid, de la pluie et pour s’endormir en sécurité. Pour cela il faut déplacer des choses… Travailler n’est pas toujours « souffrir ».
Marcher demande aussi un petit effort et réserve aussi de grandes joies. Des paysages, des rencontres, le plaisir d’être en bonne forme physique.
Ce qui nous manque souvent c’est le sens… Le sens pour justifier l’effort.
Il faut trouver le sens, et l’effort ne sera plus un effort.
En occident nous avons besoin de trouver un sens.
Je crois que les choses sont plus simples en Asie culturellement. Travailler est une évidence, il faut travailler quand on est jeune pour se reposer quand on ne peut plus rien faire d’autre. Il faut travailler parce qu’il faut manger. Je crois que c’est aussi simple et aussi évident et aussi logique que ça pour beaucoup.
Dans d’autres cultures encore on ne travaille que ce qu’il faut et on se contente de peu. De toutes façons il y a peu de travail et peu ou pas de possibilité de s’enrichir.
Qui se contente est riche !!
Ne l’oublions pas !
Tout pourrais être simple parfois et tout nous paraît compliqué et pénible.
C’est un état d’esprit avant tout.
Il faut donc commencer par ça.
Bonjour à tous,
Je passais par là et en lisant les commentaires, je me suis retrouvée dans la plupart d’entre eux. J’ai 28 ans et je ne me sens pas a ma place dans ce monde du travail, ou seule la productivité compte. La hiérarchie est très dure avec ses employés et ne fonctionne qu’avec la peur. La peur d’être viré ou de ne pas être repris. Alors on ne dit rien et on subit. Ça fait 8 ans que je travaille en CDD dans une mairie ( oui 8 ans ) . Et au fur et a mesure des années j’ai diminué mes heures ( on peut dire grâce à ma merveilleuse fille que j’ai eue entre temps) et on m’a repris a chaque fois car j’étais une employée modèle, qui ne disait RIEN. Mais je commence à être fatiguée de tout ça, heureusement l’ambiance avec les collègues est correcte ( Quoique bien mieux, au tout début, ou je n’avais vraiment pas l’impression de travailler). Les conditions de travail se sont dégradées et se dégradent avec une hiérarchie un peu plus tyrannique chaque année ( même si le terme est un peu fort j’avoue ). J’ai envie d’arrêter mais ça me fait peur de vivre au crochet de mon compagnon ( meme s’il gagne bien sa vie )et de ne plus avoir le courage de travailler lol … Alors on essaye avec lui de se sortir de cet engrenage au fur et à mesure, en projetant de devenir rentier mais c’est pas facile .
Voilà c’est la première fois que je postée un commentaire quelque part,
J’ailerai9 beaucoup parler avec des personnes qui ont le même ressenti que moi sur la société…
Bien à vous,
Ras le bol de ces « hors systèmes » qui depuis leur enfance sont contre tout !!
Dans une société il y a besoin de règles cher Guillaume …
Il y a des tas de gens comme moi qui bossent au SMIC et qui paient des cotisations sociales ÉNORMES (26%) pour payer des aides à des gens qui n’ont jamais bosser à l’école et dans le monde du travail !! Au final, nous sommes perdants, à nous lever tous les matins, alors que d’autres profitent de la vie et de s 32 aides sociales qui existent dans ce pays … Et après on s’étonne que 300 000 emplois ne sont pas pourvus en France ?? SCANDALEUX alors qu’il y a tant d’assistés sociaux !!!
Les seuls assistés sociaux sont les hauts fonctionnaires plus cupides que faisants. On nous bassines avec les diplômes qui ne sont que la validation de théories et non de pratiques.
Chacun peut se plaindre. moi j’ai reconnu qu’à ce jour, ce qui importe dans le travail, ce n’est plus le travail mais le salaire. Et j’ai vu de nombreux fumistes, des bons à rien diplômés, qui de peur d’être reconnus, préfèrent faire virer les vrais bosseurs. Ce n’est pas la société qui est responsable mais bien le monde d’homo sapiens sapiens médisant, méprisant et trop crétin…. qui prétend être humain.
J’ai toujours pensé qu’une spécialisation, une expertise était un atout pour un emploi. Pourtant si un expert dans un domaine perd son emploi, il se sent complètement hors de tout, déstabilisé.
On lui parlera de « Boulot alimentaire » . Bon sang, la bêtise humaine n’a pas de limite !
VM44 Personne ne vous force a aller bosser, ne jugez dc pas ceux qui on choisi LA LIBERTE
Ce n’est pas de la liberté quand on dépends des revenus de l’état et de l’entraide sociale. Ça s’appelle de l’assistanat. Et les français sont champions du monde dans ce domaine.
Bonjour lg.
Vous définissez l’assistanat comme le fait de dépendre des revenus de l’Etat et de l’entraide sociale. Soit.
– Refusez-vous les remboursements de la sécu ?
– Refusez-vous les aides sociales (si vous y avez droit) ?
– Refusez-vous d’utiliser les routes, les grandes infrastructures, les systèmes de production d’énergie (tous ont été financés grâce à l’argent d’un Etat endetté).
– Vous avez le téléphone, l’électricité… C’est l’Etat qui a mis en place ces infrastructures… Vous dépendez donc des revenus de l’Etat
– Supposons que demain vous deviez être hospitalisé en urgence, vous allez accepter de bénéficier des aides de l’Etat ou alors vous allez dire « ah non, je règle la note en entier, hors de question de dépendre de l’Etat ! ». Vous allez vous affilier à une caisse de soins entièrement privée ?
Essayons de voir un peu plus loin :
Tous les « acteurs » de l’art contemporain (et il y en a) vivent des revenus et subventions énormes de l’Etat… alors que si on regarde leur travail il est égal à zéro. Vous les qualifiez comment ?
Un très très grand nombres de médecins utilisent les structures de l’hôtpital publique pour exercer une activité privée… Est-ce qu’ils ne profitent pas eux aussi des revenus de l’Etat ???
Un cas très très intéressant aussi c’est celui de JY Bolloré (homme très discret, beaucoup plus que son frère). En 2003, JY Bolloré rachète pour 800.000 euros la Forge du Creusot…En 2006 Areva rachète la forge pour…170 millions d’euros (JY Bolloré n’a RIEN investi pour la modernisation de l’entreprise, au contraire !!! Preuve qu’il savait parfaitement qu’il allait faire un pactole quelque soit l’état de l’entreprise, dont il se fichait royalement).
D’où viennent les 170 millions ? En très grande partie de l’Etat, c’est l’Etat qui était actionnaire majoritaire d’Areva à l’époque et qui va mettre la main à la poche pour que l’intégralité de la filière nucléaire « française » soit intégrée dans AREVA.
A votre avis, JY Bolloré a-t-il oui ou non bénéficié des revenus de l’Etat ????
Toi tu es bien en marche, elle va être belle ta vie juste avant de toucher ta retraite et après aussi, si tu en touches une un jour, tu dois être le genre d’individu qui arrive à l’heure mais qui en branle pas une de la journée continue de toucher ton smic tu mérites pas plus, avec des discours comme ça pas étonnant que les patrons se comportent comme des négriers, tu dois être un sacré égoïste pour raisonner comme ça, faite ce que je dit mais pas ce que je fait.
Tu connais pas son vécu et tu le descends comme ça, profite bien car il y en a qui sont près à crever des gens comme toi avec la mentalité que tu as.
La paresse doit être le but essentiel de l’homme .
Kasimir Malevitch .
Ces hors system comme tu dis ce sont nos politicards qui les fabriquent .
Ne te trompe pas de cible .
Au lieu de payer les gens décemment , ils créent des » aides » qui nous infantilisent , nous fragilisent .
Et bien, après un café au bistrot du coin, traversez la rue pour obtenir un travail (idée de l’année macronique). Non pour vivre sans travailler, vous avez peu de choix : héritier d’une grande fortune, ancien haut fonctionnaire ou militaire, député ou sénateur (salaire à vie après 6 mois de mandat), prisonnier en haute sécurité, interné en asile psychiatrique, footballeur professionnel (idem pour le tennis, le golf et la formule 1).
Bref, il faut être intégré dans une bulle financière particulière, qui permette d’être rentier. Hélas, pour cela il faut aussi que l’argent arrive de quelque part, d’avoir un groupe a exploiter sans leur laisser le choix (salarié au smic, retraité ordinaire, patron de PME/TPE, artisan, agriculteur, chomeur, etc., le choix est trop large).
Un bulleur, un rentier, est hélas comme une tumeur impossible a exciser, un cancer impossible a soigner, une maladie qui refuse de disparaitre, une espèce qui condamne l’humanité à ses seuls intérêts personnels, mais aussi une preuve marquée de l’égoisme individuel et des résultats de siècles d’individualisme forcené. Lesquels ont vu l’apparition de religions pronant le partage (pour vous), et le don (pour eux), ont vu aussi les droits de l’homme (pour toutes et tous), et son application (chez moi, les autres tant pis).
Vivre sans travailler veut aussi dire refuser de partager, maintenir l’égoisme comme base d’action et de pensée (voir les mouvements nationaliste pour mieux comprendre), en bref, c’est toujours possible, mais hélas cela amène aussi a considérer l’autre comme un simple donneur de richesse sans droits, sans utilité, soit à le considérer comme un simple esclave qui n’a qu’un seul droit : le travail pour lui, les revenus pour moi.
C’est cela la vie sans travail, l’exploitation de l’homme par l’homme, merci le capitalisme et le marché libre, c’est ce que sont vraiment ces choix économiques et sociaux.
Que de raccourcis confusionnistes , djimmi. « Vivre sans travailler veut aussi dire refuser de partager » quelle ignominie d’écrire cela.
Ce travail rendu obligatoire, qui n’enrichit qu’une minorité, est en train de tuer la planète.
Le premier geste écologique serait de donner à tous un revenu minimum au-dessus du seuil de pauvreté.
Les gouvernements re-inventent le STO avec pôle emploi en guise de kapos.
Et qui va payer pour ce revenu minimum au-dessus du seuil pauvreté ?
Je cite:
« Huit hommes sur la planète détiennent autant de richesse que la moitié la plus pauvre de la population mondiale, une situation «indécente» qui «exacerbe les inégalités» »
Voilà qui pourrait partager et rendre possible le revenu universel…
Mon mari a été licencié depuis presque un an, je ne me suis jamais sentie autant déprimée, j aimerais comme certains vivre dans les bois comme robin mais la réalité est tout autre . Quelle serait la bonne prise de risque ?car malgré de nombreux efforts on ne trouve pas de boulot. On a bien essayer de jouer à ce foutu loto, sans rire ca fait cinq fois que je tape euromillion et que ca marque expulsion , essayez juste pour voir ! C est fou ! Merci de m avoir démontré que nous ne sommes pas les seuls à penser que ce système est pourri juste a engraisser une bande de bons à rien. Croyez en vous a tout jamais, bises.
Bonjour moi j’ai trouvé MA solution…une vie indépendante et dans souci financier
Et qu’appelles tu vie indépendante sans souci financier ?
Bonjour, je suis à la recherche d’une solution pour tout recommencer à zéro. Je dis bien à zéro, pouvez vous me faire part de votre expérience personnelle ?
Bonne journée, Gille.
Je suis intéressée ! Quelle est votre solution ?
comment vous avez fait ?
Bonjour Carole
Comment avez vous fait ?
Ce serait sympa de partager
Merci d’avance
Super !
Regardez les oiseaux du ciel: ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux?
Comme je suis contente de pouvoir vous lire. J’avais l’impression d’être la seule à penser que le travail n’est pas une source de bonheur et encore moins un sens à notre vie (à quelques exceptions). Car nous sommes obligés de travailler (torture) pour pouvoir survivre. J’ai 32 ans, et je n’ai travaillé jusqu’à ce jour que 4 ans. Je culpabilise d’avoir raté ma vie pro ou d’être passée à côté d’une motivation suffisamment forte pour me focaliser sur un emploi stable et à long terme. J’ai toujours choisi mes postes, par curiosité et par envie (à l’exception de petits boulots d’été). Dès que j’ai une nouvelle idée de métier ou que je sens que je suis pas tout à fait à ma place dans un poste, je finis mes contrats et pars sur de nouvelles pistes. J’ai toujours été mal payée (smic) et dernièrement, je suis au chômage depuis 1 an, entrecoupé de mois de bénévolat et deux contrats assez courts, avec des entreprises qui ne vous laissent pas le temps de vous adapter. Là, est la différence entre l’associatif et le publique et le privé. J’ai un profil associatif et mes valeurs sont très importantes. Je dois les retrouver dans un poste. Aujourd’hui, je ne trouve plus de motivation à travailler et chercher un boulot. J’ai toujours vécu dans la simplicité volontaire, vivre bien avec peu. J’ai la chance d’avoir un compagnon qui gagne bien sa vie et je peux vivre décemment notamment grâce à cela. Cela me fait mal au cœur qu’il fasse un burn out pour très bien gagner sa vie alors que je me contente de peu et que perso je ne souhaite pas travailler n’importe où. Actuellement, je pense évoquer une piste de freelance, car étant autodidacte, mais sans expérience, je ne me vois aucune autre piste qui me rendrait aussi libre et fière de mes missions. J’ai souvent observer les personnes au travail, et je ne peux m’arrêter de penser que leur job est inutile, qu’il n’a aucun sens, à part celui du capitalisme. J’ai également penser à vivre dans un lieu alternatif, un peu en autosuffisance, pour profiter de la vie calmement. Et trouver des projets positifs et constructifs si je dois me dégager un salaire. Autour de moi, les gens se plaignent tous de leur travail. C’est pour dire qu’il y a un vrai mal être, mais leur contexte de vie, leurs charges, leur vision de la société, la peur du chômage fait qu’ils continuent ainsi. J’ai moi-même très peur de la retraite : je ne possède rien, ni capital ni patrimoine et mes pauvres expériences pro payées au smic ne vont pas m’aider. Existe-il une alternative …?
Bonjour Matisse (et les autres),
Ton fort système de valeur me fait penser au type « INFP », un des 16 profils du MBTI. Je t’invite à te renseigner et éventuellement passer le test gratuitement sur internet. Même si tu n’es pas INFP ce test te permettra d’apprendre à mieux te connaître, savoir comment tu fonctionnes, les conditions idéales pour te sentir bien autant dans le travail qu’au quotidien… C’est un chouette outil de connaissance de soi qui peut permettre d’établir un « cahier des charges du bonheur » 🙂
Ensuite, tout ce que tu dis concernant l’emploi (culpabilité, instabilité…) me rappelle la multipotentialité. Pour savoir si tu es concernée par cette « caractéristique », je t’invite chaudement à regarder la vidéo d’Emilie Wapnick à ce sujet (conférence TEDx d’une dizaine de minutes). Si tu te reconnais à travers cette jeune femme, tu devrais ressentir un grand soulagement 😀 Par la suite tu trouveras pas mal de matière (sites, livres, vidéos…) qui te permettront tout d’abord de reprendre confiance en toi, de déculpabiliser, mais aussi (peut-être) de trouver/créer un/des emploi(s) t’offrant la possibilité de t’épanouir en faisant ce que tu aimes. Ceci tout en respectant tes valeurs !
Je sais bien que le thème ici est de vivre sans travailler. Ceci dit, être rémunéré pour faire quelque chose qui nous passionne me semble être une alternative plus que convenable car, quand on adore ce qu’on fait au point de ne plus voir le temps passer, peut-on encore appeler ça un travail ? 😉
Au passage, monter une auto-entreprise est très simple. De plus cette dernière offre la possibilité d’avoir plusieurs activités complètement différentes les unes des autres. Dernier point non négligeable, on ne paye les charges que quand il y a une rentrée d’argent.
Par exemple tu pourrais parfaitement sous ce statut être formatrice en permaculture, créatrice de savon bios, prof de yoga, photographe, blogueuse et écrivain ! ^^
Bref, ce qui ME (donc subjectif !) semble être le meilleur compromis c’est de transformer ses passions en rentrées d’argent pour vivre décemment, en faisant le point entre besoins et envies pour se décharger du superflu.
Il n’est pas impossible que tu adhères à la pensée de Spinoza… L’éthique reformulée par Bruno Giuliani pourrait potentiellement t’apporter une jolie paix intérieure…
Pour conclure, je nous souhaite à toutes et tous la plus grande félicité qu’il nous soit permis d’atteindre, avec ou sans job 🙂
Créez-vous une belle vie !
Génial… Vraiment, merci pour ces conseils (que j’ai pris pour moi car je suis exactement comme cela. J’ai fais le test et j’ai une personnalité de médiatrice et je suis « multipotentialité », incroyable, votre message m’a fait un bien fou, ouvert les yeux et rassuré. Merci encore, et à bientot
Pas de quoi Morgane 😉 Merci pour les remerciements ^^
Ravi d’avoir pu être utile et de constater l’enthousiasme 🙂
Concernant la multipotentialité, quand on a déjà travaillé, le livre de Marielle Barbe (Profession Slasheur) est une boîte à outils utile pour trouver le fil conducteur qui se cache derrière les différentes activités. Mon préféré (complémentaire), celui qui m’a le plus apporté est Refuse to choose de Barbara Sher avec certains outils que j’ai trouvé terriblement efficaces et me servent régulièrement ! Actuellement uniquement disponible en Anglais, la traduction française devrait sortir en Avril.
Si ça peut aider…
Belle continuation avec ces nouvelles connaissances ! Et bonne introspection 😉
Visiblement c’est un repaire d’INFP Multipotentiel ici 😀 J’ai passé le test et c’est la même chose qui en est ressorti.
Marrant, INFP, hypersensible et multipotentialiste je me retrouve dans les memes questionnements…!
..
Bonjour Alex, je passai par ici par hasard car je passe par une période ou je me sens perdue, notamment pour les mêmes raisons que Matisse. Je tiens alors à vous remercier à tous les deux, Alex et Matisse, pour vos commentaires. Ils m’ont permis de me rendre compte que je ne suis pas la seule à me sentir comme ça, à ne pas trouver le bonheur dans aucun boulot. De plus, je suis actuellement au chômage, ce qui me fait douter encore plus de moi et de mon ressenti envers le travail. Mon partenaire qui lui est fonctionnaire (et qui en a déjà marre de son boulot) m’encourage à continuer à faire de l’introspection pour savoir ce que j’aimerais faire. J’en ai passé des heures à m’analyser et identifier ce que j’aime faire: jadore la danse, les langues,la musique, la nature, les belles personnes, bien manger, mais surtout voir mes proches heureux. Par contre, dès qu’il s’agit de faire d’une passion un boulot…je déchante, je stresse. Tout comme Matisse, je cherche des valeurs humanistes dans chaque poste. Je cherche à me sentir bien avec med collègues et à avoir des taches enrichissantes. J’y arrive dans certains boulots au début mais dès que l’ambiance ou les personnes deviennent malveillantes, je déchante. Le pire danq tout ca cest que je m’inquiète pour l’avenir de ma fille, car appart tout cela, je vis à l’étranger (je ne suis pas française) sans ma famille, avec mon compagnon qui lui n’est pas le père de ma fille.
Et quand je pense à l’entreprenariat ca me fait peur de penser que ni elle ni moi seront couvertes comme il faudrait.
Dans tout les cas, je vous remercie énormément de vos témoignages et ferai des recherches sur les pistes que vous avez données. Bonne continuation à vous
Merci Aleks pour ce partage plein de bon sens et de bienveillance.
Je te souhaite et nous souhaite le meilleur
C’est marrant Aleks je me suis dit la même chose en lisant son post et je suis moi-même INFP !
je me reconnais beaucoup dans tout ce que tu écris……Je partage tout ! Je rêve aussi de trouver des solutions, merci pour ton commentaire.
Si ça t’intéresse et que tu as Facebook, il y a le groupe « l’autonomie est clé de notre futur » qui parle justement … d’autonomie. Via l’entraide, le woofing, les assos, les éco villages ect 🙂 !
Bonjour Matisse, je te comprends entièrement, étant moi-même guidée par l’éthique et l’envie d’une vie juste et simple. Avec mon copain on a acheté un terrain peu cher en campagne pour y auto-construire une maison écologique et vivre le plus possible en autonomie alimentaire et énergétique. Je compte être le plus possible autonome pour avoir peu de dépenses et ne travailler que par nécessité. Je ne sais pas si ce serait quelque chose qui pourrait être envisageable pour toi et ton copain. Bonne journée
Bonjour. Non nous ne valons pas mieux que les animaux car nous en sommes á égalité… Sauf que nous on ne sait que détuire
Entièrement d’accord avec toi
Bonjour, moi c’est Isaure.
J’ai 45 ans et jusqu’à mes 40 ans j’y croyais encore à l’épanouissement au travail. Alors j’ai repris des études pour avoir des postes plus intéressant. J’ai fais toute ma carrière en cdd par défaut. Aujourd’hui, je me rends compte que c’est une chance. Ne pas se sentir coincé quand vous rencontrez des responsables imbus de leur personne. Mais aujourd’hui, je suis pour la énième fois à la recherche d’un emploi et si je pouvais je m’arrêterais de travailler. Je me lasse vite des postes que j’occupe, dès que je maîtrise le poste, celui-ci ne m’intéresse plus. J’ai fini par comprendre que le poste idéal n’existe que pour très peu de personnes. L’idéal la retraite à 40 ans
Bonjour Ly,
Je me retrouve parfaitement dans ce que vous décrivez.
Pour vous rassurer j’ai enfin trouver un concept qui pourrait définir ce phénomène d’aimer en fait le changement et ne pas rester sur le même poste pendant un moment. Cela s’appelle « Multipotentiel ».
Ce sont des gens « moi le premier » n’aiment pas avoir à faire de choix, aiment tout et s’intéressent à tout.
Je vous invite à regarder cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=QJORi5VO1F8
Il serait vraiment temps que l’aide devienne universelle, il serait vraiment temps d’apprendre à partager et de comprendre que l’homme n’est rien et qu’il n’y a rien sur terre hormis la vie.
belle réponse, tout à fait vrai
Le néolibéralisme sauvage est le premier ennemi de l’écologie car il exige de la croissance ce qui ruine la planète en consommant ses ressources.
Il pourrait profiter à tous, au contraire il paupérise une grande partie du monde, jetant des pauvres contre des moins pauvres.
Le premier geste écologique, serait de donner à tous les humains l’argent minimum pour vivre et rester dans le juste nécessaire sans être pris dans la spirale du néolibéralisme, et du toujours plus.
Donner à tous les humains un revenu au-delà du seuil de pauvreté est le premier geste écolo qui fédérera sur l’écologie.
L’aveuglement ou la complicité des dirigeants politiques doit être dénoncée, l’humanité est en danger à cause d’eux.
Ce n’est pas à nos enfants de les juger, mais à nous, une pétition est associée à mon blog pour cela.
Le premier geste ecologique serait de limiter les naissances en particuliers la ou il y a plus de deux enfants par femmes, un revenu universel face à des ressources naturelles en diminution est absurde.
Tout à fait d’accord !
Et qui va payer pour ce revenu universel ?
Pas marre de toujours poser la même question impertinente ??
Je suis bénévole dans une association et les jeunes ne mangent pas à leurs faim et depuis que l’ISF à été supprimé, il y a vraiment moins de dons.
Ce n’est pas normal que les associations fassent le boulot de l’Etat.
Les jeunes sont obligés de voler, faire la manche, pour pouvoir se nourrir car il n’y a pas de minimas sociaux en continue à partir de 18 ans, il faut attendre 25 ans pour commencer à toucher les minimas sociaux, c’est trop long.
Il y a en France 5 à 6 millions de chômeurs et il n’y aura jamais 5 à 6 millions d’emplois tout de suite.
Et comme le dise les autres commentaires très intéressant dans cette article, la garantie jeune est valable SEULEMENT 1 an.
Contrairement aux autres associations, je ne suis pas du tout satisfait du plan pauvreté concernant les jeunes comme beaucoup de Français car il ne répond même pas aux situations d’extrême pauvreté.
Les jeunes en France sont les plus pauvres.
Meme la Roumanie à les minimas sociaux à 18 ans sauf la France et le Luxembourg en Europe
Gréve au maximum jusqu’à bloquer l’économie pour avoir de meilleurs conditions de travail et mettre en place un revenu universel sans l’obligation de travailler.
Je préfère avoir des moments de précarité plutôt que de travailler pour un SMIC et être stresser
Bonjour, à vous lire (presque) tous ça me rend triste. Nous sommes un des pays au monde qui offrent les meilleures conditions de vie, en témoignent tous ceux qui immigrent pour des raisons économiques (et sociales) en France. J’ai vu de près les conditions de vie dans des pays tels que les États-Unis, le Brésil ou le Pérou. Notre système de santé, d’éducation et d’aide au plus démunis est bien plus avancé que la plupart des pays. Et malgré cela, vous affichez un regard très dur sur notre système et nos politiques. Renoncer au capitalisme pour une société 100% solidaire, sans profit, aura un effet boomerang sur tous les avantages acquis en France dont, je m’aperçois, d’aucun n’ont peu conscience.
J’ai 29 ans et je travaille depuis que j’ai 21 ans.
Je n’ai fait que des petits boulots.
Je n’y suis pas à ma place.
Je déteste tout simplement le fait de travailler.
Dans la vie de tous les jours, quand j’entre dans un lieu de travail, je vois le personnel s’activait et faire les tâches qui lui incombe, et je me dis souvent « et si demain, ils avaient la possibilité de vivre sans leurs emplois? »
Et je me dis que beaucoup lâcheraient le poste qu’ils occuperaient.
Il m’arrive de me dire que la société civilisée n’est pas franchement pour moi, avec ses contraintes imposées par des lois sociales et morales inventées par des dirigeants tout désignés (travailler, payer les factures, les impôts, s’habiller, avoir une situation sociale et professionnelles pour dire qu’on a réussi sa vie, respect d’horaires, de délais, de manières).
Le temps est trop précieux pour ne le consacrer qu’au travail…
Étymologie de travail: tripalium, instrument de torture.
Les mots ne mentent pas.
Je suis quelqu’un qui veux rester libre, je ne veux pas être obligé de bosser pour un patron, de respecter des horaires, d’être contraint de faire ci de faire ça…
je suis épuisé, physiquement et nerveusement.
J’ai été arrêté deux mois l’an dernier pour épuisement au travail.
Et savez-vous ce qu’a osé me dire mon chef ? Tu travailles bien mais il faut en faire plus !!!
Je vais aller dire à mon imbécile de patron, d’aller se faire foutre.
Nous aspirons tous a vivre notre vie d hommes et de femmes libres,sans être aliénés par le travail.
Le boulot toujours pareil, jour après jour une routine qui nous épuise.
Se faire hurler dessus toute la journée par les clients et houspiller par les chefs
Je trouve ça très dur de vivre dans cette société où tout est basé sur le travail, la productivité, la rapidité, l’argent.
Rien de tout ça ne corresponds à mes valeurs à moi !
Je ne me retrouve pas dans cette société où l’on nous définit par un « métier que l’on exerce ».
Je suis un être humain, j’ai envie de me lever quand mon corps me le dis, de ne pas le stresser, de profiter de la vie, de la nature, des autres, de partager et d’être simplement humain. Cette société où nous sommes tous au boulot de 8h à 18h, Ce n’est pas logique, il n’y a rien de normal là dedans !
De plus en plus de gens ouvrent les yeux sur cette manipulation, cette dictature qui dure depuis… l’aube de la civilisation !
Ces mêmes dirigeants nous formatent tous depuis des siècles pour nous laisser penser que « Travailler pour eux est un devoir ». Qu’il est parfaitement normal de travailler 5 à 6 jours sur 7, et de travailler toute notre vie pour ne pouvoir « profiter » de cette dernière qu’une fois atteint l’âge de la retraite.
On ne se dit pas : « Je vais travailler comme ça jusqu’à ce que j’en meurt », mais plutôt : « Oui je vais travailler toute ma vie mais j’aurais une retraite… » Notre docilité a été achetée.
Et donc, on reste soumis, dociles et finalement, corvéables et malheureux.
RÉVOLTEZ-VOUS !!!!!
Une révolte ça gèle l’économie !
il n’y a pas que l’argent dans la vie, mais aussi l’échange, le soutien, l’écoute, le partage, l’Amour, l’harmonie !
J’ai vite compris que j’étais le mouton faché du staff.
Je me refuse à agir comme un robot. Alors j’ai décidé de démissionner!!!
Je trouve le système actuel pourri et entravé
Une fausse « bonne » ambiance caractérisée surtout par les coups dans le dos, et j’en passe. Et à la moindre erreur ou au moindre oubli, j’avais l’impression d’avoir tué quelqu’un, ou que c’était gravissime.
Les patrons veulent s’en foutre plein les poches en nous prenant pour des esclaves.
je me lasse du travail répétitif qui me saoule, du rendement, de l’épuisement.
les gens sont des moutons, on dirait qu’ils sont hypnotisés, ils se laissent faire, ils se rebellent pas, ils acceptent qu’on les traite comme de la merde, et je comprends pas comment ils font pour vivre comme ça.
Les gens au travail vous manquent de respect alors que vous, vous les respectez,
Ils attendent avec impatiente que vous fassiez une erreur pour qu’enfin il puissent vous le dire et vous humilier ça les fait jouir,
On est convoqué au bureau parce qu’on a pas bien fait le truc, on se croirait à la maternelle, il faut être parfait, mais qu’ils aillent tous se faire foutre !!!!
ILS ME DÉGOUTENT, le milieu du travail me dégoûte, tous ces cons , qui parlent pour rien dire, tous ces hypocrites.
Refuser de travailler est un acte politique courageux.
Je vous invite à réfléchir, à ne pas avoir peur de vous déconditionner, de devenir différent, et « marginal ». Ce n’est pas vous qui fonctionnez de travers, mais bien les autres !
Venez également soutenir le projet du Revenu de Base Inconditionnel (RBI). Un revenu garantit à vie pour pouvoir manger, se loger et se vêtir sans avoir à travailler.
Contactez moi
Bonjour,
Tout d’abord BRAVO !!!!!
Je pense totalement comme toi.
En tout cas ton article est vraiment bien rédigé.
J’ai eu absolument le même ressenti en te lisant et me suis vue lorsque je travaillais.
Bien à toi.
Je pense totalement comme toi. on pourra échanger.
En tout cas ton article est bien rédigé.
Bien à toi.
Ed
Bonjour je me reconnais complètement dans votre descriptif j ai 40 ans et navigué de boulot en boulot sans jamais etre satisfait de remplir les poches à une minorité en restant en esclavage.Comment la majorité peut supporté cela sûrement parce qu on les a manipulé et cela commence des l école.on est lobotomisé afin de penser qu à bossé et à consommer.je n ai pas encore trouvé le moyen de m assumer financièrement mais j espère que le revenu de base sera un jour mis en place se sera un premier pas vers la liberté…..sinon je viens d apprendre que je suis zèbre (hp)et au vu de votre commentaire essayé de vous renseigner car vous vous rapprochez du profil à travers certaines descriptions .bonne continuation et merci pour ce message qui prouve que je ne suis pas fou et pas seul .cordialement
Je partage ton opinion Gil
je me suis vraiment retrouvée dans tout ce que tu as écrit. Soulagement de me sentir moins seule.
Bien parlé, vous avez tout dit ! Je suis 100% d’accord, helas beaucoup de personnes trouvent normal de passer leur vie au boulot. Regardez en suisse, ils ont eu la chance de pouvoir instaurer le revenu universel et ils ont refusé ! Le monde marche sur la tete, dès qu’un progrès est possible les gens ont peur et préfère continuer a vivre de facon misérable, être esclave et se plaindre ! Ils veulent soit disant le changement mdr
Bonjour, je me reconnais totalement dans tes propos.Plus épanouie dans mon travail que j’exerce depuis 30 ans, j’ai décidé de changer d’emploi pour me redonner l’envie de me lever et ai envisagé un boulot de contact dans le social,du relationnel pour ne plus me sentir être un »robot ».Je fais un bilan de compétences,qui me permet de constater davantage le dysfonctionnement de l’entreprise : rentabilité, rapidité, dégradation de l’humain qui ne doit plus avons de sentiments.Qu’en est il du bien être de la personne ?Néant,il existe des colloques et formations à ce sujet,sont elles applicables ?Pour en finir ce bilan de compétences était un espoir pour moi,avancer dans un nouveau projet correspondant à mon être intérieur,et soudain lors bilan revirement de situation,les belles paroles du début,me confirmant comme quoi j’avais encore 15 ans à bosser et pouvait allier plaisir au travail c’est résumé ainsi: vous pouvez tout à fait envisager cette formation,en planB.Alors là tout s’effondre pour moi…les patrons sont là pour nous exploiter,nous utiliser à leur guise pour remplir leurs objectifs,et de faire du fric sur notre dos.Ecoeurant cette vie de labeur,pour signaler que ça impacte sur ma santé physique et psychologique et que ni la médecine du travail ni l’inspection du travail qui devait intervenir dans mon entreprise soutiennent les salariés.Le capitalisme à tout prix pour enrichir les riches,alors que les qualités humaines sont galvanisées, j’appelle ça une sorte d’esclavagisme moderne,et nous sommes pour la majorité de vrais moutons de Panurge.Triste monde,et vive le bonheur de l’être humain loin de ces conditions.
Bonjour ,
6 mois sont passé depuis votre message et je trouve cette page ou des gens pense comme moi.
J’ai lus beaucoup de message ici , mais a l’heure actuel si ont recherche pas du travail ou ont arrivent pas a le prouvé , ont fini par nous coupé les allocation (pour ma part RSA). Ce qui risque de m’arriver très bientôt.
Pour une fois je vais dire sincèrement se que je pense « je n’aime pas se monde du travail ».
Je me dis aussi que toute être humains devraient avoir droit au strick minimum pour pouvoir se nourri , se logé , se vêtire et payé son loyé. De combien j’en sais rien.
Mais si les choses continue le nombre de SDF va grandement augmenté.
Pour ceux qui pourront vivre chez leurs famille c’est pas non plus facile , t’a aucune ressources pour les aidé a te nourrir ou a les aidé un minimum pour l’eau ou l’électricité .
Premièrment, expliquez moi simplement comment peut on avoir droit à un revenu de base inconditionnel, qui va vous le fournir et sur quelle base économique car ce revenu provient soit d’une richesse crée, soit d’une taxe soit d’un emprunt …et je ne pense pas être comlet; à fortiori, rien n’est gratuit dans notre monde sauf si c’est vous le produit, je vois beaucoup de déconvenu à venir.
Deuxièmement chacun doit normalement pourvoir à sa subsistance surtout quand on est en bonne santé et quand je vois le potentiel agressif actuel, je vois toute cette énergie qui pourrrait être utile à la création de richesse au lieu du désordre et de l’oisiveté.
Toisièmement le travail fait parti de la vie normalement de tout à chacun , apres ne pas confondre salariat qui incombe un lien de subordination à un employeur et qui ne recoupe partielement le monde du travail.
cdlt
Je suis Isabelle. Je suis comptable et j’adore mon travail que je fais avec passion.
Mon problème ce sont les collègues (trop moutons, jaloux et concurrentiels) et la hiérarchie (trop autoritaire et méprisante). Je ne travaille qu’en CDD car je veux me laisser des portes
de sortie quand ça tourne trop au vinaigre pour moi car je
ne veux pas me fabriquer un cancer ou un je ne sais quoi
avant de pouvoir profiter de la retraite. Partir d’une entreprise n’est en réalité pas un drame ni même un
danger si on a l’expérience et le savoir faire. Donc, n’ayez pas peur du licenciement ni de la fin d’un CDD; en réalité vous retrouverez facilement du travail.
C’est la peur des salariés qui permet aux patrons de totalement les dominer, et croyez moi, les patrons en jouent.
Je pense qu’il n’est pas ici question de cautionner l’assistanat. La population depuis trop longtemps est habituée aux aides de l’état et il n’est pas question que du chômage, la sécurité sociale et la retraite sont un luxe que nous avons, un privilège que beaucoup d’autres pays n’ont pas. Si vous saviez qu’à votre vieillesse vous devrez subvenir à vos besoins sans aucune « aide » vous en viendriez fatalement à chercher les moyens d’y parvenir. Il ne s’agit pas ici d’une critique, tout le monde aime le confort et notre société nous apporte relativement de confort donc nous ne cherchons pas d’autres manières de faire. Si en échange de mon temps j’ai de l’argent, une retraite, des aides etc… pourquoi je le perdrais à chercher une alternative ? Sauf qu’elles sont là, il suffit de chercher. Encore pour cela faut-il avoir le courage de quitter le troupeau…
Au final pour la majorité nous consacrons tout notre temps à notre travail, sans vraiment voir nos enfants grandir, sans vraiment passer de temps avec nos êtres chers, sans voir le monde, sans même avoir le temps de prendre simplement plaisir à être en vie. Nous nous sommes rendus esclaves de petits papiers verts.
C’est cela pour vous la vie ? Parce qu’à mes yeux c’est tout sauf ça.
Prenez des risques pour avoir la vie dont vous rêvez, vous tomberez peut-être, même certainement mais vous vous relèverez et vous y arriverez. Si vous n’essayez pas c’est certain, ça ne vous tombera pas du ciel.
Mais pour le bonheur, ça vaut la peine de se battre non ?
En espérant que ce message fera réfléchir quelques personnes.
Le travail c est la SANTE! Comment voulez vous avancer avec de tels arguments..Je travaille depuis 28 ans et comme tout les gens qui travaillent j’apprécie d être en congés quand ceux ci arrivent et je suis fière du travail accompli et part sereine en vacances.Mon travail n a jamais été pour moi un ennemi ,il m a épanoui,et mon fils a des valeurs c est primordial.que chacun fasr comme il veule mais par pitié ne cautionnez pas l ASSISTANAT ,c est justement ce qui crée des tensions entre nous.certains en ont vraiment besoin et la soit,mais d autres sont d incrédule à profiteurs et c est écoeurant!
Bonjour
Quand on bosse, on a plus envie de bosser et quand on bosse plus, on a « envie » de bosser.
ce jeu de société, ce système rend chèvre dit le mouton..
les mots ont un sens.
le mot travail prend sa source dans le mot « torture ».
Je suis adeline, j ai appris à vivre autrement que par le travail : jardinage, ménage, regarder des reportages intéressants, faire des maths. Des fois, il m arrive de partir sur un coup de tête pour me promener sortir à moins et 40 km de chez moi. J adore partir vagabonder et dormir à la belle étoile, se laver dans le lac… Consommer le moins possible.
Je suis adeline, j ai très mal vécu mon expérience chez ASCOT malgré la sympathie de mes collègues. Je semble être victime de discrimination. En effet j ai pas l impression d avoir été bien accompagnée durant mon CDD, surtout quand Ghislain est arrivé. Ce dernier est arrivé dans la même équipe que moi. Sous prétexte qu ils ne pouvaient pas gérer 2 nouveaux arrivants dans la même équipe, ils se sont occupés de lui et moi Bin…Ils mont laissée de côté. J ai eu le malheur de baigner 2 palpeurs, plutôt que de me faire entraîner, ils ont pris la solution de facilité, ils m ont virée des us pour me mettre en ressuage. Même là, j avais pas ma place, en effet qd il y avait le NAD CAP, ils (les gens du buro) me mettaient ailleurs. Et après ils s étonnent que je ne suis pas productive…eh Bin.
Bien pensé Aquiles de me dire que vous voulez m aider . C est pas vrai « On arrive pas à te faire confiance » Voilà ce qu il fallait dire.
Vous rendez vous compte que vous racontez une histoire complètement bancale,à citer des noms que personne ne connait…que voulez vous que l’on comprenne de ce que vous dites?
Je suis adeline, Je voulais aussi vous dire que ensuite j ai travaillé chez CAPTECH, et le patron n avait pas vraiment confiance en moi, même si mes 2 collègues trouvaient que je me débrouille bien. À ma 2ème semaine chez eux, j ai eu le malheur de ne pas avoir réussi tout de suite la 4ème manipulation sur la fabrication de câble » vous n êtes pas manuelle, c est négatif, on va peut s arrêter là, je ne veux pas vous mettre la pression mais… » me dit il en me tournant le do.
À la fin du contrat, je lui montre ma motivation pour être embauchée « il ne suffit pas d aimer » me dit il « vous n êtes pas autonome, le CND il faut être autonome, vous risquez d être déçue » me dit il.
Bonjour, c est toujours moi (DUT mesures physiques ). Pour commencer, j ai une expérience de 8mois chez NOVILOIRE, et cela ne s est pas très bien passée.
À l entretien, le chef du QC m a présenté le service. Je lui ai expliqué mon handicap.
Ma 1ere semaine s est passée au test d aiguille. Il y avait une autre fille qui est arrivée 1semaine avant moi. Ma 2 ième semaine s est aussi passée au test d aiguille comme elle, et elle est montée au QC. Et à ma 3ème semaine, Laurent me dit de rester au test d aiguille pour que je sois soi-disant prête. Au bout de 2mois je lui dis que je suis prête.
Je suis au QC avec Élodie. Je voulais regarder ce qu elle fait pour assimiler, comprendre. 1,5 semaine au QC le chef viens me voir pour me dire que je ne suis pas à l aise. C est abusé, je viens d arriver j observe pour comprendre et on me dit que je ne suis pas à l aise ! Surtout qu il fallait 1,5 mois pour être autonome.
Du coup, on m a misé vers un autre types appareil à contrôler. Ah, vous ne vous rendez pas compte, j ai eu le malheur d avoir mis le mauvais dossier à enregistrer dans l instrument pour le client ah je vous dits pas… »Tu ne seras pas autonome » me dit le gars avec qui j étais.
Une fois encore au QC « Tu es contente d être avec moi, pas moi ! »
« Plus que 4 jours Loïc, plus que 4 jours » balance Aurélien à Loïc »
À la fin du contrat, apparemment, j étais la seule à ne pas avoir été prolongée « Je prends les 2 personnes qui ont travaillé ici 18 mois, chacun son tour » Foutage de gueule parce que eux ils ont eu leur chance…Le chef a préféré attendre 3 mois pour qu ils arrivent plutôt que prendre moi. 18 mois plus tard j apprends qu il cherche qq1. On m a dit « Ils ont eu une bonne opinion de vous, mais vous êtes trop jeune pour le poste. » J avais 26 ans, si c est pas hypocrite ç ça. La bas il y a pas mal de jeune. Du coup, j ai jamais été autonome au QC que au test d aiguille. Ils m ont pas laisser ma chance
Bonjour, moi aussi j’ai l’impression que le monde du travail ne me fait pas de cadeau. En effet, ça fait 7ans que j ai mon DUT Mesure Physique, je vais avoir 30ans, je suis asperger, et je peine à avoir un travail ou à le renouveller. Meme face à des personnes sans expérience je n’arrive pas à décrocher un emploi. En entretien, il faut se vendre, et je n y arrive pas.
Vivre dans la nature est il toujours à l’ordre du jour en 2018 ?
Bonjour,
Pour ma part, j’ai eu beaucoup de plaisir à travailler disons les 20 premières années de ma vie de salariée . Il faut dire que dès que je sentais une lassitude ou que ce que je faisais entrait en conflit avec mes convictions, je changeais de boulot (voire à changer de région). Ainsi, j’ai occupé un certain nombre de boulots différents et tous toujours intéressants et toujours par réel choix (il faut dire que je n’ai pas d’enfant, ça aide sans doute).
La fin de ma vie de salariée est arrivée avec une tentative dans la fonction publique en tant que travailleur social. J’entends beaucoup d’idées préconçues sur les personnes qui perçoivent les minima sociaux et cela me désole car la réalité c’est que notre société actuelle ne peut embaucher toutes les personnes disponibles. Le plein emploi est un leurre et les personnes comme moi qui bossent dans le social sont utilisées par le système comme des anti-dépresseurs. Tandis que nos édilités et nos dirigeants (publics et privés) se nourrissent de notre crédulité et de notre soumission.
Ainsi, dégoutée par l’envers du décor que je côtoyais tous les jours, cette hypocrisie ambiante qui veut vous faire croire que c’est vous pauvre chômeur ou bénéficiaire des minima sociaux qui êtes responsable de ce qui vous arrive, que de toute façon vous ne méritez aucun égard (mise à part les jours précédents les élections) , que vous êtes un profiteur…. je me suis lancée dans l’entrepreunariat. Et là, nouvelle déception car j’évoluais encore avec des institutions publiques ou privées qui utilisent le système pour leur propre profit en vous faisant croire que c’est pour l’intérêt général (ainsi je suis persuadée que les profiteurs ne sont pas ceux que l’on pointe du doigt mais ceux avec un costard cravate!).
Bref, j’ai fini par lâcher ce petit monde « merveilleux » et ai saisi l’opportunité qui m’était donné pour m’installer à la campagne (campagne tropicale qui plus est puisque je suis en Martinique!). Ayant à mon arc la compétence de conseillère en économie sociale et familiale (entre autre), j’ai calculé mon coup et mon coût ;-). Pas trop non plus car je crois qu’il faut surtout avoir confiance en soi, être ouvert à la nouveauté et au changement et effectivement ne pas être trop « lobotomisé » par la société de consommation. Cela fait donc 1an et demi maintenant que nous avons débuté le projet de ferme agroécologique. Je pense aussi à l’idée de créer une communauté ici, ou bien une coopérative, enfin quelque chose qui puisse profiter à d’autres. Et pour ce qui est de l’argent, c’est le pécule engrangé mes dernières années de « travailleuse » et le fameux minima social qui m’y aide. Pour ma part, je n’ai aucun scrupule à utiliser le système qui a si bien su m’utiliser (j’étais consentante vous me direz!) d’autant plus que je considère que le travaille que j’effectue aujourd’hui à bien plus de valeur que certains autres…Toutefois, c’est vrai que j’aimerais quand même bien être totalement autonome. Cela viendra sans doute avec l’évolution de notre projet. Et si toutefois cela ne devait pas venir et bien je me satisferais de ce que j’ai car j’ai déjà beaucoup.
Bonne chance à ceux qui se lancent dans l’aventure du changement…
Bonjour, votre histoire me parle énormément. Avez-vous du entreprendre une formation agricole pour cela? Ou est-ce du « freelance/style »?
salut
j’étais comme toi , j’ai souvent changé de travail, mais je suis tombée malade et je vieillis aussi du coup je n’ai plus la force de partir à l’aventure. mais ton histoire me donne un peu d’espoir, j’aimerais tellement être tranquille …
Bravo à toi , on peut suivre ton projet quelque part ?
Bonjour je me nome keita Fatoumata Bintou,j’ai 23 ans,j’ai terminer mes études l’année passée,depuis que j’étais en 2annee université jetais entrain de chercher un job jusqu’à présent je n’ai pas trouver,ma mère est malade je la soignée je n’ai personne pour m’aider, alors je demande toutes personnes qui verront ma publication de m’aider à trouver un travail s’il vous plait pas pour mon donner de l’argent mais m’aider à soigner ma mère et de trouver un job, merci
Bonjour Keita..
Je pense que Tous ici, si ont le pouvaient..ont t’aideraient
Sauf que tous ici..on est en galére.
Continu de t’occuper de ta maman, c’est la plus belle chose que tu puisses faire.
Puis tente de gagner un peu d’argent comme tu le peux et tiens bon, baisse pas les bras.
Il y aura des jours meilleurs.
Bonjour,
J’ai l’impression de me retrouver dans divers fragments de vos messages.
J’ai 33 ans, je n’ai jamais reussi a trouver ma place dans le monde du travail et j’ai l’impression que je la trouverai jamais.
J’ai aussi l’impression d’avoir cherché du travail une bonne partie de ma vie, sans rien trouver de durable et de motivant.
Là, j’arrive en fin de droit de chômage, et tomber au minima sociaux me rend malade psychologiquement.
J’ai le sentiment d’être inutile, d’être different, d’être un boulet, un profiteur, un féneant, pour la société et certaine personne de mon entourage, famille et ami.
J’ai vraiment l’impression d’être extérieur à cette sociėte qui ne me plait guère.
Le regrette l’insousciance de ma jeunesse, la vie était belle.
Je n’étais pas prepare a decouvrir la vie d’adulte.
Le regard des autres m’est insupportable, pourtant je ne suis pas bête, loin de là, c’est simplement que rien ne me plait dans ce monde du travail, et je n’ai pas d’ambition, tres peu de chose me motive.
Cela un an que je chôme, mon dernier job pour un grand groupe leader du nucléaire ne s’est pas bien terminé, non pas a cause de ma hiérarchie mais a cause des mes collégues intérimaire, où l’ont se livre une guerre silencieuse mais redoutable pour garder sa place et renouveller nos contrats…
Eh bien, j’ai perdu…et depuis, je sombre tout doucement depuis un an, et a vrai dire, je ne pense plus étre capable d’assurer un travail en ce moment.
Les chomeurs, ou bénéficiaire de ce pays sont vu comme des pestiférés, si la société va mal, c’est de notre faute apparement.
Je suis conscient de la situation, je flirte avec la dépression depuis plusieurs mois.
Vous lire me fait du bien, je me rends compte que je ne suis pas le seul.
Je ne suis pas fénéant, ni avide d’argent.
Je veux juste travaille quand je voudrais, sans en avoir l’impression et profiter de la vie simplement.
J’ai bientot RdV avec un psychologue du travail…je m’angoisse un peu de parler à ce genre de personne, mais je dois déballer mon sac, ça deviens urgent de parler, je ne verrai jamais mes 40 ans à ce rythme.
Enfin, je suis pas seul, ca me remonte un peu le moral.
Merci à tous
Ps: dsl pour les fautes, j’aime pas ça, mais sur un smartphone pas évident et pénible d’écrire sur ces ecrans.
Bonjour ; j’ai 30 ans et moi aussi j’en n’ai deja marre …. j’ai toujours travailler souvent des cdd , des remplacements . Mon dernier patron c’étais il ya 4 mois , un gros conna… Depuis je n’ai plus la motivation , je m’éforce à postuler , je passe des entretients mais je n’ai plus la niac d’avant . Comme je te comprends …. moi aussi defois on me regarde comme une zombie , j’envoie tous le monde boulet je m’en fous . Moi aussi je connais la déprime par moment mais defois je me dit : et si c’étais une chance ? si c’étais l’occasion de me diriger vers une vie nouvelle ? la je me renseigne beaucoup , j’ai envie de vivre en communauté dans la simplicité , dans une yourte ou un tipi lol … il ne faut pas que tu te sentes inférieur , les gens sont méchants et bêtes ! n’écoutes pas les gens , le chômage pour tous c’est prévu d’ici peu ! il faut se dire que nous on n’a pris un peu de l’avance ….courage .
Je suis un peu dans votre cas mais moi c ‘est pire c ‘est depuis l enfance que je suis totalement instable . J’ai quitté l’ecole à 16 ans et en grand j’ai du travailler 2 ans à peine en cumulé en plus de 30 ans !!
je me reconnais dans ce que vous écrivez
31 ans, ai travaillé 1 an et demi en tout dans le domaine de l’animation… pour me rendre compte que ça me plais pas du tout, je vois une coach d orientation et je me pose tellement de questions… cette situation m’a fait sombrer dans une dépression et des angoisses… j ai l’impression de ne pas être à ma place… peut être qu un jour, je trouverai un job qui me plais assez… ou bien vivre en semi indépendance, c’est à dire faire des petits boulots dont je suis moi même le patron.
en bref, courage, et si vraiment ça va mal, n’hesitez pas à en parler à un personnel médical, il pourra déjà vous aider à surmonter cette frustration qui rend malade
et pour terminer, nous, petits chômeurs que nous sommes, ne coûtons que 2.50 environ par contribuable, c’est à dire rien du tout, n’oublions pas cela ^^
peut être n’est tu effectivement juste pas à ta place, peut être que le problème ne vient pas de toi mais du reste.
J’ai ton âge, je vis correctement, j’ai un travail et pourtant je suis en dépression. donc tu vois ce n’est pas le chômage qui te rend comme ça, c’est la société capitaliste qui nous ronge…
Plusieurs mois plus tard..
Toujours au même stade, j’ai travaillé en tant que saisonnier une centaine d’heures, toujours au minima, toujours seul, heureusement j’ai une mére adorable mais qui a beaucoup de probléme de santê….
Le seul point positif, ce que je n’ai pas de souci de logement….
Les rayons du soleil ont quelques temps apaisés mes souffrances, les petits boulots au black ont fait du bien au cerveau….mais là…la grissaille du nord reviens et l’hiver risque d’être long.
De quoi être fiére dans une vie comme celle là….? Je me le demande..
La motivation..quasi inexistante..
Le travail, je continu de chercher, de postuler…sans réelle envie, par obligation de survie…
Surtout, sans me faire d’illusion.
Chaque matin je vois ma tête, cerné..un zombie… dans le miroir, et je me dis, comment un employeur pourrait me recruter dans cet état.
Des milliers de questions tournent chaque jours dans ma tête..toujours les mêmes…
–Comment j’ai fait pour en arriver là…
— l’avenir…. euh…Anxiogéne…
— suis je fou ou dépressif….ou est-ce cette sociête qui n’est pas humaine.
Bref…toujours pas de solution en vue, et sans argent difficile de monter des projets…
Merci à tous pour vos messages et soutiens…
Tenez bon mimi fabien et tout les autres.
Même les gens qui bosse autours de moi, peine à sortir la tête de l’eau..
On nous a rendu ainsi, on a vu beaucoup de mauvaises facettes de notre « grand pays »..mais Un jour on se Relèvera.
Bonjour… Core!
Je peux très bien comprendre ta situation et j’espere qu’elle s’est améliorée depuis. Je veux surtout parler de ton état d’esprit.
Le stigmas d’être dans les minimas sociaux peut être assez dure dans ce système très hiérarchisé et au vieilles valeurs. Mais n’y fait pas attention. Vois comme un jeu et une nouvelle façon d’aborder la vie et découvrir le plaisir de la simplicité… Car c’est une situation que tu ne vivre pas pour le reste de ta vie. Donc tire s’en le meilleur. Les gens critiquent parce qu’ils en ont l’habitude. Et ne pensent par eux même. Le monde bouge, mais les mentalités académiques des années d’après guerre reste dans les schémas mentaux qui crée un frein. En plus le Français est compliqué… Ayant vécu à l’étranger pendant 15 ans… je t’assure… le potentiel intellectuelle est tellement gâchée dans ce pays. Comme tu le dis… tu es intelligent! Donc utilise la cette belle perspicacité… Pour expérimenter la vie simplifiée à la Léonard de Vinci qui parlais la la simplicité suprême, ou de la philosophie de l’art anciens japonais. Qui n’avais pas de mots. Et que les occidentaux on dû en crée pour leur cinterpretation de l’art déjà sur compliqué au 18/19eme siècle. Profite en pour avoir le plaisir de ressortir ta curiosité, d’aller chercher de ce qui se fait de positif et qui t’inspire. De faire du volontariat / bénévolat… Prends l’occation de te frotter au gens inspirants… Ce sont les plus silencieux, heureux, productifs et surtout partageurs! La culture c’est comme la confiture! Moins on en as et plus on l’étale. De même que les critiques… ce ne sont que les gens médiocres qui les véhiculent et qui n’ont pas encore réalisé qu’ils étaient en frustrations.
Leur problèmes pas le tiens! Imagine que tu sois dans une ville assiégée… que ferais-tu ? Je ne serais pas étonné que tu chercherais à aider les gens, à rendre ton modeste chez toi agréable, ludique et plaisant, que tu trouverais la moindre petite brindille une goutte poésie qui te réchauffe le cœur… Et bien c’est pareil! Ta situation présente ne demande que t’avoir un changement d’angle de vue 🙂 Prends cette liberté et réjouit de ce cadeau à ce moment précis de ta vie… Une pause pour te laisser voir autrement et ne pas finir médiocre et de râler à ton tour sur un groupe social.
(Pour la petite histoire… les minimas râlent sur les bourgeois, les campagnards sur les Parisiens, les Parisiens… sur well, je vais m’abstenir sur ce coup là, les Bretons sur les français, les gens du sud sur l’hiver, les laïcs sur les religieux, l’education sur les illettrés, et bla-bla-bla… Les français ralent est pointent du doigt… c’est fatiguant, donc prends le avec le sourire).
Bon découverte et continuation!
Bonjour Louise,
Merci pour ton soutien, et de me donner une autre vision de la vie.
Ma situation n’a guére evolué.
Puisque je suis au RSA, le departement me prends en charge pour tenter de retrouver un travail avec le suivi adéquat.
Puisque le RSA est un droit, j’ai un devoir…me sortir de cette merde…
Tu as raison, ca me plairait d’aider les autres, mais le chemin pour arriver a ce métier, n’est pas facile, et demande surtout d’etre bien dans sa tête afin d’aider les autres.
J’imagine que passer des diplômes pour devenir éducateur ou autre necéssite l’aval d’un psy…
Je continu de postuler oú je peux..
Je cible des offres d’emploi de plus en plus large..
Mais j’ai plus la niak…
Plus de motivation, ni d’ambition.
Mais on baisse pas les bras…
Je continuerai d’alimenter cet article
Courage à tous, et prenez soin de vous.
Bonjour tout le monde,
je viens rajouter un petit commentaire car il se trouve que je suis dans le même état d’esprit que vous tous, j’ai seulement 24 ans et je n’arrive pas à trouver la solution pour faire quelque chose qui répond à mes envies mes passions et qui permette de vivre correctement. Hypersensible, j’ai enchaîné les missions d’intérim ces dernières années en parallèle de mes études et après les avoir finies (bac+2) et à chaque poste, j’ai eu cette impression de ne pas être à ma place, de ne pas supporter ces ambiances où tout le monde se regarde d’un sale œil, où la jalousie règne (usine, ménage, cantine, milieu hospitalier,maison de retraite…). J’ai alors décidé de me mettre auto entrepreneur l’année dernière, mais très compliqué de se développer et plus ça va, plus l’envie de me dépasser s’éteint… je n’en peux plus de ces mentalités où tout doit être fait vite, où les gens attendent des miracles (je suis dans le secteur paramédical), certains n’ont même pas la politesse de prévenir qu’ils ne viennent pas au rdv alors que j’ai de la route et que je m’embête à tout faire pour être la plus juste avec eux. Je ne souhaite plus continuer cette activité mais pour quoi faire? je suis totalement paumée… je suis nostalgique de l’enfance (même si elle n’a pas été parfaite loin de là), la perte des proches, … j’ai l’impression de vivre un cauchemar, de ne pas trouver ma voie :/ c’est déprimant, surtout que je ne suis qu’au tout début de ma vie professionnelle. Bonne chance à tous
Je viens de lire attentivement ton poste et sache que tu n’es pas seule moi aussi à bientôt 30 ans,je vis la même chose!!! Si tu veux discuté bienvenue à toi
Salut « cerisette1144 » et « Romain »,
J’ai un parcours très similaire, cela remonte le morale de voir que je ne suis pas à la seule. Je pense à devenir autoentrepreneuse car je trouve ma voie nul part.
Sa serais vraiment bien de pouvoir en discuter !
coucou j’espere que tu vas mieux depuis, ou en es tu? tu as trouvé la solution? je vis la même chose que toi
Bonjour tout le monde,
Je me suis arrêté de travailler à l’age de 43 ans, j’ai vendu mon entreprise en 2014, je vis uniquement avec mon capital tout en le faisant fructifier. Mon capital se compose d’ immobilier, d’ automobiles de sport et de collection, + des comptes de courtages.
En somme, je ne travaille pas, je m’amuse et je gagne ma vie de cette façon. Je suis sorti du système (traditionnel) je ne suis ni Salarié, ni Artisan-Commerçant, ni Chômeur ou Allocataire du RSA etc …
*********JE SUIS UN ÉLECTRON LIBRE**********
Ma formule :
je n’ai absolument aucun crédit, aucun engagement à quoi que ce soit. J’essaie au maximum que possible de ne pas donner mon RIB et de ce fait, autoriser des prélèvements, à part la box et le mobile (sans engagement bien sur)
Le problème de notre société numérique c’est que nous sommes de moins en moins « Propriétaire » de ce que nous avons sur notre compte en banque classique, donc voici ma façon simple de gérer les entités autoriser à prélever de l’argent sur mon compte.
J’ai donc un compte qui me sert juste à payer les dépenses mensuelles de fonctionnement, sans autorisation de découvert, si un jour on veut me prélever une somme anormale, ça sera refusé !!
J’ai également d’autres comptes, Un sur lequel est déposé mon capital numéraire, sur ce compte, Jamais un RIB à été donné à qui que ce soit. Pour finir j’ ai deux comptes de courtages.
Aujourd’hui bien souvent, on vous prélève, et ce n’est qu’après, une fois votre compte débité qu’il faut réclamer votre propre argent !!!!! On marche sur la tête !!!
Chacun à sa façon de vivre son indépendance, celle ci est la mienne, en tout cas bravo à ceux qui y sont arrivés, courage et bonne chance à ceux qui en sont sur le chemin.
Bonjour Ferdinand,
Je suis curieuse de ton parcours. Ça ne te dérangerais pas de m’en dire plus? Quand as-tu commencé? Dans quel branche? Avais-tu cette objectif dès le départ? Et sans doutes d’autres questions viendront au fur et à mesure de la conversation… Si conversation il y a!
Au plaisir,
Louise.
Bravo pour votre orthographe, peu de gens sont conscients que l’orthographe est important pour réussir dans la vie !
Suis mauvais en orthographe et je suis chef d équipe 3000 euro net!
Pour reprendre le sujet de départ, « vivre sans travailler », en laissant de côté les affres du monde du travail, qui sont un autre débat.
Alors, vivre sans travailler, comment ça marche ?
A moins d’avoir des dispositions pour faire la manche, ça suppose déjà de disposer d’un fixe, RSA, AAH, rente…
On va laisser de côté les rentiers, et prendre l’exemple le plus répandu, celui des minima sociaux de survie. Jusqu’à 40 ans, à moins que vous ne soyez zébré(e) de tatouages, constellé(e) de piercings, la tignasse en dreadlocks et que vous ayez l’habitude de vous habillez de treillis, on cherchera toujours à vous vendre un contrat éjectable, et ça restera en vigueur tant qu’on ne mettra pas en place un revenu de vie. Entre 40 et 50, statu quo. Ou vous êtes bankable, diplômé, docile, vous entrez dans les cadres voulus, ou vous êtes déjà sur la pente de la marge après des années de galère. Dans le premiers cas, le système cherchera à vous sauver. Dans le second, vous serez encore convoqué de loin en loin par Popaul, pour les stats.
Passé 50 ans, on ne vous pourchassera plus pour vous insérer. Vous sortez des écrans radar. Vous disposez de quelque chose entre 450 et 1100 € non imposables, à partir de quoi il va vous falloir organiser le temps qu’il vous reste à vivre.
Pardonnez le cynisme, mais l’argument risque de peser lourd dans la balance, car :
– Vous êtes seul(e) : pour vous loger, exit les grandes villes, leur promesse de vie sociale, de distractions. Les loyers sont hors de portée, même pour un studio.
Restent la campagne et les petites villes.
Les petites villes, des apparts, il y en a plein, abordables, pas toujours tout confort mais en creusant bien, on finit par s’y retrouver. En moyenne, un studio valable, de bonne surface, n’excèdera pas 350€, et vous avez droit à une alloc logement.
Prévoyez un budget véhicule. Sans moyen de vous déplacer, dans notre bonne France profonde, vous allez vite tourner en rond là où personne ne vous attend, et où les autres tournaient aussi en rond avant vous. Ne serait-ce que pour faire vos courses, visiter la région et prétendre à une vie sociale.
On y vient. Selon les régions, vous rencontrerez des mentalités allant de l’avenant à l’exécrable. Ne cherchez pas, c’est culturel. Il y a des régions où on n’est pas sympa. Il y en a d’autres où aller vers l’autre est naturel. C’est selon aussi ce que vous attendez d’une vie sociale, et si vous êtes vous-même sociable. Il existe partout une vie associative, il y a partout des gens intéressants, des gens intéressés, et des gens sans intérêt. Il y a partout des groupes de marcheurs, de cyclistes, d’amateurs de belote, de pétanque ou de makramé. Il y a partout des bistrots et des médiathèques. Mais il n’est pas improbable qu’au bout d’un moment, les dimanches à Vierzon, Romorantin, Gueugnon ou Digne-les-Bains, surtout vers novembre, commencent à vous peser.
Vous préférez la campagne ?
Deux cas de figure. Le village et hors du village.
Vivre dans un village c’est vivre derrière une vitrine. Quoi que vous fassiez, les autres sont au courant. Un village c’est un monde à part, où les règles sont posées, où une distinction sévère s’opère dans les mentalités entre propriétaires et locataires. Ce peut être sympa, selon votre ouverture à la convivialité et le degré de dynamisme du bled en matière de distractions, de vie associative, etc…, et si vous n’en avez rien à f**** d’entendre des vieux c***s et les beaufs du coin, proférer à tout bout de champ, vous concernant, « lui, elle, je l’ai jamais vu(e) travailler ». Vous sortez de chez vous, vous avez la nature, les sentiers, les grands espaces… qui ont beau être grands mais ils ne sont pas pour autant illimités. Et puis il y a l’hiver. Ou l’été, qui peut être extrêmement pesant lorsque vous avez envie de faire trempette et qu’il n’y a rien, et que pour seule perspective d’évasion, il vous reste la fête patronale. Là aussi, prévoyez un budget véhicule. Sans ça, vous êtes condamné(e) à tourner en rond pour, au printemps suivant, recru(e) d’isolement, devoir déménager.
Hors du village : c’est pour ainsi dire une vie d’ermite, il faut être taillé pour ça, se sentir bien avec soi-même, être en bonne santé, n’avoir pas une propension à l’ennui, aimer travailler la terre, se faire un potager, couper son bois, écrire, lire, peindre, disposer d’un bon congel et d’une voiture fiable. Sans ça, l’expérience va vite tourner court.
Tout ce qui précède, c’est dans le cas où vous êtes seul(e).
Si vous êtes en couple ou en famille, ça change la donne à tous les niveaux. Vous restez dans le champ d’une relative normalité et vous n’allez pas avoir le souci, majeur quand on est seul embarqué dans ce genre de vie, d’avoir à trouver quelqu’un avec qui communiquer. Vous serez homme ou femme au foyer, deux revenus au lieu d’un tenant de l’aumône et en principe, une solidarité sécurisante, une stabilité acquise qui, quand vous êtes seul(e), est à construire pièce par pièce.
On résume : une fois résolue la question du logement, celle de la solitude risque de se poser. Bien sûr, c’est au cas par cas, mais prenez garde à ne pas négliger cet aspect. Ne vit pas en autarcie qui veut, assurer sa propre survie, aux plans physique et psychologique, est un job à plein temps, sans gros moyens et paumé(e) dans une ville où l’on vit par seule commodité, si on ne réussit pas à s’y créer une vie sociale, la marginalité guette, et passé un certain âge, l’emprise de la solitude va vous faire courir un vrai risque sanitaire.
C’est le paradoxe de la liberté. On dispose de son temps, mais si on n’arrive pas pas à faire quelque chose de ce temps dont on dispose, parce qu’on n’en a pas forcément les moyens ou parce qu’on ne se trouve pas dans un environnement où on se sent à l’aise, les minutes vont filer comme du plomb et chaque journée va se dérouler identique à la précédente. Et là on aura tout faux.
Dernière possibilité, réservée à quelques rares élus : le nomadisme. Comme la vie solitaire à la campagne, il faut être taillé pour et là encore, ne pas craindre la solitude.
@Marcel l’anar
Bonjour c’est une très bonne analyse et me retrouve dans certains points que vous évoquez. Merci à vous
bonsoir,
bien vu !
d’un naturel avenant, très serviable, ouverte, souriante…. je galère depuis une dizaine d’années dans le sud ouest avec des intéressés inintéressants, dans un village… où j’ai le don d’ubiquité (oui j’ai fait des trucs dont je suis même pas au courant ha ha entre autres ouvrir un atelier de couture????????????) je dis pas ça parce que je suis bretonne mais y a pas à dire vrai différence nord/sud. quel dommage
j’ai ri , réfléchi ce texte m’interpelle
Cher eric, tu n, es pas du tout psychotique, ou malade, contrairement a ce que t, a raconte le psychiatre, tu y vois clair.l, hopital psychiatrique est une prison, ou l, on enferme les gens dans une camisole chimique, pour que tu ne puisses pas fonctionner, et ou ieurs medicaments te conduisent au suicide. Le but de ces gens est de te faire douter de toi. Balances les, ils sont en train de te rendre fou, parce qu, ils vivent de toi, et c, est a titre de control mental. Les psychiatres sont tous fous et des nazis. A eviter a tous prix. Ils servent le systeme, en jouant aux bienveillants, mais ils ne le sont pas.ils refusent la rebellion, et si tu penses differemment tu es considere, comme un empecheur de tourner en rond, un danger. Le systeme actuel prefere tout detruire que de se remettre en question, et changer ses methodes de chaos organise. Tu peux t, en sortir, mais cela te demandera, beaucoup de volonte, du support par des gens qui t.aimentet de croire en toi meme. Demeure un libre penseur.c, est ta force et balances le psychiatre. Effectivement, tu n, es pas un robot.
Cet article a de très mauvaises bases, un très mauvais titre.
Ne pas travailler dans le salariat, et assurer son auto-subsistance (potager), c’est TRAVAILLER!!!!
Nos ancêtres à 99% n’était pas dans un système de salariat, et travaillaient la terre pour nourrir leur famille. Ils ne travaillaient pas? N’importe quoi! C’est pas un truc révolutionnaire, ou plutôt si, mais une révolution vers la sagesse d’autrefois, avant le salariat comme modèle économique obligatoire.
L’article ne parle pas des trocs, SEL avec échange de compétence, et potager en permaculture pour accéder à l’autonomie. Vous devriez proposer quelques exemples, oui on sait qu’il faut réfléchir, réduire les dépenses, ça tombe sous le sens, mais les voies possibles ne sont pas abordées. Moi j’ai un petit bout de potager, et j’étudie la possibilité d’être un maximum autonome, plantes médicinales, légumes et « super-aliments ».
excellent remarque…
Une brève analyse de la mentalité sociétaire m’a amené à cette conclusion, il est honteux de ne pas travailler, tu dois culpabiliser quand tu ne travaille pas et que tu touches des aides voilà la mentalité sociétaire. Mais je vous dirais à mon avis dois t’on vraiment culpabiliser d’être aidé, moi je ne l’ai jamais été et je me bats tous les jours pour m’en sortir pour aucun résultat et oui car le monde du travail pour lequel on se bat nous rend malade vous me direz pourquoi!je vous dirai qu’il est emploie d’hypocrisie et d’injustice que le travailleur dois gérer au quotidien sans broncher surtout et quand il n’en peut plus de cette ambiance malsaine et invivable et qu’il se met en arrêt de travail ou démissionne on lui dit c’est pas bien, il faut travailler dans ces conditions excécrables,il faut supporter tu dois faire avec tu es né pour ça et tu mourras peut être à cause de ça mais ça c’est un sujet Taboo, il ne faut surtout pas en parler voyons!donc en conclusion si tu en a marre de ton travail arrête toi et analyse ta situation et ne culpabilise pas.
Anonymous, c’est exactement ça. quelle tristesse ce monde du travail moi en tout cas ça me dépite complètement,
Bonjour je me retrouve dans ces témoignages de personnes qui ne se plaisent pas au travail alors moi j ai décidé de travailler pour moi même dans un milieu ou j ai l impression de ne pas travailler,je fais du bien au gens et je donne la possibilité au gens de faire comme moi je rencontre des personnes formidables je m’éclate et en plus avec une évolution rapide de carrière
oui je voudrais bien travailler pour moi même aussi mais je ne peux pas financièrement parlant…. je ne supporte pas de travailler pour les gens, heureusement que j’ai occupé des postes autonomes grâce à DIEU sur ce coup là j’ai été chanceuse. j’ai quitté une fois un CDI car je me faisais commander l’expérience a été amère pour moi je n’ai pas supporté la situation, disputes etc et je suis partie d’un commun accord
Bonjour sabrina ce que tu fais m a l air intéressant peux tu m en dire plus stp démarches etc merci beaucoup
Oui c’est tout à fait possible! Mais il faut le VOULOIR et S’Y PREPRARER, avoir un plan écrit, daté, chiffré dans la poche, un GPS dans la tête. Pour atteindre la « Liberté Financière », il est indispensable de créer votre propre système (d’abord parallèle à votre job) qui génèrera DE PLUS EN PLUS de REVENUS dits « ‘PASSIFS » (indépendants de votre temps de présence). Le secret de la LIBERTE FINANCIERE est d’arriver à SEPARER LE TEMPS ET L’ARGENT, de les apprivoiser et de les respecter afin d’en faire 2 alliés.
Le salariat est un piège à con, un piège à pauvre, où vous réalisez les objectifs des autres et qui vous utilise (contre un peu de monnaie!), alors autant utiliser 10 à 50% de cette monnaie et créer « votre système » à côté. Dans 15 ans (quand vous serez viré comme tout le monde), vous serez TOTALEMENT LIBRE PENDANT 40 ANS, comme moi. 🙂
Libérée du piège à con je cherche encore ce fameux système de revenus passifs. A part des investissements immobiliers, quels sont les alternatives? Je ne veux absolument plus retourner dans la foire d’empoigne!
Bonjour,
tu travailles dans quel domaine, parce que moi j’en ai marre de me battre pour trouver du boulot et en plus à 50/ 100 kms de chez moi…
Bonjour,
Je viens apporter ma contribution auprès de vous car ici il y a de la compréhension et aucun jugement.
La mémoire collective pense que travailler est une obligation d ailleurs devant des inconnus la première question est souvent tu fais quoi dans la vie. Sous entendu, tu travailles dans quoi, ainsi je peux savoir combien tu gagnes donc quel genre de vie mènes tu etc…
Nous sommes constamment jugé, de toute façon quoique tu fasses ou ne fasses pas tu seras toujours jugé, critiqué.
Contrairement à la plupart ici j ai eu la chance de connaître le travail parfait, en tant que responsable de production dans un atelier familial. Libre de mes horaires, rendu qualitative plutôt que quantitative, bon salaire, peu de collègues et tous vraiment sympa cultivé etc… Le malheur est tombé lorsque la boite a fermé. Je me suis retrouvée licencié économique. J ai profité à fond de ma première année de chômage, si la plupart des gens pensent qu on s ennnuie, je peux démontrer le contraire. J ai bouquiné à n en plus finir, me suis remise à la peinture, exploré les musées, redecouvert le sport, bref que de beaux moments. La seconde année, la boule au ventre de ne pas retrouver un travail à la fin de mes indemnités m a fait prendre des risques dans des postes que j ai accepté et qui ne me correspondaient pas. J ai découvert le milieu de l entreprise et son lot de jalousie (travailler qu avec des femmes conduit au burnout)
A tel point que si je n acceptais la baisse de salaire proposé à cause d histoires de jalousie, il me fallait demissioner et c est ce que j ai fais. Ensuite mauvaise expérience dans une autre qui a su profiter de la détresse d une chômeuse ou je travaillais même chez moi jusqu à des heures pas possible avec des appels du chef même le soir tard en week end.
Le travail était intéressant mais c était des horaires d esclaves pour obtenir un salaire à peine correct. J ai mis 2 semaines pour m’en remettre.
Ensuite encore une mauvaise expérience d une societe très maligne qui recrute via l’intérim car le futur esclave pense que le salaire est correcte mais en réalité il dépasse à peine le smic car bien sûr cette même societe vous dit ensuite en pleurant que l agence lui coûte trop cher donc il veut bien vous garder mais avec les primes en moins. Je suis restée 2j.
Il faut un moral d acier pour tenir debout et quand on voit ce qui arrive au gouvernement dans les 5 ans à venir, rien de rassurant. Cependant il y a des choses que j aime fabriquer dans la création et je suis prête à gagner moins, à dépenser moins, prete pour la décroissance aussi. Car entre devenir esclave d un patron, condamnée à être humiliée pour gagner un soi disant confort, ou celui de posséder moins mais de gagner en liberté et en bien être psychologique. Je crois que mon choix devient de plus en plus évident au fil du temps. De toute façon j ai fais le choix de ne pas avoir d enfants donc un stress pour l avenir en moins.
Je vous envoie à tous pleins de positivités,d’ espoirs de trouver ce qui vous rends heureux, voyez, nous ne sommes pas seuls.
On a besoin de plus d’humanismes…
@ Mélusine79
En plus de ce que j’ai décrit un peu plus bas en répondant à Nani, je tiens à vous dire que pour ma part également j’ai eu le même problème à travailler avec des femmes. J’ai remarqué que tant que je travaillais seule, ça allait beaucoup mieux, et dès lors que j’ai dû travailler en open-space avec les femmes qui composaient l’équipe dans laquelle je travaillais, ça a été la dégringolade. J’ai su alors que je n’étais pas faite pour travailler en équipe, encore moins avec des femmes. J’ai été traumatisée par les nombreuses « histoires » au sein de l’équipe, histoires sans fin, et critiques blessantes. J’avais fini par m’isoler le maximum possible des autres, afin qu’on me fiche la paix et pour m’éviter d’entendre encore les commentaires des unes et des autres sur le dos des absentes, des patrons, etc. Je me sentais étouffer. J’ai vite été traitée de « sauvage », de « pas corporate », à force de me mettre de côté et de m’isoler des autres. Mais je vivais leur présence comme un calvaire, leur regard intrusif, leurs commentaires abusifs… Je n’aspirais qu’à une chose, m’en éloigner le plus possible, tout en sachant qu’au beau milieu d’un open-space, ça s’avère un peu compliqué.
Je hais désormais le mot « corporate », bizarrement. Et le mot « équipe ». J’ai développé certaines « allergies » à l’être humain, je crois bien.
Après mon départ de cette société, je me sens mille fois mieux, comme libérée d’un poids énorme, libérée des contraintes, libérée de ce travail que je n’aimais déjà pas, libérée de l’obligation de voir les collègues, de devoir vivre avec eux toute la journée, libérée des transports en commun qui me rendaient malade et stressée en permanence, dû aux nombreux incidents quotidiens qui causaient d’innombrables retards, libérée de l’obligation de passer 3h et souvent plus par jour dans les RER et métro…
Bref, libérée de tout, quoi. Malheureusement, je sais que ce n’est pas définitif et que je vais devoir retrouver un travail, retrouver cette « normalité », avoir des collègues de nouveau, faire semblant, sourire bêtement aux gens pour rentrer dans le moule, reprendre sans doute les transports encore pendant des heures, faire un truc qui me plaît pas au quotidien, pendant que les patrons s’enrichissent les poches, pendant que moi je survis pour répondre à la normalité du système afin qu’on me fiche la paix (et aussi parce que hélas je ne suis pas fortunée et je n’ai pas de quoi vivre sans travailler, ou en faisant juste ce que j’aime, car ça ne rapporte pas).
Bref, ça fait du bien d’en parler, même si je vois bien que la plupart des gens ne le comprennent pas et ne comprendront sans doute jamais.
En tout cas merci pour votre témoignage, et courage à vous également. Plein de bonnes choses et j’espère que vos projets pourront aboutir dans le bon sens.
Et si vous trouvez votre voie, faites moi signe, ça me donnera peut-être des idées, car je cherche ma voie, mais je ne la trouve pas. 😉
Bonjour et merci de votre commentaire. Juste une remarque, pouvez-vous nous expliquer ce propos : « problème à travailler avec des femmes. » Par quelle étude est-ce prouvé que travailler avec des femmes pose problème ? Avez-vous mené une recherche approfondie à ce sujet ? Si ce n’est pas le cas, nous tenons simplement à vous dire à quel point il est regrettable de porter ce genre de jugement sans fondement qui a un impact désastreux sur l’ensemble des femmes (dont vous faites partie n’est-ce pas ?). Ces vieilles croyances sexistes sont à bannir. Et nous les bannirons de toutpourchanger.com car nous refusons tout propos sexiste. Nous vous invitons à prendre connaissance des travaux menés sur les stéréotypes que nous véhiculons les uns sur les autres, et en particulier sur les femmes. Cela pourra peut-être faire évoluer vos représentations. Tout le monde a à y gagner. Vous la première. L’ensemble des femmes aussi. Merci à vous.
Ce ne sont pas des croyances,
dans mon travail aussi, celles qui bossent à l’administratif en voient de toutes les couleurs, et le Directeur en profite allègrement pour mieux régner. Moi, je suis à un poste indépendant et c’est toujours ça de pris.
je suis tout à fait d’accord. travailler avec des femmes n’est pas plus problématique que de travailler avec des hommes . effectivement de tels propos mettent les gens dans des cases. Le tout est de savoir travailler en bonne intelligence avec les uns et les autres. Dans mon équipe il y a beaucoup de femmes et meme si tout n’est pas parfait et si chacune d’entre nous a ses défauts , nous savons faire la par des choses et savons endosser nos propres responsabilités. il en va de même des relations de travail avec les hommes.
Je suis tout à fait d’accord avec vous et je vous remercie d’etre intervenue!
Moi j’ai travaille 15 ans en « open space » avec des femmes que des femmes et vraiment j’en garde un excellent souvenir!!
Je travaille à mon compte aujourd’hui car il etait difficile pour moi de trouver un emploi j’ai donc invente mon travail.
Je pense qu’il est temps que chacun d’entre nous essaie dans la mesure du possible de se responsabiliser de se trouver et de s’epanouir..
Bonjour et merci de votre commentaire. Juste une remarque, pouvez-vous nous expliquer ce propos : « travailler qu avec des femmes conduit au burnout ». Par quelle étude est-ce prouvé ? Avez-vous mené une recherche approfondie à ce sujet ? Si ce n’est pas le cas, nous tenons simplement à vous dire à quel point il est regrettable de porter ce genre de jugement sans fondement qui a un impact désastreux sur l’ensemble des femmes (dont vous faites partie n’est-ce pas ?). Ces vieilles croyances sexistes sont à bannir. Et nous les bannirons de toutpourchanger.com car nous refusons tout propos sexiste. Nous vous invitons à prendre connaissance des travaux menés sur les stéréotypes que nous véhiculons les uns sur les autres, et en particulier sur les femmes. Cela pourra peut-être faire évoluer vos représentations. Tout le monde a à y gagner. Vous la première. L’ensemble des femmes aussi. Merci à vous.
Bonjour,
j’ai changé de vie il y a maintenant 3 ans pour écrire, écrire des enquêtes participatives.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le changement est une étape certes importante mais aussi très longue… On pense qu’on quitte son job, qu ec’est un mauvais moment à passer et qu’après hop c’est le paradis… Le changement peut s’installer, prendre plus de temps que prévu… Des événements aussi peuvent accélérer le procesus. Pour moi par exemple ça été la maladie, mais à tous moments on peut s’interroger sur le sens de sa vie.
Waouh, d’habitude ce que j’écris est beaucoup plus léger, mais j’avoue que ça résonne étrangement ces histoires de changement
Bonjour,
Ecrire des enquetes participatives?
Vous recevez les resultats de questionnaire et vous les traitez c’est ça ?
bonsoir,
j’ai 41 ans, j’ai travaillé en cdi cdd et interim, à chaque fois que je commence un job, au bout du 2nd mois, je me lasse du travail répétitif qui me saoule, du rendement, de l’épuisement, et je me demande ce que je fou là, que c’est pas ma place,.J essaye de travailler, de supporter, la mauvaise ambiance etc pour faire comme les autres : parce que sans travail on est un looser pour cette société, MAIS J Y ARRIVE PAS et je fini par partir, et le pire, c’est les gens au travail, ils vous manquent de respect alors que vous, vous les respectez, ils attendent avec impatiente que vous fassiez une erreur pour qu’enfin il puissent vous le dire et vous humilier ça les fait jouir, on est convoqué au bureau parce qu’on a pas bien fait le truc, on se croirait à la maternelle, il faut être parfait, mais qu’ils aillent tous se faire foutre !!!! ILS ME DEGOUTENT, le milieu du travail me dégoûte, tous ces cons , qui parlent pour rien dire, tous ces hypocrites , je préfère de loin les clochards franchement.je suis bientôt en ASS et je m’en fou de galérer mais je refuse de faire parti de ces gens, la société vraiment pour moi elle est pourrie, les gens sont des moutons, on dirait qu’ils sont hypnotisés, ils se laissent faire, ils se rebellent pas, ils acceptent qu’on les traite comme de la merde, et je comprends pas comment ils font pour vivre comme ça, ils s’accrochent à leur travail et dès qu’une nouvelle arrive, ils sont tous en panique, ils ont peur qu’elle bosse mieux qu’eux, qu’on l’apprécie mieux qu’eux, jalousie, etc
heureusement que j arrête à chaque fois, parce que sinon j’aurais fini par péter un câble et j’ai pas envie de finir en HP pour un travail de merde
Bonjour,
Je me presente je m appelle Alex 39 ans j habite a annemasse Haute-savoie 74 j ai lu votre message vous avez entièrement raison les patrons veulent s en fouttre plein les poches en nous prenant pour des esclaves moi mème je travaille en tant qu agent de proprete ils en veulent toujours plus toujours dernière nous a gueuler alors que eux sont au café du coin à prendre du bon temps y en a marre de cette situation vive l »are ( l aide au retour à l emploi) vive le pôle emploi moi même au chômage depuis presque 2 ans je souffle à fond il faut que le monde du travail change qu il arrête de nous prendre pour de la marchandise et des débiles mentaux de 1 ère âge bon courage à vous vive l ass c est clair je n ais que 39 ans mais ça arrivera vite
@ nani:
Je vous comprends aisément lorsque je lis vos paroles. J’ai l’impression, à certains passages, de me lire.
J’ai 34 ans, mais mes 12 ans dans la dernière boîte dans laquelle j’ai bossé m’ont complètement vidée, psychologiquement. Je ne suis pas passée loin d’un burn-out auquel j’ai échappé de peu. J’ai tenu malgré tout le maximum possible car j’avais peur de m’en aller et de ce qu’il allait y avoir derrière. Je n’avais pas le courage de tout laisser tomber, ma peur était plus forte que le reste. Mes collègues étaient hypocrites, une fausse « bonne » ambiance caractérisée surtout par les coups dans le dos, et j’en passe. Et à la moindre erreur ou au moindre oubli, j’avais l’impression d’avoir tué quelqu’un, ou que c’était gravissime.
J’en suis sortie traumatisée de ce monde du travail, et j’ai très peur à l’idée de devoir retourner travailler.
J’essaie de me reconvertir professionnellement et trouver une voie qui se rapproche davantage de ce que j’aime; car quitte à travailler à plein temps, 5 jours par semaine, jusqu’à la retraite, autant faire quelque chose qui me plaise et qui ne me rende pas malade tous les dimanches à l’idée de retourner bosser, qui ne me cause pas des crises d’angoisse le soir, ou lorsque je suis en congés, et qui ne me cause pas de dépression lorsque je rentre après 2 ou 3 semaines de congés…
Mais j’avoue qu’à l’heure qu’il est, je suis très loin de vouloir travailler de nouveau. Je trouve le système actuel pourri et entravé, et je n’ai plus envie de travailler en équipe. Les gens m’ont blessée et dégoûtée pour longtemps. J’ai eu la confirmation que je suis davantage faite pour travailler en solo.
Mais ça risque d’être un peu compliqué, vu mon profil actuel, de pouvoir bosser en solo.
A moins de trouver une reconversion professionnelle qui corresponde à ces critères et qui soit faisable au niveau des formations professionnelles existantes vu mon profil, ça s’annonce compliqué et ça me rend malade d’avance.
J’ai toujours vu le monde du travail comme une contrainte et une punition, mais maintenant c’est pire.
Donc je ne peux pas critiquer les gens qui osent dire qu’ils n’en peuvent plus, même si dans « la société », ça ne se fait pas de se plaindre, par respect pour ceux qui n’ont pas de travail, etc etc. Certains sujets sont épineux, mais ça fait du bien d’en parler.
Courage à toutes les personnes qui sont dans ce cas.
Nani Bravo pour tout ce que tu viens de dire…. la réalité du monde du travail j’ai quitté plusieurs postes, avec des ambiances abjectes et affreuses ou dès que je n’aime pas le travail en lui même, je ne me gène pas.. tout comme moi, tu fais partie des gens humanistes, des gens vrais, ça me fait plaisir de lire ton commentaire. Je suis comme toi, je ne supporte pas les ambiances hypocrites et je n’ai jamais fait partie des gens comme cela si bien que certains me détestaient car je ne rentrais pas dans leur groupe ou leur cancan de bureau… je hais tout ça…
nani, mille merci pour ton temoignage du monde du travail et de l etre humain tout comme toi et ceux de puis 25 ans je me nourrir de cdd ou d interim aujourd hui je dis STOP a tout ses faux semblant qui ne me correspond plus cela fais 4 mois que mon contract a pris fin et franchement je ne veux plus avoir a faire a l etre HUMAIN qui eux en effet ne sont la que pour nous nuire, et surtout devoir supporter les transport en commun qui me rendais completement dingue. desormais je n attends plus rien, a part une tranquilité d esprit et physique
J’ai bien lu vos commentaires et ça fait chaud au cœur de pouvoir partager des expériences similaires.
Pour ma part j’ai 25 ans et depuis la fin de mes études je n’ai pas trouvé d’autres moyens que de travailler 6 mois durant l’année en consommant les allocations chômage le reste du temps pour éviter un trop grand surplus de stress. L’idée m’a paru il y a 3 ans quand j’ai compris qu’avec un BAC+3 et 3 ans d’expérience payé au SMIC, je n’irai pas plus loin qu’une vie corvéable à merci tout en participant à un système de compétition et d’endettement. J’ai d’ailleurs fait le rapport entre mon épargne et mes impôts lorsque je travaillais avec mes périodes de chômage, et j’ai calculé à peu de choses près un revenu identique. Autrement dit, je gagne autant en travaillant la moitié de l’année que toute l’année, certes les perspectives de carrière en entreprise en moins.
Je ne suis pas non plus pour ne pas exercer d’activité car avoir un métier c’est pouvoir aussi se donner les moyens et une utilité ne serait ce que par la production qu’on peut faire de ses mains et de son cerveau. Quand j’ai vu qu’en dehors de mon métier je ne savais ni faire de travaux chez moi, ni cultiver de terrain et encore moins construire une maison ou réparer ma voiture, j’ai sérieusement envisagé une reconversion et un apprentissage des choses essentielles d’antan.
Car le problème de nos métiers d’aujourd’hui, c’est qu’il ne laisse pas le temps à l’individu d’apprendre à devenir autonome que ce soit au travail ou en dehors, il faut être opérationnel et rentable directement, spécialisé dans un domaine qui ne permet pas d’envisager d’autres perspectives que ce soit professionnellement ou familialement.
Pire on demande des diplômes de plus en plus élevés pour des opérations élémentaires et les reconversions nécessite d’autant plus d’études et d’argent. Donc exercer plusieurs activités dans plusieurs domaines (agriculture, bâtiment, mécanique ou social) comme le faisait nos grands parents devient un parcours du combattant pour qui n’a pas eu la chance d’avoir des proches pour les former.
Résultat, on voit des ingénieurs qui ne touchent pas une bille pour réparer un piston ou un circuit électrique, comme on voit trop peu de personne recoudre un pantalon ou réparer sa chaine à défaut d’en racheter une autre. La faute aux formations, à la logique consumériste et à la défaillance programmable.
Je n’ai pas de solution miracle à vous apporter, je peux seulement vous dire qu’à défaut de travailler, n’oubliez surtout pas d’apprendre, que ce soit par le biais d’un livre ou concrètement par la pratique. Car tant que l’on dépend de tout, l’on est sensiblement prisonnier au même titre qu’un salarié et un esclave potentiel. Même si cela reste très difficile de trouver quelqu’un sachant partager son expérience il ne faut pas désespérer.
A bon entendeur, à tout les chômeurs, les célibataires, les travailleurs en mal de santé ou les familles divorcées, que la paix et le salut se fasse sur vous.
Merci pour ton commentaire , apprendre sans arrêt a travers formations ou nouveau job c’est exactement ce qui me fait tenir ds le monde du travail actuel.
Sauf que ça n’améliore pas vraiment ma condition financière pour l’instant , et je m’y ennuie à chaque fois. c’est un peu l’impasse , c’est bien simple ce qui m’intéresse ne rapporte pas forcément d’argent , où est en mal de poste à pourvoir.
Soit , j’ai décidé à la rentrée de commencer une licence en histoire de l’art archéologie a distance car ça m’intéresse et même si à l’issue de la licence je ne trouve aucun travail. J’aurai bougé au moins et pas renoncé. Car je ne veux pas d’un métier de commerciale , de banques , d’assurance , tout ces jobs sont pour moi d’une tristesse !!!
Bref , J’ai 30 ans et pas la moindre idée de ce qui pourrait à la fois me passionner et me faire réellement gagner ma vie. Et j’ai pas envie de me résigner pour autant.
En tout cas lire que bcp pensent comme moi me réconforte quelque part et c’est là le seul but de mon témoignage , faire de même pour les autres qui se retrouveraient dans la même impasse.
Courage à tous, ne renoncez pas à ce que vous êtes car on a besoin de vous.
Bonjour,
J’ai 1 fils de 23 ans qui vit depuis environ 3 ans en chambre universitaire. Après des études brillantes en gestion/finances – Trophées d’Excellence aux 2 licences et validation du master1 cette année avec un 15 de moyenne (communication/marketing). Après la fin de son Master 1, obligation de faire une Césure (stage) qu’il a refusée. N’en pouvait plus de ses études. Au mois de juillet 2017, a fait un burn-out et a été hospitalisé. Ils lui ont fait passer un QI alors qu’il était vraiment au plus bas. Bilan : Haut potentiel avec QI à 150. Pour l’instant, arrêt des études et s’il ne les continue pas (même dans un autre domaine), il n’aura plus de chambre en juin 2017 et ne veux pas venir vivre à la maison. Très indépendant avec un fichu caractère++. Il ne souhaite plus travailler (cf.com.ci-dessus) et veut s’assumer seul. Beaucoup de ses « amis » l’ont laissé tomber (d’après un de ses amis qui est resté proche de lui, ils l’ont trahi et il m’a dit que mon fils avait « beaucoup morflé » ?). Mais que faire ? Mon fils m’a dit que ses compétences n’étaient pas « monneyables ». Je ne sais pas du tout ce qu’il compte faire car il est très secret mais il sait se débrouiller et je sens qu’il a envie de s’en sortir. Depuis une 15 de jours, il a quitté l’hôpital et il me dit très souvent qu’il se sent incompris (même à l’hôpital alors qu’il apprécie le personnel). Il est d’un caractère curieux, sociable et aime partager. J’espère que c’est juste une « mauvaise passe » dû aussi à ses capacités intellectuelles HP avec une sensibilité exacerbée qui le rendent vulnérable. J’aimerai connaitre une ou des associations avec des personnes qui connaissent ces « profils atypiques » afin de l’aider à mieux se connaitre, pour avancer vers la/les directions qui lui correspondent le mieux et surtout le soulager de cette souffrance psychologique et ce mal-être permanent. Merci de m’avoir lue. J’espère avoir le plaisir de vous lire et si aide il y a, je n’en serais que plus heureuse pour lui. Bien à vous. Sa maman -Brigitte.
P.S. : alors qu’il n’était qu’en CP, il m’avait demandé le livre « Les Droits de l’Enfant » ! Déjà, pas vraiment dans les clous. Et, d’après ce que m’avait d’ailleurs dit, bien auparavant, un pédiatre : … »votre fils ne sera pas un mouton. » J’ai bien compris depuis !!
Bonjour,
Le cas de votre fils est assez atypique en effet, dans le sens où faire un burn-out avant d’être entré dans la vie pro, c’est rare. Cela dit, la façon dont vous le décrivez me fait penser à une personne Asperger. Il ne s’agit en aucun cas un diagnostic de ma part, juste une hypothèse. Si vous voulez creuser cette piste, en tapant « association asperger » dans un moteur de recherche, vous aurez un bon point de départ pour trouver des personnes susceptibles de vous renseigner.
Vous avez mentionné son Q.I., qui est élevé (la moyenne est 100, ce qui représente une grande partie de la population), mais cela ne recouvre que la mesure des intelligences logico-mathématique, verbale et spatiale. Il existe six ou sept autres types d’intelligence, toutes aussi valables les unes que les autres (voir les travaux d’Howard Gardner à ce sujet). Tout ça pour dire que votre fils est certainement capable de réaliser bien des choses, mais que ce serait réducteur voire mutilant de l’enfermer dans cette dimension de son existence. Il est peut-être hypersensible, peut-être a-t-il l’impression de vivre dans un monde en décalage total avec ses aspirations ?
Son burn-out lui a sans doute servi de révélateur et maintenant il doit trouver sa voie, ce dans quoi il va se sentir utile et contribuer à une amélioration du monde qui l’entoure, en tous cas c’est comme ça que je le perçois.
S’il ne sait pas encore vers quoi se tourner, s’il ne sait pas ce qu’il veut faire, au moins il peut réfléchir à ce qu’il ne veut/peut surtout pas faire et à ce qu’il veut/peut éventuellement faire. Il a peut-être besoin de recul, mais aussi d’être écouté et entendu et là vous pouvez l’aider, à tout le moins lui proposer votre aide.
Voilà une réaction à chaud, à la lecture de votre message. J’espère que vous aurez pu trouver un peu d’aide et de réconfort dans cette réponse …
En vous souhaitant le meilleur
Sophie
tout est vanité , meme le travail , n’en déplaise à tout nos patrons et capitaines d’industries , sur son lit de mort un homme ne dira pas » ha je n’en serais pas arrivé là si j’avais travaillé …!
Les plus riches (qui ont beaucoup travaillé …?!) ne vivent pas beaucoup plus longtemps que les autres.
La grande faucheuse ne fait pas dans le détail …
t’as raison mon styl
Bonjour, c’est encore moi, le marchand ambulant pour vous dire ce que j’ai oublier de vous dire :
– concernant mon statut pro : je suis auto entrepreneur (0 cotisations si 0 chiffres d’affaire)
– concernant mon investissement : une vieille camionnette d’occasion acheté 2000 euros ( déjà 4 ans sans problèmes) + deux parasol de marchés d’occasion acheté 400 euros + des tables de marchés pour 200 euros + stock marchandise d’environ 3000 euros ( valeur minimum revente 6000 euros)
TOTAL investissement : 5600 euros
beaucoup de gens pensent que les marchands ambulant ne gagnent pas un bon salaire, moi je vous dit que c’est comme dans tous les domaines, il y à des bons et des nuls , donc des marchands qui gagnent très très bien et les autres ! Moi, je pourrais gagné beaucoup plus, mais l’argent n’est pas mon but car j’aime avoir beaucoup de temps libre et profité de mes loisirs ce qui me permet aussi d’avoir envie de travaillé, oui, j’ai souvent envie de travaillé et donc à ce moment là j’adore mon travail et prend énormément de plaisir à le faire surement par ce que je suis en forme (pas fatigué) sans stress et que le contacte avec les clients et les autres commercants commencent à me manqué .
jamais lorsque je travaillais pour une entreprise je n’ai ressenti cela, c’était plutot l’inverse car trop de stress, rendement, pression des chefs , fatigue, salaire dévalorisant , etc…! Depuis 7 ans que je suis marchand ambulant , je suis heureux quand je vais travaillé et content de ne pas travaillé . Je ne vais pas vous dire mon chiffre d’affaire, mais sachez que un bon marché d’été peu me rapporter 200 à 300 euros net de salaire pour 6 heures de travail le matin de 7 h à 13 h et jusqu’à 600 euros de salaire en braderie d’été pour 10 heures de travail le dimanche de 8h à 18h . Mon chiffre d’affaire record est de 1300 euros pour une braderie de printemps et le pire une quarantaine d’euros sur un petit marché en hiver par temps de pluie !
Le marché m’a sortie de l’esclavage moderne, des problèmes de chaumage, des contrats précaire et des salaires de misère et bien sur aussi et surtout de ma souffrance au travail .
Vive les marchés !!!
Salut monstyl tu as bien raison…je suis en recherche d’activité, ça serait possible d’échanger pour me donner des conseils sur comment travailler sur un marché? Merci d’avance
Bonjour Monstyl! Je suis en plein questionnement quant à mon avenir. Et votre intervention me parle beaucoup. J’aurai aimé pouvoir en échanger en privé. Est-ce possible?
Bonjour, j’ai 41 ans et j’ai trouver une solution pour travaillé quand j’en ai envie et surtout quand j’en ai besoin ni plus ni moins. Mon astuce : je vend des produits non périssable sur les marchés. Pourquoi du non périssable ( fruits légumes viandes alimentation etc..) : simplement parce que vendre du périssable demande trop de travail et ne permet donc pas de travaillé quand je veux et surtout juste quand j’ai besoin d’argent . Je vend de tout, cela dépend des opportunités d’achat, j’ai vendu des chaussures, des bijoux, du maquillage, tout ce vend si le prix de vente est plus bas que la concurrence . Pour ce faire, il faut savoir bien acheter. J’achete donc des lots fin de série ou issue de liquidation que je puisse revendre à coef 2 minimum. Je déclare presque rien de mes ventes (je suis payé uniquement en espèce par mes clients), ceci permet d’obtenir le RSA et toutes aides sociale. Et je n’ai aucun scrupule à faire cela puisque les patrons des grande sociétés et meme des hommes politique fraude le fisc pour des millions, moi c’est des centaines d’euros seulement et ceci me permet de vendre moins cher plus que d’en profité moi meme ! Conclusion : je vais travaillé quand j’ai envie et surtout quand j’ai besoin d’argent et je suis heureux et content de ne pas enrichir un patron déjà bien riche qui me paierait au lance pierre et aussi de ne pas etre obligé de supporté tous ses petits chefs et des conditions de travail épouvantables pour un salaire de misère ! Je travail seul et quand je veux et pour un bon salaire ! Oui, pour un bon salaire car en moyenne sur l’année, je travail 3 jours par semaines (mes 2 meilleurs marchés) + quelques braderies et marchés au puce le dimanche (les meilleurs) et je peu vous dire que pour m’embauché aujourd’hui je n’accepterais plus jamais de travailler pour un patron meme pour un salaire de 50000 euros net/ an ! J’ai un taux horaire annuel moyen de 28 euros NET ! Allez tous vous faire foutre les patrons radin et profiteur !!!!
Les aides tu devrais les rembourser, au moins ma part que je te payes
Quand on se retrouve mère célibataire et qu’on peine a obtenir le rsa qui finalement nous évite d’être jetées à la rue, c’est difficile de lire qu’il y en a qui se le mette dans la poche en plus de ce qu’ils gagnent.
Le rsa c’est une chance pour certains de finir sdf, pas de l’argent de poche pour les feignants. Votre mode de pensée est d’un égoisme sans borne. L’argent que vous volez n’est pas celui des grands patrons, mais celui des petites gens qui cotisent et celui de ceux qui sont dans la merde et malgré les efforts n’arrivent pas à s’en sortir et à donner à manger correctement à leur enfants.
Vous êtes tout sauf un exemple de réussite de vie.
Mdr. Monstyl tu as parfaitement raison
J’admire ton mode de vie !!!
bonjour, j’ai lu pas mal de vos commentaires et je suis dans le même optique, je ne veux vraiment plus travailler et j’en n’ai marre de ce système société de consommation.
je souhaite partager vos opinions vos conseils car un changement de vie ça se prépare.
A bientôt.
Victor
Bonjour
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Bonjour à tous,
Voilà je vais essayer de faire court et d’allez à l’essentiel. Je pense à peu près tous comme vous, malgrès mon jeune age et j’aimerais simplement discuter et partager avec d’autres personnes pour pourquoi pas créer un projet de vie nous correspondant.
Je vis actuellement dans le pas de calais donc si des personnes de cette région veulent me contacter, qu’elle n’hésite surtout pas ! Ensemble tous est possible !
Laissez vos commentaires, peace !
J’ai eu énormément de plaisir à lire tout ces messages.
J’ai été ronger très tôt par la culpabilité dans ma jeunesse, j’ai mis 20 ans pour m’en remettre, j’ai 35 ans maintenant et ça fait que quelques années que je m’en suis remis, tout seul par moi-même. J’ai fais divers petits boulots durant ma vie, mais si je prends une personne qui a travaillé pendant 20 ans, j’atteins certainement pas 15% de son engagement. J’ai bien sûr eu divers problèmes psychologiques entre-temps qui fait que j’ai eu droit à des allocations d’handicapés. Le problème quand tu travailles pas, tu ne sais pas quoi faire de tes journées, j’ai bien sûr des petits hobbies comme le dessin mais ça ne suffit pas à maintenir une personne, faut sortir, rencontrer des gens, chose qui n’est pas facile à faire dans la rue, j’parle pas des voyages qui est bien différents, enfaite j’ai un problème de communication, pas facile de trouver du monde à qui parler en ce bas monde dans la rue, et évidemment avec le temps on sort de plus en plus du monde du travaille, ce qui fait peur à soi-même de savoir combien de temps je serai capable de vivre dans une société, du coup j’ai une envie de retrouver du travail, bon à mon rythme bien sûr parce que à sinon je pète un câble, chose que j’ai déjà fais une fois dans un entreprise, j’ai pas besoin d’énormément d’argent, je veux juste de quoi vivre avec l’aide du système, il y’en a quand même des aides, il serait vraiment temps que l’aide devienne universelle, il serait vraiment temps d’apprendre à partager et de comprendre que l’homme n’est rien et qu’il n’y a rien sur terre hormis la vie, que ceux qui sont capables de faire avancer les choses, petit à petit, ben qu’ils le fassent, le tout c’est de commencer à alléger la vie de chaque personne, on est pas des machines, plus personne ne veut la guerre, il est temps de bâtir un monde qu’on souhaite, que travaille ceux qui ont envie, que prennent une pause ceux qui en ont besoin parce que travailler toute sa vie, n’apporte pas d’équilibre à l’homme.
Bien à vous.
Je voudrais bien travailler sil vous plait
Bravo à nous tous esprits lucides et avant-gardistes !!! Puissions nous être suivis par le troupeau de consommateurs fous aliénés par une civilisation judéo-chrétienne convertie à l’autel de la cupidité et de l’argent bling bling par les médias détenus par les lobbys industriels qui ont acheté la démocratie ( la droite ET la gauche).
L’être humain a de toute évidence autre chose à faire que naître, travailler comme un esclave pour consommer et alimenter un systèmes de castes présents depuis la nuit des temps.
Le véritable travail est le développement personnel ( ontologique et spirituel et physique). Ce que nous impose la naissance hors de sphères dirigeantes, est un état d’ignorance avancé qui fait que nous reproduisons des générations d’esclaves soumis et conditionnés.
VHEMT est une réponse.
Je boycotte tout ce que je peux, le temps que je peux quitte à paraître, me sentir? marginal. Je suis incorruptible, je n’alimente plus un système autodestructeur. Enfin, j’essaye….
Je me reconnais dans tous ces commentaires.
J’ai 19 ans, je suis boulanger depuis 4 ans.
J’en ai marre de me mettre un réveil tous les matins et être fatiguer du travail en rentrant.
Pourquoi nous éduquons nous pour faire un travail le plus jeune possible toute sa vie à faire la même chose ?
La liberté, on ne l’a plus. On a jamais eu autant de machines productives qu’on se plaint de plus en plus du manque de temps. On a jamais eu autant de moyens de locomotion que voyager et faire le nomade n’est plus possible… Profiter de la vie, découvrir les paysages … Faire de choses simples comme vous dites !
J’ai trouver 2 solutions pour fuire le travail. Le premier, quand j’aurais l’argent l’investissement en immobilier. 3 immeubles et ca fais de quoi vivre simplement.
Le 2eme (pour avoir cet argent) est compliqué.
Bonjour
Je me retrouve dans vos commentaires.jai des capacites d organisation du travail serieux malheureusement mes qualites ne sont pas exploitees pire je nai aucune possibilites d evolution. Je travaille pour des notaires jamais je naurai pense travailler pour des gens comme ca a la mentalite inhumaine.je devais me stabiliser et jai signe mon cdi. Jai 44 ans bientot et c difficile de demissionner je ne suis pas certaine de retrouver.jai adore l epoque d interim et de cdd ou je rencontrais legions de personnes et les antipathiques je men fichais je savais que je partais.jai travaille avec bcp d hommes..comme ct agreable.jamais d histoires et d hypocrisie.sauf que la depuis 5 ans c un entourage exclusivement feminin.que d histoires que de problemes de jalousie.je suis en arret et je sais davance que lorsque je vais revenir elles vont me faire la gueule.certaines mielleuses vont meme jusqua menvoyer des sms pour en savoir un peu + sur ma maladie…histoire de colporter la mega information aux autres! Des punaises.jai achete une maison recemment c le seul credit que jai.jen ai pour encore longtemps a payer.mais je me dis a quoi bon? Trimer pour laisser cette maison a un fils unique egoiste imbu de sa personne sans aucune reconnaissance! Oui je reve dune vie simple.je vais tjrs en vacances dans des pays avec des gens simples.quand je reviens en france je prends une claque.une melancolie menvahie.le blues.je sais que si je ne pars pas d ici ca va me tuer.si javais un pecule com certains je partirai.faites le pour ceux qui hesitent encore.bon courage a tous.le mal de vivre com ca est tuant.
Bonjour à tous,
Après avoir lu chaque message, je suis en final soulagée, on se sent moins seule.
J’ai 37 ans et j’élève seule mon fils, actuellement je travaille mais je me demande tous les jours pourquoi, pour gagner combien ? pour seulement survivre, même en travaillant je ne profite de rien, la vie est tellement chère, et je me pose la même question que vous, faut-il continuer à travailler??
J’en ai mare de la hiérarchie qui vous prend de haut même si vous faîtes bien votre boulot, je suis comptable en cdd payée au smic, quelle honte!! En plus je me fais rabaisser par ma responsable et elle me fait du chantage. J’arrive le matin la boule au ventre et les collègues qui préfèrent se taire au lieu de m’aider à dénoncer les méthodes de la direction, finalement en voyant tous ça je me renferme, je m’isole car je ne sais plus quoi faire, souvent de fois, je n’ai qu’une envie c’est de tout plaqué et arrêter de bosser, j’en ai marre d’être prise pour une conne, pour une machine, je bosse depuis l’âge de 17 ans, j’ai fait plein de boulot différent car je ne trouve pas le métier dans lequel je m’ épanouie, en fait je réalise que je ne veux plus bosser, j’ai des soucis de santé et je me sens usée, fatiguée par ces nouvelles méthodes au travail et c’est devenu comme ça partout, payé au smic même si tu as des compétences et on te traite comme de la merde même si tu bosses super bien, et à chaque fois je me fais avoir à chaque nouveau boulot je me défonce croyant que je vais évoluer et c’est ce que l’on me fait espérer à chaque fois et je tombe dans le panneau, je suis usée de vouloir essayer de gagner ma vie en travaillant. De plus, j’ai des soucis de santé et aujourd’hui je suis limitée dans le boulot et on me le fais payer et je trouve ça dégueulasse….
Je rêve de partir, de profiter, de découvrir autre chose, j’aimerais juste avoir quelques amis qui partage la même chose car les personnes que je connais rigole quand je dis ça, « t’es folle »….
Vous connaissez l’expression vivre d’amour et d’eau fraîche….
Moi j’y crois ….
En tout cas j’ai été contente de vous lire et je souhaite à tous de réussir quelque soit vos choix…..
Bonsoir à toutes et à tous,
Je viens de lire vos messages et certaines histoires m’ont beaucoup touché. Alors laissez-moi vous faire part de la mienne.
J’ai choisi un métier par passion et parce que je pensais qu’en dépit de mes origines sociales on me considérerait comme les autres une fois les concours passés. Il n’en est rien. Vous pourrez bosser 10 fois plus que les autres, cela ne change rien au regard qu’il porte sur vous parce que vous venez d’une « banlieue sensible » (quel terme ridicule).
Je pensais que mon métier serait utile aux autres. Je n’en suis plus si sur.
Je l’aime bien mon métier, mais il m’arrive de plus en plus d’en avoir assez et de regretter. J’ai conseillé à mes enfants qui admirent mon métier de « choisir un métier où on gagne beaucoup d’argent, comme ça le jour où tu en auras assez, tu pourras le quitter plus facilement ».
J’en ai assez de ce monde de mensonges, de faux semblants où on affirme que « les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits », mais où seul compte l’argent qu’on possède.
Oh, je ne suis pas malheureux (et certainement bien moins que beaucoup d’intervenants), je gagne bien ( notion relative, mais on va dire 3000 net par mois à 36 ans ce n’est pas si mal) et j’ai une carte gold qui m’attire respect et considération (bande d’hypocrites qui ne m’auraient même pas regardé sans ça).
Mais j’aspire de plus en plus à une chose : vivre sans travailler. Prendre le temps. Agrandir mon potager, couper plus de bois l’hiver. Des fois, je rêve de partir vivre dans la forêt. C’est facile, elle est en face de chez moi. Je rêve de trouver des gens comme moi et de réaliser ce rêve. Vivre simplement dans les bois.
Voilà, j’espère n’avoir offensé personne. J’ai bien vu qu’ici des gens ont eu des situations biens pires que la mienne et je vous tire mon chapeau.
Bonjour,
Je gagne 2000€ nets par mois et j’ai dix ans de plus que vous. Et je ne suis pas à plaindre car il y a toujours pire.J’ai eu mon enfance à Paris. Pas de banlieue sensible. Lycée dans les beaux quartiers. Mais pas de parents docteurs ou ingénieurs. Là etrangement vous n’êtes pas invité aux boums. Tout ça pour vous dire que que nos parcours et niveau de vie diffèrent mais que j’arrive à la même conclusion que vous. Moi aussi je rêve de cabane dans les bois, à la montagne, panneau solaire et toilettes sèches pour être la moins dépendante possible de cette société individualiste, élitiste, égoïste, nombriliste, …
Tu m’as un peu volé mon rêve… Aller Laurence, viens je t’emmène !
Bonjour à tous,voilà je suis tombé sur vos messages par erreur,ou par chance à un moment où ma vie est à son tournant. Depuis la fin de ma vie scolaire je cherchais à rejoindre le « droit chemin »,non pas par plaisir,nécessité financière mais parceque le regard des gens était insupportable.
Trop de personnes sont persuadées que lorsqu’on ne se lève pas à l’aube pour faire le tour des entreprises,c’est mal nous sommes des fainéants intéressés par tout moyen pour » parasiter » le système. J’étais pris dans l’engrenage du manque d’expérience,plus le temps passe et plus les questions te font baisser les bras. Pas le choix il fallait apprendre à vivre comme ça. Se sentir sale devant son reflet, mais ne pas pour autant baisser la tête.
Le pire vient de ta famille et de tes amis, on te tourne le dos sans même essayer de comprendre. Et puis au final ça aussi tu t’y fais. J’ai 29 ans,mon CV tient sur une page, et alors ! Je vis plutôt bien je fais ce que j’aime sans contrainte. J’ai un toit,à manger dans le frigo,une femme qui m’aime c’est ça la vraie vie!
Mais voilà,il faut être réaliste,mon enfant pointera son petit nez en décembre et je veux pour lui le meilleur,j’ai pas envi qu’il connaisse les mésaventures que créé cette vie hors des sentiers. Après 8 ans de lutte contre le système,je vais rentrer dans le monde du travail,pas pour moi mais pour ma petite famille.
Plus parceque le regard des gens m’insupporte,mais bel et bien parce-que maintenant j’ai un but,l’envie de me lever pour apporter le bien-être à ceux que j’aime.
Je vois dans vos messages la lassitude de faire partie du milieu salarié,avec tout ce que ça implique, je vous comprend. Je pense que la seule façon de se sentir bien est de faire ce que vous voulez, rester libre. Levez vous pour vous. Si vous tenez à entreprendre la voie de la paresse,du vivre simplement mais bien,faites le.
N’oubliez pas, on a qu’une vie !
La critique est bienvenue, alex80190@gmail.com
bonsoir,
je m appel erwan et j ai 32 ans,je vis dans le finistere en bretagne.
j ai également un probleme psychique avec le travail mais pas que avec le travail,je n arrive pas a m adapter a cette sociétée.
j ai ratés ma vie,je n ai pas reussi a avoir un travail qui me plait,je n ai jamais su séduire une femme et je n ai donc jamais eu d enfant.
avant l age de 28ans j avais toujours travaillés dans des boulots minable de l industrie ,avec des horaire totalement décalés,le dernier travail que j ai fais étais d accrocher des dindons vivant sur des chaines d usine avec une ambiance de merde puis un jour j ai baisser les bras et j ai tout lachés et depuis je n arrives plus a me relever.
des fois j aimerai être comme tout le monde reprendre le premier boulot pourri que je trouves afin de me sentir utile et redevenir quelqu un mais je ne supporte plus de faire des choses que je deteste.
j auarai aimé un travail en contact avec la nature ou l environnement mais je n ai aucun diplome ni aucune experience.
je suis entrain de me désocialisé complétement ,je ne cotoie presque plus d être humain car je me sent trop different puis de toute façon les gens n aimes pas les féniant .
je ne suis pas rantier et je ne vis pas sur des réserves d argent non plus,mais je sais trouver de l argent et je n ai pas de probleme a ce niveau la,je viens d une famille trés pauvre et durant mon enfance il n était pas rare d avoir rien a manger sur la table ,alors j ai rapidement appris a me débrouiller et a ramener de l argent a ma mere entre 2 huissier de justice qui venait saissir se qu on avait a peine de quoi se paer,je précise que ma mere a travailler toute sa vie sans arret pour l industrie agroalimentaire, elle n était pas feniante comme je peux l être mais au final,elle y a laisser sa santée,aujourdhui elle a 55 ans et sa santée est totalement détruite.
dans tout les emploi que j ai eu on m a toujours dis que j étais un bosseur,je me suis toujours défoncé au boulot,j étais quelqu un qu apprenez vite eet je dépasser toujours mes limites.
mais depuis quelques années tout a changés et les choses s empire de jours en jours,j ai réalisé il y a peu de temps que la solitude détruit un humain a petit feu, l homme est fait pour vivre en communauté.
totu ça pour dire qu arreter de travailler parcequ on détéste se qu on fait veut également dire se couper de la sociétée et être vue differament par les gens normaux et au final cela peux vous changer et vous détruire.
plus je connais les hommes et moi même plus j aimes mon chien!!!
Bonsoir Erwan, votre témoignage me touche beaucoup car je comprend PARFAITEMENT votre ressenti. Vous savez que la peur d’être incompris et donc, finalement abandonné des autres est sans doute le frein le plus puissant à celui de ne plus travailler ? On cite souvent la peur de ne plus pouvoir subvenir à ses besoins, la peur de ne plus consommer autant qu’avant etc… Mais la peur d’être vu comme un marginal, ou pire, un « parasite » ? Elle est aussi très puissante…
C’est pourquoi il est important pour vous (je me permet car vraiment vous ne méritez pas de vous sentir coupable de ne plus travailler) de trouver d’autres personnes qui partagent votre point de vue (à Paris, dan s la tranche 18-30, ça devient presque facile de trouver des personnes qui partagent votre état d’esprit, et votre ras-le-bol pour notre mode de vie occidental moderne nuisible).
Je vous laisse mon mail si vous souhaitez en discuter. Il y a toujours des solutions, mais trouver des personnes pour en parler sans être jugé est essentiel je pense !
Bien à vous,
Guillaume
Moi à ta place j’irais avec les ‘punks à chien’ dans la rue. ce sont des gens supers qui eux ne te jugeront pas et tu ne seras plus seul.
Déjà ai de l’estime pour toi même et arrête d’accepter n’importe quel boulot. Surtout si c’est payer le SMIC, autant être balayeur pour la municipalité tu te fatiguera moins.
Coucou tu n’es pas seul intéressé toi à la nature agriculture permaculture cherche les woofeur courage l’ami
Bonjour Erwan,
Je ne pourrai pas t’être d’une grande aide, mais je voulais juste te dire que ton message m’a profondément touchée. Plus facile à dire qu’à faire au sein de cette société individualiste, mais ne baisse pas les bras.
Salut tout le monde, moi j’ai des idées qui semblent valoir le coup pour au moins diminuer le temps passé au travail à subir des tocards :
1 – changer de région pour s’installer en campagne et en région pas chère comme le massif central.
2 – acheter une maison à retaper et y mettre des chauffages alternatifs (regarder effetdumas.org : j’ai le résonateur et çà fonctionne !). Y faire une isolation en paille (des prix super compétitifs)
3 – faire son jardin et avoir des poules : une bonne partie de nourriture bio pour pas un radis !
4 – être dans une logique de spiritualité en acte : faire du sport (footing, yoga, grimpe…) Rien que ces trois activités là ne coûtent quasiment rien.
5 – S’intéresser aux gens, créer des relations d’amitié et mobiliser un réseau de gens qui pensent de façon similaire pour s’aider, partager, développer une entraide pour les tracas du quotidien. Parler, parler, parler pour évacuer tout ce que cette société en perdition sur beaucoup de pants, balance comme fausses espérances : la croissance, la retraite, produire, consommer.
Voilà, pour ma part, je suis en train de franchir le pas : c’est possible, il y a des tas de gens qui souffrent le martyr aujourd’hui et qui sombrent car ils ruminent seuls dans leur coin.
On nous a vendu un système individualiste qui nous a tous rendu égoïstes…
Aujourd’hui, il est temps de bouger !!! et ensemble !!!
Et avec quel argent tu achêtes cette maison ?
Bravo toutes mes félicitations ! Vous avez oser faire une chose à laquelle je pense souvent. Et là où je vous rejoins totalement, c’est sur le fait de parler encore et encore. Se déconditionner, s’indépendantiser, et briser l’énorme emprise qu’à ce conditionnement, ce formatage permanent et qu’on porte en nous-mêmes depuis tout petit, tout seul, c’est impossible…
D’où la nécessité de s’unir, de parler, d’échanger ! Des liens magnifiques peuvent en découler ! Il faut briser les chaînes, et elles sont énormes et en acier trempé… Donc serrons-nous les coudes.
Moi je voulais retrouver l’insouciance de l’enfance. Arrêter d’être exploité à des conneries. Et un de mes chefs m’avait dit : il suffit de croire au livre. Alors je me suis acheté la Bible, le Coran, le Code Civil, le Code Pénal et le Code du travail, et je prie tout les soirs le Notre Père et le Je vous salue Marie et le Credo. Et là j’ai eu des visions. Des hallucinations qui m’ont menées tout droit chez le psychiatre en hôpital psychiatrique, et là j’ai trouvé des gens bienveillants qui m’ont admis, et m’ont libéré du travail que je ne pouvais plus faire, et donné un travail vraiment intéressant et facile pour handicapé. (la poésie). « Nous ne sommes pas des robots » m’a dit un médecin. « N’essayez pas de retourner travailler dans l’industrie, cela vous détruirait. » Il y a plein de gens compétents qui veulent travailler, alors on laisse dormir ceux qui sont fatigués ou incompétents, et on leur donne une allocation d’handicapés. Par contre je suis obligé de prendre des médicaments ayant beaucoup d’effets secondaires : les antipsychotiques.
Il manque une étape cruciale à votre liste « Les étapes pour réussir »:
6-passer à l’action
Certains de mes contacts peuvent se permettre de ne plus travailler pour vivre confortablement, mais souvent parce qu’ils se sont remontés les manches et ont pris des risques pour y arriver.
« LES TEMOINS DES POSSIBLES – CHANGER SA VIE C’EST POSSIBLE »… !!
LES MUTATIONS CONSTANTES DE NOTRE MONDE
Une toute nouvelle série de témoignages de vie sur la scène du théâtre du Palais Royal
6 dates à retenir 6 Témoignages de vie sur la scène du Th du Palais Royal en octobre, novembre et décembre 2013 !
Avant une tournée de témoignages dans les théâtres en France, un programme TV et Radio en cours d’élaboration !!
« LES TEMOINS DES POSSIBLES » est une série de témoignages de vie qui a pour thématique « Les changements de vie » dans un monde en mutations constantes dans lequel il est si facile de perdre ses points de repère. Cette série de témoignages de vie sera présentée sur la scène du THEATRE DU PALAIS ROYAL, dans un décor sobre et lumineux les jeudi d’octobre, novembre et décembre 2013. Par choix ou par accident, les personnalités que nous avons invitées se sont créé une vie nouvelle. Ils témoigneront à leur manière, chacun à leur tour de leur parcours de vie, mais aussi des passerelles et des rencontres qui les ont conduits à changer leur mode de penser et leur mode de fonctionnement. Ils nous transmettront leur expérience et affirmeront que CHANGER SA VIE C ‘EST POSSIBLE dans un monde nouveau ou l’humain est replacé au centre sujet !
Ainsi lé scène du Théâtre met sa scène a disposition de la vie, elle devient une plateforme d’informations, un lieu de rencontres, un émetteur et un capteur d’espoirs, un lieu d’échange et de partage, où les parcours de vie se racontent et se transmettent, sur le chemin des possibles ! »
Sur scène au Théâtre du Palais Royal: EDGAR MORIN, PIERRE RABHI, MICHEL ONFRAY , Le Professeur ALAIN DELOCHE, , STEPHANIE FUGAIN, et leurs invités: Patrick Poivre d’Arvor, Edwy Plenel, Delphine Batho, Jean-Claude Casadesus, Mireille Darc, Laurent Baffie, Michel Cymes, Patrice Du Tertre, Alice Dona, Jean-Pierre Luminet, Christel Pernet, Malek Chebel, Alexandre Romanes, Christine Janin, Jean-Luc Moreau, Philippe Pozzo di Borgo…. les parcours de vie s’échangent et se partagent sur le chemin des possibles.
Voici ci-dessous les liens:
– Lien site Theatre du Palais Royal: http://theatrepalaisroyal.com/category/spectacles/exceptionnel/
– lien FB: https://www.facebook.com/pages/LES-TEMOINS-DES-POSSIBLES/515201081889860
– TEASER DU PREMIER TEMOIGNAGE: https://dl.dropboxusercontent.com/u/22797352/TEASER_JP_VILLARET.zip
Pour cette toute nouvelle série, nous avons besoin de toutes les bonnes volonté, elle s’inscrit dans la tendance universelle du moment et elle est humaniste !!! Peut-être vous interpellera t-elle …nous l’ espèrons sincèrement!
Nous vous remercions du retour que vous pourrez nous faire concernant cette série de témoignages et de la contribution que vous pourrez lui apporter à votre manière… vous êtes aussi les bienvenus au Théâtre du palais Royal !
Je reste à votre disposition concernant toute information que vous souhaiteriez avoir sur ces témoignages de vie et d’espoir pour monde nouveau tant espéré !
Bien à vous,
Pascalle Kafiz
Email: pascalle@lestemoinsdespossibles.com
Co-conceptrice de la série « LES TEMOINS DES POSSIBLES »
bonjour à tous les fainéants volontaires de la planète. La vrai démocratie est le tirage au sort….
s’accomplir dans du bel ouvrage apporte de la joie et du mieux être….travailler apporte la destruction de toute vie … voir l’état actuel des 3 éléments vitaux (eau, terre, et air) car rien que le fait de prendre un véhicule pour aller travailler détruit ces éléments …..1 seul prédateur : homosapiens detructor.. facteurs déterminants dans l’accélération du processus du plus grans génocide de tous les temps : LE TRAVAIL… LA PEUR….L’ARGENT….LE POUVOIR.. LA JALOUSIE…. LA MAUVAISE INTERPRETATION DES TEXTES DES RELIGIONS MONOTHEIQUES…. largement en dessous du seuil de pauvreté depuis 9 ans… en survis aux yeux de la société française;;;;; je vis pleinement chaque seconde de mes journées… au vu de l’état actuelle des choses du moment présent ;; (16 mai 2013 : 7h58) chaque seconde de vécue est du bonus… car la plus grande des crises qui existe à ce jour n’est certes pas la crise financière mais indéniablement la crise environnementale…..éliminons petit à petit tous les on dit… toutes nos peurs… toute idée de surproduction … de surconsommation … et cultivons notre jardin intérieur… je suis fier d’appartenir à la catégorie des plus fainéants de la planète….fainéant qui se lève à 6 heures tous les jours… fainéant qui se couche à 20 h 30 environ… fainéant pauvre (financier)… mais fainéant riche dans mon coeur et dans mon âme…patrick doudin … p.doudin@laposte.net
Refuser de travailler est un acte politique et courageux. Nous sommes plus que vous ne l’imaginez, récup’ des invendus des marchés de fruits et légumes, récup’ des poubelles des supermarchés, occupation de logements vides. Il y a de quoi faire, l’autonomie nous tend les bras, sa recherche perpétuelle est une source d’aventure et d’épanouissement!
bien sûr! squatter/profiter du bien que les autres ont produit durement….
belle mentalité de doryphore
N’importe quoi le commentaire qui précède.
Ca se voit que tu n’y connais rien. Les squats s’effectuent la plupart dans des bâtiments publics abandonnés. Et en quoi récupérer dans les poubelles des supermarchés ou les invendus c’est profiter du travail des autres? C’est au contraire lutter contre le gaspillage.
Bonjour à tous !!
Comme ça fait du bien de vous lire !! Enfin je ne me sens plus seule…. Je me retrouve dans ce que dit Youlo ; moi aussi j’ai toujours eu du mal avec les obligations (fille de libertaire) et je pensais moi aussi à la retraite avant même de commencer à travailler… et l’objectif que s’est fixée lacombinaison et le même que le mien à savoir : avoir ma maison autonome, faire mon potager, profiter de la vie, retour aux choses simples, ….
J’ai 29 ans et je travaille depuis que j’ai 21 ans. Je n’ai fait que des petits boulots et 2 ans au sein du même emploi ont été le maximum. Je n’y suis pas à ma place. Je déteste tout simplement le fait de travailler.
J’ai repris mes études l’année dernière en alternance pour préparer un BTS Tourisme. Je suis passionnée de voyages, de culture, de rencontres avec les autres civilisations… et je souhaitais rentrer dans le tourisme pour concilier au mieux ma passion et mon travail (histoire de le rendre un peu plus supportable…) .
Donc l’année dernière j’étais en alternance dans une agence de voyage (j’y suis toujours) ou j’étais complètement gratuite pour mon patron car je touchais une allocation du pôle emploi. Mais mon patron, qui a vu que je bossais bien et que l’agence tournait de mieux en mieux, m’a proposé de m’embaucher à partir de septembre 2012 (à la fin de mes droits assedics) ce qui sous-entendais que je ne finirais pas ma formation de BTS…. mais pour moi ce n’était pas grave car le diplôme m’importait peu (d’après moi l’expérience vaut mieux qu’un diplôme).
Bref, peu temps après être passée en CDI (oh quelle horreur , je me suis laissée repièger alors que je m’étais dit plus jamais de CDI !!), on est passé du côté obscur : Faut faire toujours plus de chiffre d’affaire, et ca me gave cette pression qu’on te met !! Et moi, plus on me dit de faire du chiffre moins j’en fait lol (inconsciemment bien sûr 😉
Juste après m’avoir embauchée, mon patron m’a sorti » Bon Mareen, maintenant que je te paye, je veux voir des résultats »…. Comme si l’année ou j’avais bossé gratuitement pour lui j’avais rien foutu !!! Non mais what the fuck !!! J’ai fait abstraction de ceci et j’ai continué mon boulot…
Ces derniers jours nous avons eu une très forte altercation due au fait que j’ai conseillé à une cliente, qui partait à New York, de profiter de bons plans gratuits comme par exemple la visite du MOMA le vendredi soir (gratuit) -> Eh bien non, je n’ai pas le droit de diffuser ce genre d’informations car il aurait fallu que je lui vende l’excursion … Nan mais où va-t-on ?
Du coup je ne me suis pas laissée faire et je lui ai sorti ses 4 vérités. Il a été choqué de la façon dont je lui ai parlé…. Je lui ai répondu que je m’étais bien assez laissée marchée dessus dans le passé et que maintenant je ne me la fermait plus.
Je pense que je n’y suis plus pour très longtemps car de toute façon je ne fais pas assez de « chiffre » (ce mot je ne le supporte plus..)
Vivement ce moment !!!
Je finirai en vous rappelant le message de Paul qui vous parlait du revenu universelle, je vous encourage à signer la pétition pour que ce traité passe en commission européenne :
http://basicincome2013.eu/ubi/fr/
Bonjour , j’ai 17 ans , je ne sais pas trop ce que je veux mais je sais ce que je ne veux pas .Je suis descolarisée et je ne travaille pas non plus. Rien que de sortir et de voir des panneaux publicitaires me dégoute, tout m’attriste , la securité qu’on voudra bien me donner si j’ai le courage de travailler pour de l’argent ne me conviendra pas ,j’en suis convaincue . je n’ai pas envie de changer ma vision des choses ,pour etre « comme tout le monde » je pense etre juste , et je compte vivre en harmonie avec mes valeurs .
Dans la vie de tous les jours, quand j’entre dans un lieu de travail, je vois le personnel s’activait et faire les tâches qui lui incombe, et je me dis souvent « et si demain, ils avaient la possibilité de vivre sans leurs emplois? » et je me dis que beaucoup lâcheraient le poste qu’ils occuperaient.
Il m’arrive de me dire que la société civilisée n’est pas franchement pour moi, avec ses contraintes imposées par des lois sociales et morales inventées par des dirigeants tout désignés (travailler, payer les factures, les impôts, s’habiller, avoir une situation sociale et professionnelles pour dire qu’on a réussi sa vie, respect d’horaires, de délais, de manières). Je me demande ce qu’il en aurait été si j’étais née dans une de ces populations qui continuent à vivre à la mode primitive, qui se contentent juste de ce que la nature leur donne, sans autres contraintes que les contraintes naturelles (météo, besoins vitaux à satisfaire,…).
Je suis actuellement au chômage et je vous dis pas le nombre de démarches, de courbettes, de tonnes de savoir inintéressant que j’accumule juste pour avoir un poste, le droit de travailler pour avoir de quoi m’acheter le minimum pour vivre et être bien vue dans la société (je parle des vêtements et de tous les accessoires soi-disant devenus indispensables).
Plus je réfléchis et plus je me dis que mine de rien, la société moderne est certes mieux loties en terme de confort mais moins heureuse que la société primitive, en sachant que dans la société moderne, son confort ne profite pas à tous.
Nous vivons malheureusement dans une société que nous avons créée, nous acceptons tous son règlement et ses codes, la société de consommation ne vie que grâce à nous tous, nous qui nous laissons « avoir » par toute cette propagande publicitaire, nous donnons le pouvoir à des politiciens, nous écoutons une opposition en quette elle aussi de pouvoir et de reconnaissance. Si le monde doit changer ce sera grâce à nous, au public, à cette masse de citoyens qui donne gratuitement le pouvoir à des tiers de diriger nos vies. Oui l’être humain est faible, il a peur (21/12/12), et tant que cette peur subsistera rien ne changera. Les gouvernements se foutent de nous de l’environnement, des animaux, du devenir de la planète (Mars society), la solution ? il faut agir collectivement, voter intelligemment. Le peuple à le pouvoir de transformer le monde dont on rêve tous, il suffit juste de se réapproprier le pouvoir. Non pas dans le but de nuire à qui que ce soit mais de prendre le monde en main.
Le vote décroissant mais surtout ne pas se laisser prendre par le miroitement du revenu universel pour tous.
D’ailleurs si vous avez remarqué: ces gens parlent d’un revenu de base pour tous mais jamais d’un plafond de revenu pour tous, qui a mon avis ne devrait pourtant pas doubler le revenu minimum.
C’est encore bien un attrape couillon!
Vive un salaire par foyer qui suffirait pour que chacun ai plus de temps tout simplement. Et des salaires d’une échelle de 1 à 4 maximum afin que dans tous les foyers, il y ai un salaire.
Bonsoir,
C’est moi le « Loulou » du message du 9 décembre 2011. Je réagis au message de Benou.
Tu as parfaitement raison de dire que si on a un toit à soi, on peut envisager de vivre autrement.
Le temps est trop précieux pour ne le consacrer qu’au travail…
Je sais que malheureusement tout le monde ne peut pas se payer son logis (maison ou appartement).
Il faut aussi savoir être modeste et accepter qu’on ne peut tout avoir tout de suite. Nous concernant, on vit dans une ville moyenne sans éclat mais on est chez nous et pas loin d’un grand bassin d’emplois!
Notre voiture a plus de 15 ans et ça fait 10 ans que nous l’avons. L’entretien n’est pas trop cher si on sait ménager les mécaniques. Bref, on passe pour de pauvres prolos pour pas mal de personnes même dans notre entourage.
Mais on n’en a cure, on est heureux comme ça. Etre modeste en France, c’est pas crier famine. On assume nos choix de vie sans nous laisser dicter notre conduite par les chantres du consumérisme. Bref, j’ai parfois l’impression d’être en décalage avec le reste de la société mais on le vit bien. Avoir l’oeil simple, voilà notre philosophie. Mais ça ne signifie pas qu’on vit comme des ascètes. Les plaisirs qu’on s’offrent; on les savoure à notre niveau.
Vous me direz: « mais comment gagnez-vous votre argent? ».
En fait, je ne travaille qu’en intérim et j’ai la chance de trouver des missions intéressantes.
Mais ce serait trop long de ne parler que de mon expérience. Je conseille juste à ceux qui envisagent la voie du vivre autrement de bien réfléchir. Si c’est vraiment ce qui vous convient: foncez!!!
Les déconvenues seront parfois au rendez-vous mais les moments de plénitude aussi. Je ne suis pas un bobo illuminé mais ça marche pour moi.
Et à l’avenir?
Qui vivra verra, ce n’est pas en nourrissant son esprit d’inquiétudes qu’on pourra changer le cours des choses.
Bonne chance à ceux qui partage cette vision de la vie. Aux autres, bon courage.
Ah! la vie sans travailler. Etymologie de travail: tripalium, instrument de torture. Les mots ne mentent pas.
J’ai 24 ans. Un père décédé lorsque j’avais 17 ans (j’étais déja militaire) nous laissant ma mère et mon grand frère sous le poids d’une dette connue de lui seul d’environ 200 000€.
1000€ de revenus et je suis propulsé l’homme le plus riche de ma petite famille. La suite, déménagements, vente de biens, dossier de surendettement et ma mère à l’usine agroalimentaire sous 3°C après 25 ans au foyer.
Quelques années plus tard l’épée de Damocles retirée par la grâce de la banque de France, on sort la tête de l’eau, je veux dire, soulagé.
Epargner même les pièces cuivrées, se passer de certains repas, sédentarité, vie sociale réduite, réflexions, insomnies, fumée, et ne jamais oublier l’essentiel:
Volonté cémentée et sans faille et savoir se faire plaisir de temps en temps pour supporter l’egrènement des jours qui ne sont pour soi qu’attente, épargne.
Puis des amis. Un bon ami.
Vous voulez gagner de l’argent? Aller bâtir le monde, travaillez pour les lobbys, l’industrie lourde en expatriation. Vous ne payerez plus d’impots, certains même touchent leur prime à l’emploi alors qu’ils gagnent 40 000€ brut à l’année (enfin je veux dire pour un type qui débute). L’argent appelle l’argent.
Mon ami m’a pistonné (car on ne postule pas pour ces postes), une année à trimer pour le diable, à gueuler sur des types qui gagnent 200€ par mois, les esclaves modernes. L’abolition a seulement permise aux exploitants de se décharger de les nourrir, loger et soigner. Bref…
J’en suis sorti au bout de dix mois ou plutôt j’ai tenu dix mois; pas facile pour un humaniste. J’ai gagné une vision du monde plus mature qui m’a rendu, j’en ai peur, incapable d’excercer à nouveau une activité salariée.
J’ai de quoi vivre modestement pendant trois ans jusqu’au dernier centime mais je ne paye pas de loyer… Puis ma vie sera plus longue que ca. Une femme et je veux des enfants alors comment faire?
On s’interesse surtout à l’investissement. « Oula! j’ai gagné plus en 10 mois là bas que dans toute ma vie; avec 30000€ en poche si je n’arrive pas à les faire fructifier pour acquérir la seule chose que je souhaite, un bon toit alors je suis vraiment un looser »
Mais dur, je crois qu’il faudra y retourner, au charbon, et même s’ils ne veulent plus de moi dans le monde du travail car mon profil est devenu trop… marginal apparement… Mais il n’y a pas de secret, ce sera soit ca, soit la vie d’artiste mais alors croix sur une vie de famille…
Je vis sans travailler depuis bientôt un an et je rêvais de dire « je n’ai jamais autant travaillé depuis que je n’ai plus de travail ». Mais voila je n’ai pas de toit à moi (comprenez: à MOI).
Vivre sans travailler et dans le bonheur (car c’est cela le but non?) est possible à condition d’avoir une maison, l’espace et le matériel necessaire pour vivre de ses passions.
Petite précision: ces mots viennent d’un type qui pense qu’il ne faut dépenser que l’argent que l’on a, vivre sans crédit.
Le monde irai mieux si chacun était propriétaire car n’est-ce pas là l’essentiel, un lopin de terre?
Non le monde n’est pas ainsi, il n’est pas pourri, il est juste comme ca et il faut l’accepter. Il faut se battre pour obtenir ce que l’on veut et c’est difficile si l’on n’est pas guerrier…
Bonjour à tous!
Vivre sans travailler à toujours été un rêve pour moi. Cependant je n’ai jamais su comment y arriver et j’ai longtemps eu peur de ne pouvoir réaliser ce rêve. J’ai 21 ans et cela fait 4 ans que je fais des études de gestion. Les métiers que je pourrais faire sont comptable, directeur des ressources humaines, travailler dans une banque… bref que des métiers qui me donnent envie de vomir. Je suis quelqu’un qui veux rester libre, je ne veux pas être obligé de bosser pour un patron, de respecter des horaires, d’être contraint de faire ci de faire ça…
Avoir un emploi en tant que comptable ou dans une banque serait un véritable enfer pour moi. L’enfer je sais ce que c’est et je ne compte pas y retourner. Depuis quelque temps je commence à réfléchir sérieusement à vivre sans travailler (ou si peu) et j’ai trouver des solutions. En ce qui concerne l’argent, je compte en gagner en faisant du commerce sur internet et en jouant à la bourse avec le système des option binaire. Le temps libre qu’il me reste je le consacrerais à mes passions: au jardinage, à la lecture, aux voyages, au sport, à la musique, à l’art, à l’amour et à l’amitié.
La vie, je compte bien en profiter chaque jour, j’ai des tas de projets et il serais trop bête de perdre mon temps si précieux dans un travail qui ne m’apporterait aucun bonheur.
bonsoir manuel!
sans vouloir etre indiscrete comment fais-tu pour gagner ta vie concretement?
merci
bonne soiree a tous
Bonjour à tous
En lisant vos commentaires, je me rends compte que je ne suis pas tout seul, je me reconnais dans ceux-ci !
J’ai 64 ans et je me suis retrouvé au chômage à 57 ans, la, j’ai décidé de repenser ma vie.
Nous avions voulu que nos enfants soient libres, c’est-à dire qu’ils aient les moyens de décider ce qu’ils voulaient faire de leur vie, ils n’ont pas trop mal réussi je pense.
Moi, je « galérais » dans une entreprise pour subvenir à nos besoins, au chômage je me suis dit : cela ne peut plus continuer comme ça.
Maintenant je travaille cinq à dix minutes par jour pour obtenir bientôt un revenu de 3000 euros par mois sans patron, sans stress, sans employés, sans acheter de produits, en travaillant de chez moi, en toute légalité et honnêteté, je précise, car j’aime bien être tranquille avec les autorités.
J’ai trouvé cette solution qui me satisfait pleinement, c’est une solution elle me permet d’envisager l’avenir avec sérénité, et vous qu’avez vous trouvé comme solution ?
Bonne journée à vous tous.
Manuel
Bonjour Manuel, que fait tu comme activité, si cela n’est pas trop indiscrèt, toutes les idées sont bonnes à entendre.
Virginie
Bonjour Manuel je suis une jeune fille de 18 ans dépressive et descolarisee et je voudrais savoir comment vous faites pour travailler 10 minutes par jour en gagnant 3000 € par mois. Merci d’avance
Bonjour a tous ,
j’ai 39 ans , je travaillais depuis l’age de 17 ans avec mon père sur une entreprise agricole , résultat, un dos en conpote a meme pas 40 ans !
Alors malgré mon niveau de revenu trés confortable ,et aprés 3 ans de réflexion ,
j’ai tout plaqué , et je ne travaille plus ! J’ai enfin l impression de vivre !
Je pense que le travaille tue , et que les gens s’en rendent compte trop tard …
J’ai 40 ans et je suis épuisé, physiquement et nerveusement.
J’ai été arrêté deux mois l’an dernier pour épuisement au travail.
Et savez-vous ce qu’a osé me dire mon chef ? Tu travailles bien mais il faut en faire plus !!!
J’ai 40 ans seulement, j’ai été opéré 4 fois du coeur, j’ai une prothèse cardiaque. J’ai le coeur d’une personne de 80 ans !!! et on me dit d’en faire plus !!!
Je sais bien que les civils ce n’est que de la merde où je suis mais là j’en ai vraiment marre et plus que marre !
Si je craque je suis capable de tout casser et ils m’enfermeront dans un asile.
Je suis arrivé à un stade ou je n’ai plus rien à perdre.
Moi qui pensait que le monde du travail serait la belle vie, j’ai toujours travaillé, j’ai aimé travaillé, mais je vis une grande désillusion. Je suis arrivé à un stade où tout m’est égal.
Que Dieu me protège et protège les autres car je ne réponds plus de moi. Je suis épuisé et tout le monde s’en fout !
je vous comprends bien Jean c’ est vraiment la merde
Ca ne craint pas de m’arriver. J’ai la trentaine, et ça fait plus de 10 ans que je se sens que le travail n’est rien d’autre que l’oppression du grand nombre par un petit nombre.
C’est bien la raison pour laquelle je n’ai rien branlé pendant 10 ans, me contentant de peu. je vis chez mes parents qui ne m’emmerde pas, en plus ils le déduisent de leurs impots, le midi lorsqu’ils rentrent du boulot, tout est prêt, je fais le ménage et l’entretien, ils ont une présence, et dans le fond, ça ne leur coute pas grand chose ; moi de mon coté, je m’instruis, je dors comme une masse, j’aide ceux que je peux, et j’ai une excellente santé, pas une seule carie, une chevelure fournie. « Buller », ça conserve !
Comme ça, tout le monde y gagne : moi qui bénéficie de mon temps, eux qui gagnent le leur avec les services que je leur rend pendant qu’ils bossent, comme ça, lorsqu’ils sont en « repos », ils en profitent.
Et pour la morale, pour la « valeur travail », je laisse ça pour la masse des imbéciles : celle qui se dévore entre elle pour quelques miettes pendant que les gens de la haute font marcher la planche à billet pour leur plus grand plaisir…
D’ailleurs, celui qui est sans dette, et avec 20 000 € en or, c’est toujours plus que ce que la plupart des gens possèdent : des revenus du travail (en sursis, un salarié est toujours un chômeur qui s’ignore…) à tendance déflationniste, des frais en hausse, des conditions de travail (=d’exploitation) de plus en plus misérables avec des chefs bien pistonnés, des collègues qui ne pensent qu’à vous voir chuter, des crédits à tout va qui ne seront jamais payés… Bon courage !
bonjour je sui comme toi expert en siestologie 28ans je vis cher mes paren je l ai aide j ai jamais travailer mais ma grande peur c est le jour ou mes parent partiront moi j ai peur serai je a la rue ou ily a des soluction des aide ????
Bonjour je suis ds le mem cas que toi.. Enfin presque. Bientôt 50 ans.. Et quand ma mère va partir j’ai peur de l’avenir.. Ou vais je vivre ?? Si sa t’intéresse de discuter et éventuellement trouver des solutions pk pas. Biz pascale
vivre chez vos parents toute votre vie ?
je ne pense pas qu’ils vous rendent service …devenir adulte, c’est quitter le nid et s’envoler vers ses propres expériences
un jour vous allez avoir 40 ans et un gros spleen : qu’ai-je fait de ma vie ?
ah oui le ménage chez mes parents….
Comment aller vous Jean, aujourd’hui, 5 ans plus tard ?
JEAN STOP arrete de t epuiser ainsi cela n en vaut vraiment pas la peine et dis a ton imbecile de patron d aller ce faire foutre ainsi que son travail je te souhaite beaucoup de bonheur et surtout la santé
Je suis d’accord avec vous Pit Il faut vivre notre vie avant d’etre trop vieux Le travail nous use On passe nos journée à rever notre vie Assez!! de courir apès le métro ou le bus ou le train Gérer son temps de travail sourir à ses collègues meme si l’ ambiance est pourrit Et pourquoi? Pour faire comme tout le monde Ca me convient plus
Mes enfants vivent à la campagne et la vie est si paisible C’est de plus en plus difficile de revenir de mes weekend chez moi Si loin de toute l’agitation de la ville Mes enfants ont fait le BON CHOIX!!!
j arrive au cap de la cinquantaine et aprés avoir lu ces témoignages venus du coeur
je m apércois que nous aspirons tous a vivre notre vie d hommes et de femmes libres,sans étre aliénés par le travail.pour cela chacun de nous trouvera une astuce personnelle pour s auto finance ce temps libre si précieux ,.pour ma part, il reste encore beaucoup de chose a accomplir ,avant que le corps ne se dégrade et ne nous empéche de se mouvoir .il faut revenir a des valeurs simple pas exactement de la décroissance ce terme n est approprié mais plutot de moins posséder ,et vivre dans des lieux plus calmes loin du tumulte de notre civilisation et de sa consommation effrenee ,se rapprocher de la terre qui nous a donne la vie ,pas besoins d aller bien loin la france regorge de belle regions
Le boulot toujours pareil jour apres jour Une routine qui nous épuise. Comment faire? Ne plus avoir de compte a rendre à personne. J’ai toujours pas trouvé comment faire pour vivre sans travailler Pour le moment je reve que ma vie est différente que je ne suis pas obligée de faire un travail que je n’aime pas Un jour viendra ou je pourrais vivre comme je l’entend. La vie passe si vite faut profiter de la vie avant qu’il soit trop tard!!
Bonjour,
Quoiqu’on en dise, de ce que j’ai pu lire dans tous les posts de ce forum, ceux qui ont pris la décision d’arrêter de travailler ont soit une rentrée d’argent genre pension, soit ont eu une vie financièrement « bien remplie » avant de passer le cap. Ce qui permet de « lancer la machine » pour devenir autonome ou opérer un changement radical.
Attention, ne vous méprenez pas, ce n’est absolument pas une critique, seulement un constat de ce que j’ai lu.
J’ai 42 ans, j’ai quitté l’école à 18 ans, à l’époque j’avais déjà un problème avec les « obligations », faire les choses parce qu’on le doit et non par envie. Je suis donc parti travailler pour gagner de l’argent et enfin faire ce que je voulais !! Ah jeunesse, utopie quand tu nous tiens. 1 ans après je rêvais déjà à la retraite, non pas dans le sens : « payez moi pour que je reste chez moi » mais plutôt trouver un moyen de faire quelque chose de plaisant, qui donne envie dès le matin et qui permette de manger, se chauffer et avoir un toit sur la tête. Pourtant pas mal d’années insouciantes, le boulot ce n’est pas génial mais pas si terrible que ça tout compte fait, l’argent rentre, c’est fait pour être dépensé alors on s’éclate.
23 ans plus tard l’idée « de la retraite » est toujours bien présente, pire même je dirais, amplifiée, décuplée, à se poser la question de l’intérêt de se que l’on fait tous les jours.
J’ai eu la chance, pendant une brève période de ma vie, de vivre en ne faisant que des choses souhaitées ou en tout cas plaisantes. Je travaillais (je dirais plutôt que j’exerçais mon activité, travailler est devenu pour moi un mot barbare, péjoratif, ramenant à l’obligation de faire quelque chose pour avoir le droit de vivre dans notre superbe société de consommation) je disais donc, je travaillais j’avais de quoi manger et payer le loyer, je ne travaillais pas il faillait puiser dans ce que je n’avais pas utilisé la veille pour vivre, inconnu des impôts, pas de sécurité sociale, pas de mutuelle pas d’allocation chômage, familiale ou autre, pas de crédit…….
Déconnecté complet de « la vie normale » mais totale prise en charge de soit, tu sais pourquoi tu bosses, tu es le seul responsable de ce qui t’arrive, dans tout les sens du terme. C’est une expérience extraordinaire, enrichissante à souhait et donne une ouverture d’esprit sur ce que tu peux faire de ta vie.
Malheureusement, cela n’a duré qu’un temps et j’ai dû y renoncer faute de moyen technique pour continuer cette activité « vitale » au sens propre du terme et je suis rentré en France.
Vu d’ici, sur quelques lignes, cela parait limite enfer et j’entends les réflexions de certains : « ah non moi je ne prendrais pas le risque de vivre comme cela, ne pas savoir si tu pourras manger demain, et si tu tombes malade ? tu images si tu dois te faire opérer, comment tu fais pour payer ? et si tu ne peux pas faire ton activité « vitale » pendant plusieurs jours comment tu t’en sors ? comment tu nourris les enfants, leur frais d’école, leur fringues, l’iphone, l’ipod, la Swatch, la PS3, la C4 Picasso avec commandes de l’autoradio au volant, le crédit de la maison, la TV led 3D 107cm, le réfrigérateur intelligent qui fait la liste de course tout seul …….. »
Ben justement tu n’y penses pas à tout cela parce que tu t’es aperçu que tu peux te passer de beaucoup, beaucoup de choses. Il faut dire aussi que lorsque j’ai décidé de faire cela, je l’ai fait seul, j’étais célibataire, sans enfant, au départ je n’ai pris aucun risque pour quitter « ma vie d’avant » (mais ce serait un peu long de tout raconter ici) et cela s’est fait sur environ 1 ans, petit à petit.
Tout ça pour dire qu’aujourd’hui et depuis 10 ans je suis revenue à la vie « normale », boulot, maison, voiture, ordinateur, crédit, et j’ai épuisé me ressources de « il faut tenir le coup, trouve une raison ». Plus envie de me lever le matin pour aller bosser, rentrer manger, retourner bosser, rentrer, manger, dormir, me lever le matin pour aller bosser, rentrer manger, retourner bosser, rentrer, manger, dormir……..
Retour à : faut trouver un moyen pour redevenir « autonome » ou en tout cas ne plus avoir à faire une chose qui occupe la majeure partie de mes journées alors que je n’en ai pas envie.
Nous avons UNE vie
de quoi….. 90 ans au maximum avec un peu de chances
Sur ces 90 ans, il y a environ les 18 premières années ou tu ne te poses pas trop de question, tu vis tout simplement, tu profites,
Puis viennent les 20 suivantes ou petit à petit tu te forges un caractère, une vision du monde, de la vie, de TA vie.
Période entre 40 et 50 ans environ tu es « intelligent », cultivé tu analyses ce qui ce passe autour de toi, tu deviens posé, philosophe, tu vois ce que tu ne veux plus
Si tu veux changer quelque chose faut y aller maintenant parce que dans 15 ou 20 ans tu vas commencer à fatiguer et certaines choses ne seront plus réalisables.
Vers 70 ans environ la gentille Société t’autorise à arrêter de travailler, tu as droit à 20 ans de « repos » pendant lesquels tu pourrais faire ce que tu veux, du moins ce que tu seras physiquement capable de faire. Pour cela on te donne un peu d’argent, bien moins que lorsque tu travaillais bien sur, faut pas déconner non plus.
Ne pas rentrer là-dedans ? ah oui
Problème ? eh oui, il n’est évident de finaliser une idée sans un centime pour financer quoi que ce soit, ou avoir le temps de voir venir.
Ce n’est pas évident non plus d’un point de vue phycologique, quand on est à 2 (ou plus) le changement va affecter tout le monde. Quand tu le fais seul, si cela ne te plait pas, tu n’as que toi à gérer, si tu te plantes tu es seul à devoir te relever, mais quand il y a quelqu’un d’autre…….
Relecture du post avant d’envoyer, Waouh, ça fait peur, y a urgence là, vite les pages jaunes rubrique psychologue, il faut consulter au plus vite ^^.
ça fait du bien de lire ça ….
ll y a une solution pour pouvoir enfin vivre comme on le souhaite en « travaillant » pour soi, vivre de ses passions, tenter des aventures, ne plus perdre son temps, être là pour les gens que l’on aime, avoir du temps pour profiter de la vie ou pour défendre des causes qui nous sont chères :
http://revenudebase.info/
Des conneries c’est facile d’en trouver! au lieu de mettre en place un emploi salarié par foyer, ce serait déjà une grande avancée. Mais les gens vont encore préféré s’enfoncer avec ce genre d’insanité qui nous arrive avec ce revenu universel ou on serait dépendant d’un revenu qui tombe du ciel, arretez de croire au pére noel.
Tu ma enlever les pensées de la tête. Merci.
bonjour, nous sommes une famille avec enfants, mari cadre 43ans, femme gérant sa petite entreprise artisanale 40 ans, 3 enfants scolarisés. Voici maintenant 7 mois que nous sommes partis faire le tour du monde, nous prenons le temps les uns avec les autres, et découvrons les autres. Bien sur , nous avons une petite idée en tête mais comment la mettre en oeuvre ou plutot comment faire accepter aux gens de nous foutre la paix et de nous laisser vivre nos choix. Vous aurez compris que nous avons pris la décision de changer de vie , de ne plus travailler, enfin plus d’en le but de gagner de l’argent. Nous allons construire une petite maison en bois qui sera totalement autonome (eau-électricité) plus de facture sauf taxe foncière , habitation et internet , le tout sur un terrain où nous cultiverons de quoi manger . UTOPIE !!! non d’autres l’on fait (voir la maison autonome en Bretagne) . J’avoue que je suis assez forte de caractère pour prendre et mener au mieux cette décision, par contre j’ai très peur de la réaction des gens qui nous connaissent car ils voient en nous l’exemple à suivre , ceux qui ont réussi (cadres, grosse maison etc…) alors ils ne comprennent pas et réagissent de manière agressive comme s’il s’agissait d’eux .
Alors notre grand questionnement: comment réagir face à l’incompréhension? nous avons pensé changer de région pour tout recommencer mais nous aimons notre région et le tissu social que nous avons mis 12 ans à créer (nous avons quitté Paris pour la Bourgogne) .
Bonjour
J admire votre choix.
Serait t il possible de vous contacter pour connaître l état d avancement de votre projet ainsi que quelques conseils ?
A l avance merci
Guillaume
Et bien moi les gars, je viens d’avoir une révélation, j’avais deja demissionné d’un boulot pour harcelement et jalousie des collegues, et maintenant que mon nouveau boss depuis 3 ans a compris qu’il n’obtiendrait rien de moi, et bien il me fait les pires saloperies, je crois que je vais finir par vivre a ma guise, de pas grand chose, vivre pour le bonheur de profiter, et non plus attendre ces malheureuses congés que l’on vous fait regretter qd vous revenez!!!! vivre de ma passion la musique, et faire queleques prestations pour un peu d’argent en échange de bonheur donné a des gens….. pas facile comme decision, mais ras le bol de se faire traiter comme une mer… surtout qd on se demène au taff!!!!!!!!!!!
Avec tout mon soutien dans votre démarche ! Vous n’êtes pas le seul alors croyez en vous et osez 🙂
Travailler 15 ans en centre d appels pour se faire hurler dessus toute la journee par les clients et houspiller par les chefs et se faire remercier car le travail est parti.. A l etranger.
SE reconvertir et connaitre les limites de l age et de la non experience professionnelle.. Pourquoi pas ne plus travailler.. Mais il faut un beau pactole pour cela, et comment conserver une couverture sociale correcte ?? La realite de nos cicilisations est la, plus le choix, a moins de tomber sur le bon prince charmant pour qui.. On sera obligee de travailler.. A la maison !!! Avec tous les risques de remerciements anticipe !!!
mais non, tu n’es pas seul, Nomadestan, on est même assez nombreux. Je suis sure qu’en cherchant un peu (sur le Net, dans des assos), tu pourras trouver des gens avec qui partager cet idéal. Déjà, il faut sortir des grandes villes. c’est plus facile dans les petites villes de consommer moins, avec le potager entre autre, la solidarité (dans les petites villes, tout le monde se connait depuis longtemps) etc…
Voyez ! Moi je je n’ai que 22 ans , une expérience de boulot inférieur à 2 ans …mais je n’y trouve pas ma place et suis d’avance dégouté ! la vie telle qu’elle nous est imposée dans cette société est ridicule , sans queue ni tête, travailler pour avoir l’estime de certaines personnes, pour accumuler des biens en pensant que ça va nous rendre plus heureux, jubiler en sur-consommant sans réellement se fier aux conséquences globales que cela engendre, ou pire s’y fier mais finalement ne pas en tenir compte et continuer notre tracé chaotique.
Je ne sais pas de quelle manière l’homme à pu instaurer dans sa propre tête que le travail était expressemment nécéssaire pour vivre, s’épanouir , faire des projets etc ,…Se sont des choses qu’il est facilement réalisable d’entreprendre sans être obligé de rentrer dans une course à la croissance économique de toute façon voué à la destruction et à l’echec.(la planète ne pourra jamais en supporter les frais)
Mais voila ! comment sortir de cet enfer lorsque tout autour de nous est construit sur ce modèle ?Lorsque les mentalités en sont rendu à un point ou un individu proposant une alternative à ce mode de vie est stygmatiser et pointé du doigt comme marginal,fêlé, feinéant, profiteur ou autres qualificatifs disgracieux?
J’en rêve quasiment chaque fois , de pouvoir vivre de manière plus simple avec plus de temps libre et moin de superflux (voiture , télé HD ,portable ,HYPERMARCHE,…) …non pas pour forcément buller mais pour consacrer plus de temps à ses passions, à partager des moments avec des proches, à lire , s’informer, se cultiver et j’en passe,…..
Mais ce genre d’ébullition, lorsqu’elle s’instaure dans une conversation avec des personnes bien ancrées dans leur train train quotidien est vite tué dans l’oeuf.
Pour moi , l’enfer c’est les autres ! Car évidemment , si cela ne tenait qu’à moi DEMAIN je partirais pour tenter ce genre de vie , mais la peur de se retrouver seul , sans proches , sans conjoint pour nous aider à réaliser ce genre de projet…..ça freine sec dans notre élan.Car s’il ya bien une chose qu’il est , pour ma part, impossible à mettre de coté c’est bien le coté humain et sociable.Seul…on est rien !!!!
Ce genre de pensée déstabilise tout dans ma vie,la ligne directrice à suivre est pour ma part , perpetuellement remise en question et cela énèrve mon entourage.
Actuellement , je recherche des personnes qui ont eu le culot de se lancer dans ce genre d’entreprise, mais ils ne courent pas les rues
Voir des articles et des commentaires comme ceux édités ci dessus rassure un peu
Mais oblige encore une fois une remise en question…
L’enfer , c’est les autres !
Je n’ai que 22 ans comme toi, et je pense exactement comme toi. Je trouve ça très dur de vivre dans cette société où tout est basé sur le travail, la productivité, la rapidité, l’argent. Rien de tout ça ne corresponds à mes valeurs à moi ! Je ne me retrouve pas dans cette société où l’on nous définit par un « métier que l’on exerce ». Je suis un être humain, j’ai envie de me lever quand mon corps me le dis, de ne pas le stresser, de profiter de la vie, de la nature, des autres, de partager et d’être simplement humain. Cette société où nous sommes tous au boulot de 8h à 18h, dans nos fringues et nos chaussures classes, avec nos gsms, pour rentrer le soir et au final n’avoir que le week-end pour soi. Notre moyenne de vie est de 80ans, mais nous ne profitions même pas à fond de 20 d’entre elles. Ce n’est pas logique, il n’y a rien de normal là dedans !
Et je suis tellement rassurée de voir d’autres jeunes comme moi…
Je suis de moins en moins matérialiste, tout ce que je veux c’est une vie simple et heureuse, une vie où je respecte mon corps et mes valeurs, moi simplement. Mais avec toute cette pression pour trouver du travail, même n’importe quoi,… J’ai très dur.
Bonjour ne t’inquiète pas de plus en plus de gens ouvrent les yeux sur cette manipulation, cette dictature qui dure depuis… l’aube de la civilisation !
Comme l’a très bien expliqué le brillant et progressiste Dominique Ronguaux dans « Eloges de l’oïseveté » : pour éviter les guerres civiles et les tentatives de coups d’état (qui malgré tout gênent nos dirigeant ne serait-ce que parce-que ces phénomènes gèlent temporairement l’économie), ces mêmes dirigeants nous formatent tous depuis des siècles pour nous laisser penser que « Travailler pour eux est un devoir ». Qu’il est parfaitement normal de bûcher 5 à 6 jours sur 7, et de travailler toute notre vie pour ne pouvoir « profiter » de cette dernière qu’une fois atteint l’âge de la retraite (retraite qui est en fait un cadeau empoisonné, qui a acheté la paix sociale, tout comme les weekends). Mais réveillez-vous ! LA seule chose qui nous empêche de nous rebeller réside justement dans la notion de weekend, car au lieu de dire : « On travaille tout le temps sans repos », on se dit « Oui mais on a 2 jours de libres… » Et donc, on reste soumis, dociles et finalement, corvéables et malheureux. On ne se dit pas : « Je vais travailler comme ça jusqu’à ce que j’en meurt », mais plutôt : « Oui je vais travailler toute ma vie mais j’aurais une retraite… » Notre docilité a été achetée. Sans les miettes de loisirs généreusement accordées par Sa Majesté le gouvernement, nous nous serions rebeller depuis longtemps !
Croyez-vous vraiment que notre système est juste, ou humain ? Si c’était le cas, le temps libre serait EGAL au temps travaillé (5 jours par semaine on est très loin…), et on ne s’arrêterait pas à 65 ans (65 ans on est pas à la moitié de notre vie que je sache ! Ou alors ça a changé depuis hier ?? ).
En conclusion, je vous invite à réfléchir, à ne pas avoir peur de vous déconditionner, de devenir différent, et « marginal ». Ce n’est pas vous qui fonctionnez de travers, mais bien les autres ! Venez également soutenir le projet du Revenu de Base Inconditionnel (RBI). Un revenu garantit à vie pour pouvoir manger, se loger et se vêtir sans avoir à travailler.
Le problème est que pour que de plus en plus glandent, les rares qui travaillent sont de olus en plus pressés comme des citrons. Pour info, l eau n arrive pas seule au robinet, l électricité à besoin d être produire, le arburant ne coule pas naturellement dans les stations services. Alors c est un peu facile de faire le cassos et de profiter du travail des autres ….
Oh… Comme c’est mignon!!! Un gentil ptit mouton bien éduqué par la société qui s’est égaré!!!
Lâche ton taf, je prend le relais.
complètement d’accord
J’ai le même ressenti que Yoda et effectivement Tao, le monde ne peut pas tourner sans le travail de certains mais je crois qu’avec nos avancées technologiques, il y a de nombreuses tâches que l’humain ne sera plus obligé d’effectuer demain… Et honnêtement, certains secteurs d’activité ne sont pas indispensables et sont liés directement à ce système capitaliste qui a atteint ses limites (la publicité, le marketing…).
La proposition du revenu de base serait déjà une avancée pour éviter d’abord la grande pauvreté. Il n’y a jamais eu autant de disparité entre les très riches et les plus pauvres, et il n’y a jamais eu autant de salariés pauvres. Ce revenu permettrait aussi de travailler autrement, d’avoir plus le choix, et de prendre plus de risques sans avoir peur de se retrouver sans un sou.
L’épanouissement personnel a toujours été mis de côté par nos politiciens ringards qui n’ont qu’un seul but : le pouvoir et le contrôle. Je pense qu’il est temps que les choses changent mais elles ne changeront pas toutes seules.
et ce « revenu » il vient d’où ?
soit de toujours plus de pression fiscale sur les derniers masos qui bossent (et entreprises)
soit d’une dette toujours plus énorme qui va nous faire toucher le fond bientôt
à l’image de la Grèce
moi aussi j’aimerais bien vivre d’amour et d’eau fraiche, mais je vois que tous ceux qui le font deviennent vite aigris et exclus de la société au bout d’un moment…
pas de solution miracle
travailler moins, avec du sens, et du temps serait idéal c’est sûr
C’est toujours la même rengaine et l’affrontement de deux camps idéologiques. Mais vous ne comprenez pas que l’électricité (uranium principalement en France) et le carburant (pétrole) ce n’est pas vraiment vous petits français avec votre petit travail qui en êtes les principaux fournisseurs mais bien l’exploitation des pays pauvres. Quand à l’eau si on mettait des toilettes sèches et de la phyto épuration partout, ce serait déjà une belle avancée. Mais non, lobby veut pas. Quand aux revenu de base, c’est jouable pour la même chose : l’exploitation de petits bangladeshais pour 1 euro de l’heure
Et ça je l’ai lu nulle part dans les comentaires
Coucou toi du coup tu fais quoi aujourd’hui ?
Salut Nomadestan, je suis dans la meme situation que toi. Et c’est dur de sortir de ce système. Voila mon email si tu souhaites échanger couderc.benjamin@gmail.com
Enfin des jeunes qui ont les yeux ouverts !
J’ai seulement 21 ans et une des seules choses que je sais sur mon futur, c’est que j’aimerais ne pas travailler.
Je dis bien que j’aimerais car malheureusement il faut bien manger, et je ne me vois pas me reposer sur les aides sociales. En fait la seule solution pour moi est de trouver un conjoint qui accepte mon choix et qui puisse gagner un salaire suffisant pour une famille (sans qu’il y ait besoin que ce soit des mille et des cents).
Pour moi rien de plus enrichissant que de me lever pour consacrer du temps à des loisirs simples, éduquer mes enfants, m’occuper de ma maison, de mes animaux. À moment donner pourquoi perdre son temps au boulot poir gagner l’argent qui sert à payer la nounou, les plats tout prets, la femme de ménage, alors que se sont des choses que l’ont peut faire soi même et avec un grand plaisir pour ma part ? Peut être pour y gagner quelques centaines d’euro au change et pouvoir se payer une belle voiture, des fringues de marque, changer son iphone tous les 6mois, acheter des cadeaux hors de prix pour ses enfants et son conjoint pour compenser le fait que l’on est jamais là pour eux ?
C’est mon rêve de pouvoir échapper au monde de l’emploi, mais ce n’est pas forcément simple, et vivre sans indépendance financière n’est pas envisageable pour moi donc je continue mes études de droit en priant pour qu’elles ne me servent à rien sauf à me cultiver
Bien sûr 9 personnes sur 10 vous tuent du regard quand vous leur dites une chose pareille, et ce qui revient le plus est « l’état paye ton éducation, à un moment il faut rendre ce que l’on te donne ». Je remercie la France pour la scolarité gratuite à laquelle j’ai eu droit, elle n’a pas été inutile, je sais lire écrire reflechir et me comporter comme il faut en société, c’est aussi le but de l’école.
Les gens qui critiquent le choix de ne pas travailler critiquent le choix de ne pas être un esclave, par jalousie parce que c’est leur cas mais qu’ils ne peuvent plus faire machine arrière, ou parce ce que ce système pervers leur a mis trop profondément dans le crâne que pour être quelqu’un de bien il faut travailler travailler travailler jusqu’à ce qu’on en puisse plus, que c’est la moindre des choses.
Bien dit c’est exactement ce que je viens d’écrire ! Tu ne crois pas si bien dire Lea… Nos dirigeants sont très soucieux, depuis le Moyen-Age, d’éviter les révoltes (à l’époque révolte paysannes), en « achetant » la paix sociale. Les prêtres et les guerriers à l’époque s’appropriaient le surplus de production des paysans. Et en période de famine, même si les paysans ne parvenaient pas à produire suffisamment pour se nourrir eux et leurs familles, les prêtres et les guerriers continuaient de s’approprier une partie des récoltes comme si de rien n’était. Ainsi sont nées les révoltes…
Et comme une révolte ça gèle l’économie, ça coûte de l’argent aux dirigeants, alors ils ont décidés de nous inculquer dès notre plus jeune âge le diktat suivant : « Travailler toute sa vie 7 jours sur 7 pour nous enrichir est normal ».
Et comme tu l’as dit : » ce système pervers leur a mis trop profondément dans le crâne que pour être quelqu’un de bien il faut travailler travailler travailler jusqu’à ce qu’on en puisse plus, que c’est la moindre des choses. »
Biensûr aujourd’hui ce n’est plus 7 jours sur 7 ni « toute » notre vie. Mais encore une fois la paix sociale et notre asservissement ont été stratégiquement achetés ! En nous accordant les weekends, et en nous accordant un « droit à la retraire », les dirigeants savent très bien ce qu’ils font… Telle une otarie récompensée par un malheureux bonbon à la fin d’un tour par son dresseur, nous continuons d’enrichir une caste, une mafia que sont nos dirigeants qui sont en fait « nos dresseurs ».
Si vous souhaitez échanger, si vous avez des idées pour vivre sans travailler (et quand je dis sans travailler, NON messieurs les détracteurs conditionnés et formatés, je n’entend pas cesser d’aider les autres, ou de participer à ma manière à enrichir la société. Mais d’une façon non pécunière, car il n’y a pas que l’argent dans la vie, mais aussi l’échange, le soutien, l’écoute, le partage, l’Amour, l’harmonie…)
Guillaume
Bonjour,et merci pour ces commentaires je sais enfin que je ne suis pas seule à me rendre compte que nous sommes des moutons et que nos dirigeants profitent de notre travail et pas nous.
Cela va beaucoup m’aider à changer ma vie… et oui la vie c’est l’entre aide, l’échange, l’écoute, le partage, l’amour, la paix, le bonheur
Reponse a yoda, ou guillaume, tu as merveilleusement bien compris, et merci de ton commentaire. Beaucoup semblent ne pas connaitre l, histoire, et ce qui s, est passe dans le temps, et qui a amene le present. Les valeurs humaines sont les vraies valeurs, et aucun argent au monde ne peut remplacer ta famille, tes amis, tes enfants, tes grands parents, et toutes les petites memes, a qui personne ne s, adresse dans la rue, ou laisse vivre et mourir seules. Cela me rappelle nice ou l, une d, entre elles m, a demande de lui tenir la main pour traverser la rue, et l, autre qui desirait aller faire un petit tour au coin de la rue, pour sortir de la maison de retraite. A boston a china town, cela a failli me couter le vie, lorsque la petite memee chinoise m, a demandee la meme chose, lorsque je l, ai embrassee apres l, avoir aidee, j, ai vu un autre chinois qui portait sa main au poignard, et qui n, a rien fait lorsqu, il a vu que c, etait par pue amitie. Vous me rendez tous fiere, de reflechir. Avec toute mon affection et ma tendresse. Bisous. Nous avons une grande maison, et une tres belle propriete, mais il y a beaucoup de travail a y faire. Vous y etes les bienvenus, mais malgre tout je fais attention a qui nous recevons a la maison. Je ne suis pas amateur de l, alcool, de la drogue, ou des pilleurs. Mais desire creer un lieu de rencontre et d, amitie entre les peuples, sans haine, et sans racisme ou les femmes ne sont pas considerees, comme subordonnees aux hommes. Gros bisous a vous tous.affectueusement, dans votre demarche humaine.
J’ai 23 ans et je suis dans la même situation… J’ai des diplômes qui me permettent d’avoir un boulot bien payé mais je n’arrive pas à me lancer. Je n’ai pas envie de m’installer dans cette routine qui consiste à se lever pour aller travailler tous les jours pour des intérêts qui me dépassent et qui ne m’intéresse pas. J’ai économisé un peu d’argent et ça fait un an que je vis avec sans travailler. Je me consacre à ma passion et je vis l’esprit plus serein que jamais même si je sais que cela ne durera qu’un temps ):
Bref, on est beaucoup comme cela. Surtout les nouvelles générations, qui n’ont pas la même envie de travailler qu’à l’époque de nos parents/grands parents.
Le salaire à vie et donc une redistribution totale des richesses est ce vers quoi notre société se tournera dans le futur c’est une certitude, mais on peut encore attendre… Certains on trop d’intérêts et ne sont pas prêts à faire ce genre de « révolution ».
21 ans ? et comme solution de vie , dependre d’un homme ? le salaire à vie ? Mais payé par qui , si personne ne travaille ? plus de profs, de medecins, de pompiers, d’artisans…rien qu’un peuple de faineants ? Le probleme n’est pas de travailler mais de se donner les moyens de faire un travail dans lequel on se sent bien.Cela me fait penser a des jeunes qui veulent vivre « sans argent »‘ mais font appel au crowfunding pour acheter leur propriete.C’est bien les illusions aux depends des autres, mais c’est assez petit.
je partage entièrement votre avis
que de gens déconnectés qui pensent vivre aux crochets des autres
pour moi ce sont des parasites qui n’apportent rien à personne
Dépendre d’un homme, mais quelle horreur ! Je préfère encore crever ! Je n’aime tellement pas la société que suis faite pour vivre seule, je craquerais sinon !
Mais c’est toi qui a raison.
Ce serait la seule solution pour s’en sortir mais les politiques ne recherchent pas les solutions simples.
Maintenant on parle d’un revenu universel pour tous, n’importe quoi, que des solutions pour que la vie des gens deviennent impossible!
Une vraie femme qui mérite qu’on lui offre tout
ah bien sûr ! un conjoint qui LUI bossera ! tellement pratique comme solution !
je ne sais pas où la société va aller avec des gens aussi égocentriques qui ne pensent qu’à eux et leur petit confort personnel
qui attendent tout des autres et de la Maman état…
Triste comme avenir.
J’ai 44 ans et je pense comme toi !!! c’est plutôt desespérant (ou pas) d’ailleurs… car la prise de conscience je ne l’ai qu’aujourd hui. Nomadestan ton témoignage est très pertinent et interessant même si je comprends tes doutes et tes questionnements. N’aie pas peur d’accepter des missions de travail même de courte durée à l’étranger, rencontre des gens, voyage, tu es encore jeune et tu peux te le permettre plutôt que de rentrer dans ce « moule » sociétal abrutissant. Seuls les voyages et les rencontres m’ont toujours ramenés à ce que je suis vraiment.
Voici ma petite contribution:
J’ai toujours compris l’importance du travail. Mes parents ont trimé durement pour nous élever. Aujourd’hui, j’en ai un peu marre…
Je pensais qu’un poste de cadre à responsabilité serait l’aboutissement de ma vie professionnelle mais ce n’est pas tout à fait ça!
J’ai été caractérisé de « manager humaniste » suite à une formation de gestion de personnels. Il faut comprendre par là que c’est un handicap: trop d’empathie envers mes subalternes. Je ne suis pas assez « corporate » et tout le toutim des grands groupes. En fait, étant fils d’ouvrier, je ne souhaitais pas traité ces derniers comme le fut mon père. J’ai vite compris que j’étais le mouton noir du staff. Mais je me refuse à agir comme un robot. Alors j’ai décidé de démissionner!!!
On m’a traité de fou, d’inconscient,…etc. Qu’importe, j’avais prévu cette issue car mon épouse et moi avons toujours vécu simplement sans nous priver du nécessaire. On a donc mis de côté de quoi vivre plusieurs mois sans travailler et sans aide extérieure. Je retrouve des joies simples: accompagner mon enfant à l’école, la médiathèque, faire le marché, profiter de mes parents agés et être présent dans mon foyer. Quand on me traite de « parasite », je réponds simplement que j’ai cotisé toute ma vie (grassement comme cadre!) et que je n’ai droit à aucune allocation. D’anciens collègues qui me plaignaient m’appellent maintenant pour se plaindre et trouver du réconfort. Ma situation est certes singulière mais beaucoup pourraient faire de même à condition d’accepter de modifier son mode de vie. Bien sûr, je n’ai pas complètement renoncé au travail salarié mais je ne ferai que des CDD et de l’intérim. Au moins, je sais ne plus être enfermé dans un emploi stressant et délétère. Je me rends compte aujourd’hui de l’impact d’un livre que j’avais lu plus jeune « L’économie barbare ». Je souhaite une bonne nouvelle vie à toutes celles et ceux qui ont franchi le pas et bon courage à tous les autres.
C ‘est vrai les conditions de travail sont difficile Je suis dans la vente et je peux vous dire que d’etre debout toute la journée attendre qu’une cliente se décide après avoir réfléchit un certain temps A 54 ans j’en ai ras le bol!! La fatigue d’etre debout les clientes infernal Il y a bien longtemps que je ne suis plus motivée Et mes collègues idem!!! Moi je souhaite quitter Paris pour vivre au bord de la mer j’ai déja trouvé ou m’installer Respirer l’air marin iodé Pas comme à Paris ou tout est polluée et sale Le stress nous ronge… La vente un métier ou on se prostitue
Vous vous plaignez d’être vendeuse???? moi j’ai bossé en usine en 3X8 toute ma vie. J’ai fais un infarctus et depuis je suis au chômage. J’ai 57 ans. J’aimerai travailler mais pas un employeur ne veut de moi. Que faire
pareil pour moi
j’ai rien contre travailler au contraire mais aucun boss ne me veux « pas assez qualifié » selon leur excuses
Cc intéressez vous a l’agriculture et permaculture
Ben rien
Finalement, le problème est moins de travailler (il y a des tâches gratifiantes et utiles), que la manière de travailler. Pression, humiliation, manque de moyen dans la fonction publique, la société globalement se déshumanise et nous somme nombreux à ressentir le besoin de nous reconnecter à des valeurs plus vraies. Nous travaillons dans de telles conditions que nous en perdons le sens, et donc la motivation.
J’espère que nous serons capables de nous réogarniser pour vivre plus simplement et plus solidairement.
Bravo ! Vous avez tout dit, et en 2016, rien n’est plus vrai que vos paroles de 2011 !
Quelle bonheur de ne plus travaillé!!! Je n ‘est pas encore franchit le pas Je me suis retrouvéé au chomage depuis Juillet J’ai trouvé un CDD de 3 mois Mais lje ne suis pas du tout pationnéé J ai envie d’autre chose Partir vivre au bord de mer Profiter enfin de la vie
A 54 ans MARRE du boulot
je suis dans la situation de la dame de 57 ans (j’ai 54 ans) partie en bretagne, moi je suis partie dans le Cotentin, 33 ans de travail en région parisienne, un Burn out, et j’ai pris LA DECISION. Depuis ma prise de petite pilule pour le coeur depuis 4 ans je me suis dis moins d’argent peut être mais que vaut une vie ..J’ai 2 grands enfants qui travaillent, et j’ai un petit revenu de pension de veuve. (600€ par mois). Après épuisement de mes allocations chômages ce mois ci, car il faut être réaliste aucun emploi n’est possible à mon âge et dans ma fonction en région..je me contenterais de calculer..J ai un jardin (je mange mes salades pour la 1ere fois de ma vie) et autres légumes que j’ai la fierté de faire pousser. J’ai des tonnes de projets culturels, manuels, et j’ai le temps de m’occuper de moi. J’ai envie de vivre un peu vieille pour admirer la nature…et il faut le reconnaître je n’ai plus la même énergie, j’ai des douleurs partout, alors après avoir travaillé non stop (sans congés de maternité et peu de congés payés) pendant autant d’années Oui j’ai le droit de me pauser…et je suis une femme….avec toutes les inégalités subies..mes enfants sont gentils et ne m’oublient pas…Je peux compter sur eux…car ils ont compté sur moi…Prendre une décision c’est le plus dur après on le fait..et on gère…avec un minimum …c’est raisonnable…
Perso, ce n’est pas le fait de travailler qui me dérange, mais surtout de côtoyer à longueur de journée des gens que je déteste ou des caractériels qui pensent avoir l’ascendant sur moi soit par le niveau hiérarchique soit parce qu’ils sont plus populaires que moi dans l’entreprise.
Je songe réellement à m’échapper de cet enfer.
J’ai vu un reportage sur la 5. Un homme, en tasmanie vivait et travaillait tout seul sur une île en pleine nature, disant qu’il avait toujours fait ce qu’il voulait car il détestait les contraintes. Sa vie semblait heureuse et simple. C’est ce genre de vie que je veux.
ou en ëtes vous de vos projets aigle noir ?
hello vero ! Il est en Tasmanie haha
« vivre est gratuit ». Il ne faut pas confondre « faiblesse » et courage. Notre civilisation, notre tribu occidentale s’est construite sur le mensonge (le rituel du Père Noël nous apprend à nous adapter aux mensonges et aux humiliations qui s’en suivent), la perversion est une arme savamment utilisée par nos politiciens pathologiquement appelés « pervers narcissique ». Heureusement des humains toujours en devenir nous font parvenir des informations utiles pour l’humain et humaine en devenir que nous sommes : Albert Jacquard, Henri Laborit, Henry-David Thoreau, Théodord Monod, Jean Malaurie, et j’en oublie beaucoup d’autres… Et sans compter les personnes dans l’ombre qui proposent et créent avec résistance et donc courage d’autres alternatives de mouvements, sur les rives du torrent de la société ou de la cité. Il est probable que dans quelques décennies l’homme disparaisse de la Terre dû à nos tricheries galopantes, pas la vie, l’homme. Ainsi je comprends les plus humains d’entre-nous qui ne souhaitent plus contribuer à façonner le mal, ce dit travail. Ceux-là ne peuvent pas travailler à construire des armes ; ils ne veulent pas parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas, et ont le courage de refuser cette compétition de la « réussite ». Le courage parce que ceux (et ils sont légions, non passionnés) qui se plaignent de leur travail n’ont pas ce courage de fuir le torrent (la masse dite normative) pour tenter travailler autrement. les travailleurs dits salariés n’ont pas plus de mérite qu’un travailleur non-salarié (personne au revenu minimum, périodes de chômage indémnisés ou non, les « zantros »). Il y a des gens qui se lèvent très tôt ou tard pour se rendre à leur travail à construire des armes, et d’autres gens qui se lèvent quand le corps s’est suffisamment reposé, pour pouvoir être présent pour le prochain rêve. Qui a dit que le repos est mauvais, ceux qui n’aiment pas leur travail et je les comprends. l’homme est en mouvement dans un espace-temps. L’homme est dans cet espace-temps qu’il ne pourra jamais dominer parce qu’il en est lui-même le constituant. Pour conclure la vie n’appartient à personne. l’essentiel reste celle qu’on vit, et elle n’est pas plus belle ou plus heureuse que celle de quelqu’un d’autre car toutes elles sont rares, et donc belles. Ceux qui trichent et qui façonnent leur vie sur l’oppression sociale, une oppression dictatoriale, ont une vie non personnelle, non unique : « Misérable ». Les misérables de Victor Hugo sont à réinventer : ce sont les costumés cravatés.
Ne pas travailler … parce qu’il y a mieux à faire. Moral ? Immoral ? Débat stérile. Ammoral avant tout. Hygiène de l’improductif : Penser à soi et à ceux qui nous entourent et oublier le reste, puis surtout, surtout, prendre son temps. S’agiter bien sûr pour évacuer l’énergie en trop, mais savoir s’arrêter. Sage ? Non, juste modeste. Tout est là à mon avis, prendre son temps, tourner 7 fois sa langue dans sa bouche, réfléchir avant d’agir, un travail lent n’ait pas/plus envisageable, rendement, productivité etc … C’est bien le problème. Le travail exige de la vitesse. Mais le temps file et c’est la fin. Reste le problème matériel. Pas de solution miracle, chacun se débrouille comme il peut, . Besoin de rien sauf des amis. Assez de ressources pour désormais vivre simplement. Au diable le reste, superflus. Prendre le temps et contempler le monde, agité, prétentieux, ridicule. Ca parait trop simple et pourtant personne ne le fait ou trop peu …
Merci Paul de ce commentaire nourri. bien à vous.
Marina
Merci ! te lire m’a fait grand bien 😀 ta réflexion est superbement honnête. je te « vole » ton commentaire pour le diffuser sur Facebook si tu veux bien, j’y mettrai un lien qui renvoi à cette page et à ce blog.
Madhumakky Bee
Bonsoir,
Exelent !!! Si j’ai bien compris faire comme nos politiciens rien !!!! Bonne idée
Superbe et pertinent commentaire! Merci Paul de cette analyse fine. Je souhaiterai communiquer avec vous et poursuivre cet échange. Une soeur de pensée. Anouchka
Une méthode très simple et suggérée depuis plus d’un siècle par nombre d’économistes et intellectuels de tous poils : l’allocation universelle.
L’idée est simple : l’homme a atteint un développement suffisant pour que personne ne doive être contraint de travailler pour s’assurer un logement ou de la nourriture. Il faut que nos gouvernements redistribuent de façon égale une certaine somme à tout citoyen, sans rien en retour. Cette somme correspond aux environs de 25% du PIB d’un pays et permet à chacun de se loger et se nourrir. Tout le monde y aurait droit. Après, ceux qui le désirent peuvent travailler pour augmenter cette somme.
Pas la place pour mieux expliquer cette idée qui en général choque tout le monde. Pourtant, elle me paraît la seule solution réellement juste et viable.
Pour plus d’infos, néhésitez pas à consulter wikipedia :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alloca…
Je suis sure que c’est la seule solution pour l’avenir, un peu dure à avaler pour un grand nombre mais il y a de plus en plus d’habitants sur notre terre et tous les pays créent des robots plus efficaces que les hommes, infatigables, recyclables,qui travaillent sans salaires sans arrêts maladie sans vacances et sans nuit de sommeil……..le paradis des patrons…..que du bonheur…. nous sommes a un virage de notre civilisation il va falloir du temps pour l’accepter……
est ce que Paul, qui a mis plusieurs post ici, peut se mettre en contact avec moi, je désire ne plus travailler, j’ai besoin de vivre autrement. merci beaucoup
Bonjour brunon je suis arrivée à la même chose et j’envisage de tout plaquer
As-tu franchi le cap ?
Je m’adresse à brunon et rodriguez, Quel âge avez vous si ce n’est pas indiscret ? Je pense comme vous mais n’est pas le courage par rapport à mes enfants qui ont encore besoin de moi financièrement.
J’ai cinquante ans et j’avoue que j’ai assez travaillé, que mon travail dans le domaine paramédical et médical et des soucis de santé (asthme) m’ont un peu usé, alors , oui, pourquoi pas chercher d’autres cieux et les placements qui permettraient de lever enfin le pied.
Mais où et comment?
L’idéal serait de s’établir dans un pays montagneux, pas trop cher au quotidien (la Suisse et Andorre c’est râpé de ce côté-là, vu le coût de la vie), mais Chypre où la Roumanie au climat de montagne ou encore Maurice tout en percevant des loyers de France , j’y pense.
Mais gare à l’aventure qui finit par prendre l’eau.
ah ah bonjour ! je pense depuis quelques jours a la même solution quant au choix du pays j’ai un peu peur de m’éloigner du systeme médical que je connais…. j ‘ai peut être tord….? je pensais au portugal, il fait chaud on économisera du chauffage par rapport au nord et acheter une petite maison pour moi et des amis (es) et deux appartements pour louer les amis(es) auront aussi des idées… et à nous la belle vie !!!!
ces dernieres remarques me font bien rigoler (enfin pas vraiment). alors 25 % du PIB redistribué à tout le monde pour ne plus etre contraint de travailler … mais ce fameux PIB il tombe peut etre du ciel.?? je peux comprendre que le travail puisse parfois, un temps de sa vie, etre lié à de la souffrance, que certains patrons abusent de leur pouvoir. Mais le travail peut etre aussi source d’épanouissement. On peut avoir besoin de faire une pause, d’etre aidé financierement et moralement à un moment de sa vie mais se dire je me laisse vivre at vitam eternam et je compte sur les autres pour payer à ma place c’est un peu facile et pas forcement mieux que les grands patrons que vous décriez. alors il y aussi la solution, je vis en autarcie avec mon lopin de terre (qu’on m’aura donné bien sur) et mon potager mais pas sur que ce soit si formidable que cela ne parait.